UN GRAND MERCI A EUX (LUI?, ELLE??) QUI ONT TOUJOURS DES INFOS PERTINENTES..
PROFIT PROFIT... LA SEULE CHOSE QUI COMPTE
MAIS BON, PAS DE PROBLEME PUISQUE VOUS ETES TOUJOURS VIANDARDS COMPLICES!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Martial
Albar, ex-inspecteur assermenté des Services Vétérinaires et consultant
en sécurité alimentaire, nous livre son expérience en tant que
professionnel dans plusieurs abattoirs de France. Il décrit une
situation qui l'a poussé à démissionner après 15 ans de service. Nous le
remercions vivement d'avoir accepté de témoigner.
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Durant
toute notre formation en inspection vétérinaire à Lyon Corbas en 1996
et 1997, nous allions nous former à l'abattoir Cibevial.
Nous
y avons vu toutes les horreurs pratiquées par les négociants
concurrents dans les écuries de l'abattoir (sabotage d'animaux vivants
pour déprécier leur valeur marchande lors de l'inspection sur la chaîne)
comme perforer les reins par des aiguilles à tricoter, introduire des
bâtons avec des piquants au bout dans le vagin des vaches.
Sur
la chaîne, nous avons vu toutes les maltraitances pour faire avancer
les animaux jusqu'au piège à coup d'aiguillons électriques ou de barres
de fer, tous les défauts d'étourdissement et les égorgements conscients,
avec le retrait du masque et la section des antérieurs alors même que
la vache avait perdu à peine 5 litres de sang.
Je
ne parle pas des abattages rituels pratiqués avec des cadences élevées,
des jets de sang de plus de 3 mètres lors de l'égorgement de bovins de
800 kgs.
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