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« C’est comme un fumeur qui a envie d’arrêter de fumer. Un jour, il décide qu’il arrête. »
Après avoir longtemps réfléchi, Philippe Hébert a choisi, en juin 2015,
de franchir le pas vers l’agriculture biologique. Les motivations de ce
céréalier d’Ile-de-France de 39 ans ? D’abord économiques, loin de
celles des pionniers ayant jeté aux oubliettes engrais chimiques et
pesticides par idéologie.
« Cela me sortait par les yeux de dépenser autant en produits phytosanitaires »,
confie-t-il. Sa facture atteignait 90 000 euros par an. Mais le
cheminement vers le bio a été long. En 2000, M. Hébert commence à
travailler sur 50 hectares. « En parallèle, j’ai créé une société de location de vaisselle pour cérémonie », raconte-t-il. Dix ans plus tard, ses parents lui cèdent 160 hectares. Avec en héritage du...
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