En France, 90 kilos de viande sont consommés par personne chaque année. Dans le documentaire ''L'animal est une personne'', diffusé lundi soir sur France 3, Franz-Olivier Giesbert s'est intéressé aux conditions d'élevage industriel et d'abattage des animaux. Plus habitués aux sujets politiques, l'ancien patron du Point est également un végétarien convaincu. En 2014, il avait déjà publié un essai du même nom chez Fayard dans lequel il s'interrogeait : ''Pourquoi traitons-nous avec tant d’égards les animaux de compagnie, substituts de l’homme, et si mal les bêtes à manger, machines à fabriquer de la viande ?''.
mardi 24 novembre 2015
FRANZ OLIVIER GIESBERT L' ANIMAL EST UNE PERSONNE BRAVO!!!
SOURCE avec le flux des Tweets
En France, 90 kilos de viande sont consommés par personne chaque année. Dans le documentaire ''L'animal est une personne'', diffusé lundi soir sur France 3, Franz-Olivier Giesbert s'est intéressé aux conditions d'élevage industriel et d'abattage des animaux. Plus habitués aux sujets politiques, l'ancien patron du Point est également un végétarien convaincu. En 2014, il avait déjà publié un essai du même nom chez Fayard dans lequel il s'interrogeait : ''Pourquoi traitons-nous avec tant d’égards les animaux de compagnie, substituts de l’homme, et si mal les bêtes à manger, machines à fabriquer de la viande ?''.
Franz-Olivier Giesbert s'insurge notamment contre ''le scandale des
abattages rituels, halal ou casher, qui imposent à nos sœurs et frères
les bêtes des mises à mort dans d’inutiles souffrances.'' Pourtant,
comme montré dans le documentaire, des expériences scientifiques
récentes prouvent que les bêtes ont des capacités insoupçonnées et
qu'elles nous ressemblent beaucoup plus qu'on ne le croit. Sur les
réseaux sociaux, le travail de Franz-Olivier Giesbert a été salué par
les végétariens comme par les carnivores.
En France, 90 kilos de viande sont consommés par personne chaque année. Dans le documentaire ''L'animal est une personne'', diffusé lundi soir sur France 3, Franz-Olivier Giesbert s'est intéressé aux conditions d'élevage industriel et d'abattage des animaux. Plus habitués aux sujets politiques, l'ancien patron du Point est également un végétarien convaincu. En 2014, il avait déjà publié un essai du même nom chez Fayard dans lequel il s'interrogeait : ''Pourquoi traitons-nous avec tant d’égards les animaux de compagnie, substituts de l’homme, et si mal les bêtes à manger, machines à fabriquer de la viande ?''.
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