ENCORE UN AGRICULTEUR QUI PENSAIT POUVOIR VIVRE EN MASSACRANT DES ANIMAUX INNOCENTS EST EN DETTE
CE QUI M' INQUIETE PAR CONTRE C' EST QUE VOUS DEVENIR LES ANIMAUX??
JE NE PLEURERAI PAS POUR LUI....
AVIS AUX AUTRES, CE VA ETRE PIRE, AVEC LA TEXATION DE LA VIANDE QUI SE PROFILE A L' HORIZON, TEMPS DE VOUS RECYCLER LES MASSACREURS, PLUS QUE TEMPS..
GARDEZ VOS BETES ET CHOYEZ LES DEVENEZ REFUGE POUR ANIMAUX DE FERME MALTRAITES ET OUVREZ UNE FERME PRDAGOGIQUE.
D' AUTRES L' ONT FAIT ET IL EST ENCORE TEMPS D' ETRE PARMI LES PREMIERS DANS VOTRE REGION.... ET CULTIVEZ BIO UNIQUEMENT, DES VEGETAUX...ET VENDEZ LES EN CYCLE COURT DANS UNE BIOCOOP PAR EXEMPLE...
EN PLUS CE TRISTE SIR FSAISSIT DE L' ENGRAISSEMENT...
HONTEUX!!
En 1998, Guy (1) avait touché du doigt son rêve en achetant une ferme de 70 hectares dans une commune du Sud-Avesnois (Nord). Vingt ans plus tard, il est surendetté à hauteur de 703 302 € dont 33% en intérêts !
La VDN rapporte qu’à l’époque, les taux variaient de 5 à 10 %. Les absences de paiement ont donc vite fait grimper l’addition. Mais la vraie question est : comment cela a été possible ?
Descente aux enfers
En 2013, le couperet tombe : redressement judiciaire. À partir de ce moment, il ne paie plus. Deux ans plus tard, c’est la liquidation. Dont il a fait appel devant les tribunaux – pendant ce temps, la dette est gelée. Depuis, il gagne moins de 500 € par mois. La suite ? Si un accord n’est pas trouvé, l’éleveur risque gros. Jusqu’à l’expulsion et la saisie de tous ses biens.(1) Le prénom a été changé pour préserver l’anonymat.
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