mercredi 1 novembre 2017

LA NOMOPHOBIE...



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DONC UNE MALADIE RÉELLE, PHYSIOLOGIQUE MAIS AUSSI (CE QUE JE RECHERCHAIS PRÉCÉDEMMENT) PSYCHOLOGIQUE
A LIRE EN DETAIL, DOSSIER TRES COMPLET.....A  DIFFUSER

Le téléphone affecte les rapports sociaux. Le premier problème posé vient déjà du fait que le portable crée une dépendance en termes de communication : l’homme est ainsi poussé à utiliser son téléphone à n’importe quelle occasion. La communication devient donc superficielle car la définition de la communication est d’établir un contact avec autrui, mais si celui-ci est incomplet ou inutile, peut-on encore vraiment parler de communication ? Le but initial du téléphone portable s’est donc modifié. Maintenant, sortir son téléphone portable en cas d’ennui, pour se distraire et appeler quelqu’un est devenu une habitude.
    Le téléphone portable est en passe de devenir le meilleur ami obligé de l’homme. Il est indispensable. Des enquêtes très sérieuses partout dans le monde ont révélé tout récemment que 66% des personnes ressentent une réelle souffrance lorsqu’ils sont séparés de leur téléphone portable. C’est une maladie : La nomophobie (no mobile phone phobia). Le diagnostic est le suivant : souffrir de ne pas avoir son téléphone portable à portée de main donc la peur d’en être séparé. la nomophobie peut se traduire par des attaques de panique, une respiration qui deviendrait courte, des nausées, des tremblements ou un rythme cardiaque accéléré. Elle peut être également auto-diagnostiquée si vous constatez que vous vérifiez sans cesse où se trouve votre téléphone ou que vous êtes angoissé en permanence à l’idée de l’égarer.


 Les cas les plus extrêmes peuvent aboutir à une hospitalisation...
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.....les experts s’accordent à dire que l’utilisation du téléphone portable à outrance ainsi que leur niveau de dépendance à la messagerie instantanée (SMS) devient un véritable problème, surtout pour les plus jeunes. Plus le niveau d’impulsivité et de matérialisme était élevé, plus le niveau d’addiction l’était aussi. Voici les commentaires de cette études :
« Les personnes très dépendantes aux technologies mobiles auraient les mêmes besoins compulsifs que celles accros au shopping, selon une étude américaine publiée le 28 novembre dans la revue Journal of Behavioral Addictions.
« Les téléphones portables font partie de notre société de consommation« , commente l’auteur de l’étude, le Dr James Roberts, professeur de marketing à la Baylor University (Texas). « Mais ils ne sont pas qu’un outil de consommation, ils sont aussi un symbole de statut social. Ils minent par ailleurs nos relations personnelles. »........
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.................. Une étude sur le comportement de 100 utilisateurs fait ressortir que ces derniers sont dépendants de leur téléphone. Dans le détail, les femmes s’avéreraient plus nomophobes (70%) que les hommes (61%). En effet, ils souffrent du sentiment de rejet quand ils ne reçoivent pas de messages ou d’alertes. Les utilisateurs sont donc dépendants de la relation immédiate mais pas de l’objet et peuvent ressentir la peur de ne plus exister pour autrui si leur téléphone est éteint. Les liens que l’on peut avoir avec ses proches via les mobiles est une façon de se rassurer. 

 

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