TOUT EST A LIRE, LE TEXTE TERMINE SUR UNE LUEUR D' ESPOIR...
EN ATTENDANT..... LE CHANGEMENT DE GOUVERNEMENT AVAIT FAIT ESPERER MAIS... TOUS PAREILS.... AUSSI POURRIS LES UNS QUE LES AUTRES
INFAME!!
Chaque
année, l’air du grand nord canadien s’emplit d’une odeur de sang. La
banquise se teinte d’un rouge écarlate. Le sang de phoques innocents
colore les glaces. Un carnage en pleine nature qui se perpétue d’année
en année dans une indifférence relative. Cette année encore, le
Canada donne son accord pour l’abatage de 400 000 têtes.
Plusieurs
dizaines de milliers de phoques seront à nouveau abattus sur les vastes
étendues glaciaires du grand nord Canadien courant 2015. La plupart
des animaux tués ne sont encore que des jeunes phoques. Pas assez
véloces pour s’échapper, ils tombent facilement aux mains des
chasseurs. Leur peau est particulièrement appréciée de l’industrie
textile de luxe.
Difficile
d’imaginer cette pratique respectueuse de l’animal. La chasse au phoque
est une industrie comme une autre. Elle n’a aujourd’hui rien de
traditionnelle et ne peut prétendre à aucun justificatif en matière de
bien-être animal. Les règles internationales en matière n’imposent pas
de normes d’abattage sans cruauté. Ce vide légal donne une liberté
totale aux gestes particulièrement cruels. Fusils, harpons, ou encore
des gourdins de bois munis d’un crochet appelés hakapik, les techniques
employées suggère un véritable massacre, le plus souvent éclair, qui
laisse des traces visibles sur l’environnement local.
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