SOURCE ET SUITE
DIFFICILE D' AVOIR UNE OPINION.. OUI BIEN SUR.. LIMITER LE STRESS ET L' ATTENTE DES ANIMAUX QUI VONT ETRE ABATTUS C' EST MOINS PIRE.... MAIS LES CHIFFRES ME FONT RUGIR BIEN SUR...
AHHH SACRES VIANDARDS... VOUS ETES IGNOBLES... CES ANIMAUX MASSACRES C' EST VOTRE RESPONSABILITE............. SANS VOTRE DESIR DE VIANDE CELA N' EXISTERAIT PAS...
La visite inopinée la semaine dernière des services de l'État à l'abattoir de Montauban
n'a pas fait trembler ses responsables. Il faut dire que le premier
abattoir public de la région Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon est
contrôlé très régulièrement. En plus des deux inspections annuelles
diligentées par la Direction départementale de la cohésion sociale et de
la protection des populations, l'abattoir montalbanais a eu l'an
dernier son inspection quinquennale ordonnée par le ministère de
l'agriculture dans le cadre du réseau national des abattoirs. «Nos
équipes sont expérimentées et assurent un contrôle de qualité tant sur
la protection animale dès l'arrivée des bêtes dans notre établissement
que sur le suivi sanitaire après abattage, explique José Ferreira,
directeur de la Société d'exploitation de l'abattoir de Montauban
(SEAM). Nous n'avons pas attendu ces actes inadmissibles dans le Gard ou
plus récemment dans les Pyrénées Atlantique pour nous en prémunir. Dès
2013, nous avons mis en place un responsable de la protection animale
qui veille à ce que les animaux soient le moins stressés jusqu'à leur
mort.» À Montauban, le délai d'attente maximum pour un animal est de 12
heures. Chaque jour ce sont 100 bovins, 60 veaux, 1 000 cochons et 200
moutons qui sont abattus à Montauban ce qui le place nettement au-dessus
de l'activité classique d'un abattoir public.
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