BRAVO, VOILA DES PERSONNES CONSCIENTES ET PAS SEULEMENT POLITIQUES.. UNE AVANCEE A SUIVRE POUR LA CAUSE ANIMALE!!
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La ferme des 1000 vaches dans la
Somme, celle des 1000 veaux dans la Creuse, aujourd'hui la ferme-usine
des 4000 vaches à Digoin en Saône et Loire, jusqu'où ira-t-on ?
Pourquoi nos élus locaux ne s'insurgent-ils pas contre ce projet ? Devons nous y voir la volonté de préparer notre agriculture à la ratification du CETA comme promis par Emmanuel Macron ? Notre modèle d'exploitation à taille humaine voire familiale dans le Charolais-Brionnais, gage de qualité des produits et du respect de la condition animale a pourtant fait ses preuves en conférant ses lettres de noblesse à la race Charolaise, mondialement reconnue.
Outre les risques de pollution des nappes phréatiques et les nuisances certaines vis à vis des riverains d'une telle concentration de bêtes, une prise de conscience s'opère au sein de la société française quant aux questions de bien-être animal (entassement des vaches ; traitements cruels et abattage rituel barbare à l'export en Turquie ou au magrehb), je rappelle que l'Assemblée Nationale en 2015 a reconnu aux animaux domestiques le statut "d'êtres vivants doués de sensibilité". Mais également quant aux grands enjeux écologiques de demain favorisant une agriculture raisonnée en symbiose avec l'environnement plutôt qu'une agriculture intensive faisant la part belle aux gaspillages alimentaires. Les ambitions économiques ne doivent pas occulter tout sens moral ou de responsabilité, un point d'honneur pour une France fidèle à ses valeurs.
Le SIEL s'oppose donc vivement à l'ouverture de ce type de structure, soutenant l'initiative de Brigitte Bardot interpellant publiquement le Ministre de l'Agriculture sur ce dossier ou toute autre démarche luttant contre cette dérive."
Pourquoi nos élus locaux ne s'insurgent-ils pas contre ce projet ? Devons nous y voir la volonté de préparer notre agriculture à la ratification du CETA comme promis par Emmanuel Macron ? Notre modèle d'exploitation à taille humaine voire familiale dans le Charolais-Brionnais, gage de qualité des produits et du respect de la condition animale a pourtant fait ses preuves en conférant ses lettres de noblesse à la race Charolaise, mondialement reconnue.
Outre les risques de pollution des nappes phréatiques et les nuisances certaines vis à vis des riverains d'une telle concentration de bêtes, une prise de conscience s'opère au sein de la société française quant aux questions de bien-être animal (entassement des vaches ; traitements cruels et abattage rituel barbare à l'export en Turquie ou au magrehb), je rappelle que l'Assemblée Nationale en 2015 a reconnu aux animaux domestiques le statut "d'êtres vivants doués de sensibilité". Mais également quant aux grands enjeux écologiques de demain favorisant une agriculture raisonnée en symbiose avec l'environnement plutôt qu'une agriculture intensive faisant la part belle aux gaspillages alimentaires. Les ambitions économiques ne doivent pas occulter tout sens moral ou de responsabilité, un point d'honneur pour une France fidèle à ses valeurs.
Le SIEL s'oppose donc vivement à l'ouverture de ce type de structure, soutenant l'initiative de Brigitte Bardot interpellant publiquement le Ministre de l'Agriculture sur ce dossier ou toute autre démarche luttant contre cette dérive."
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