ECOUTER LES POUBELLES..RAPPEL 30 000 EUROS D' AMENDE

IL PEUT Y AVOIR DES CHIOTS  VIVANTS...JETES DEDANS..

 SOURCE ET SUITE

Deux sauvetages en une soirée

Quelques heures plus tard, en fin de soirée, c’est un autre couple de Caennais qui fument une cigarette sur un banc dans un petit parc du centre-ville. Dans la poubelle à côté d’eux, des bruits légers. Sous une bouteille d’alcool jetée là, quelque chose bouge. De nouveau, un sac poubelle solidement fermé, avec encore un petit chien à l’intérieur. Appartenant visiblement à la même portée, les deux chiots, des femelles, ont encore leur cordon ombilical ensanglanté autour du cou. Leur naissance ne date que de quelques heures.
Les deux couples portent immédiatement secours aux animaux en détresse. Les sauveteurs de la petite femelle trouvée dans le parc la ramènent chez eux. Ils décident immédiatement de l’adopter, et la prénomment Destiny. De leur côté, les étudiants apportent les premiers soins au chiot de la place du Théâtre mais ne pouvant garder l’animal, ils mettent une annonce sur le Bon coin Caen, pour trouver une famille d’accueil.
Une annonce qui va droit au cœur de Léa. La jeune femme, qui habite Argentan, décide immédiatement d’adopter la chienne de la place du Théâtre. Elle la prénomme Lucky. Et met aussitôt tout en œuvre pour venir en aide à l’animal, très fragile. Elle crée une page Facebook, Lucky ou le combat pour la vie, pour dit-elle

soutenir Lucky qui se bat pour rester en vie mais aussi sensibiliser les gens à la cause animale. C’est ignoble d’abandonner des animaux dans de telles conditions. Même si on n’a pas les moyens de s’en occuper, il existe d’autres solutions. 

Sur la page, les témoignages de soutien affluent, ainsi que les commentaires horrifiés des internautes, estomaqués par la cruauté des propriétaires des deux chiots.
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...................Grâce aux réseaux sociaux, les bienfaiteurs de Lucky et ceux de Destiny ont découvert leur expérience commune ce drôle de samedi d’août. Avec eux, des milliers d’internautes ont dit leur colère mais se sont aussi mobilisés pour faire connaître l’histoire des chiots caennais et dénoncer la maltraitance animale. De leur côté, les propriétaires de deux chiens n’ont pas été retrouvés. Une plainte pourrait être déposée. Si tel était le cas et la maltraitance reconnue, ils encourent jusqu’à deux ans de prison et 30 000 € d’amende.