LA PREPARATION DU TAUREAU AVANT LA CORRIDA!!!
SOURCE
LISEZ BIEN C' EST TELLEMENT AFFREUX!!!
JE CONNAISSAIS QQ UNES DE CES FAITS, MAIS C' EST ENCORE PIRE QUE PAR LE PASSE CES SADIQUES SONT TELLEMENT IMAGINATIFS!!!
A ceux qui répondent que c'est un 'beau' sport, lisez juste ce qui suit (témoignage d'Alvaro Munera, torero repenti)
L'Afeitado
Cette pratique barbare consiste à scier à vif 5 à 10 cm de corne. L'opération dure 25 minutes et génère d'horribles souffrance pour l'animal ; il est enfermé dans un caisson et seules les cornes dépassent. Cette mutilation modifie la perception de l'espace pour le taureau. Tous les toreros réclament l'afeitado. En termes de douleur, cette ' intervention ' reviendrait à nous scier une dent à vif…
Cette opération a pour but de désarmer le taureau.
L’animal ainsi tourmenté, torturé, garrotté, piégé, encagé; ses plaintes, ses mugissements n’empêchent rien.
Les cornes sont ensuite poncées et éventuellement reconstituées avec de la résine.
Le taureau ne dispose pas d’un délai suffisant pour prendre connaissance de la nouvelle longueur de ses cornes et d’y adapter son coup de tête.
Le transport
Les taureaux sont ensuite transportés vers les villes taurines; c’est une épreuve douloureuse. Ces transports pouvant durer plusieurs jours, sur un plan incliné pour les fatiguer, les animaux ne reçoivent ni nourriture, ni boisson. C’est ainsi qu’en 2001, plusieurs taureaux déshydratés ont été retrouvés sans vie dans ces camions de la mort.
La préparation au combat
Avant le combat, le taureau est parfois préparé.
Yeux enduits de vaseline (afin de le désorienter), usage en dose massive de tranquillisants, hypnotisants, et même sprays paralysants (les mêmes utilisés par les forces de l’ordre, qui ont pour effet d’altérer la vue).
Pattes enduites d’essence de térébenthine, qui lui procure des brûlures insupportables, dans le but de l’empêcher de rester tranquille.
Aiguilles cassées dans les testicules, dans le but d’empêcher le taureau de s’asseoir ou de s’affaler.
Coton enfoncé dans les narines et qui descend jusque dans la gorge, dans le but de rendre plus difficile la respiration.
Coups de pieds et de planche sur l’échine et sur les reins, pour ne laisser aucune traces.
Les sabots sont limés, voire incisés et on enfonce des coins de bois entre les onglons, cette opération est faite pendant la contention dans la boîte à treuil (en même temps que l’afeitado).
Et juste avant de rentrer dans l’arène, on lui laissera tomber une trentaine de fois des sacs de sable de 100 kg sur les reins, après l’avoir immobilisé.
Et maintenant… le spectacle peut enfin commencer."
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