vendredi 2 août 2013

ACTION:COURRIER EMAIL A ENVOYER A CARREFOUR POUR LES CHEVAUX

Cheval-préhistorique-grotte-de-Lascaux-peinture-parietale-paleolitique-superieur-17000 av jc, Dordogne-France-Europe.




CREDIT PHOTO

ON CROYAIT AVOIR TOUT VU
 LE TRAFIC DE LA VIANDE DE CHEVAL EN AMÉRIQUE DU NORD ENTRE LE CANADA, LES USA ET LE MEXIQUE  EST UNE VIEILLE HISTOIRE (QUI CONTINUE HÉLAS BIEN SUR...) MAIS SUR NOTRE CONTINENT EUROPÉEN CE N' EST GUÈRE MIEUX...
REGARDEZ LA VIDÉO EN ROSE  ET ENVOYER LA LETTRE TTE RÉDIGÉE OU CHANGÉE A VOTRE GOÛT...



L’enfer des chevaux abattus pour la consommation belge

Les chevaux roumains qui se retrouvent dans les assiettes des consommateurs belges sont maltraités. C’est le résultat d’une enquête que GAIA a menée en mai 2013 en Roumanie. Pour en finir avec ces pratiques, GAIA lance une action de protestation. Vous pouvez nous aider !
 
GAIA a été témoin des sévices que subissent les chevaux roumains destinés au marché de la viande belge. Battus au fouet, les animaux doivent tirer des blocs de béton pour prouver leur force. Lorsqu’ils tombent à genoux sous l’effort, les coups de fouet redoublent d’intensité
 
Regardez la vidéo des maltraitances de chevaux en Roumanie : Cliquez ici. Attention, certaines images peuvent choquer.
 
En 2011, GAIA avait constaté des conditions tout aussi graves en Argentine, un pays qui exporte également de la viande de chevaux vers les supermarchés belges.
 
Les supermarchés Colruyt et Carrefour vendent de la viande chevaline provenant respectivement de Roumanie et d’Argentine. Il est donc grand temps de réagir ! A vos claviers : faites comprendre aux deux chaînes que ce trafic ne peut plus continuer ! Continuer la vente de cette viande chevaline, c’est entretenir les maltraitances.
 
Envoyez un message à Colruyt et à Carrefour pour exprimer votre indignation : via e-mail pour Carrefour (service.clientele@colruyt.be) et via le formulaire de contact pour Carrefour (www.carrefour.eu/fr/contactez-nous). Vous trouverez ci-dessous une lettre-type.
 
« Madame, Monsieur,
 
Je suis révolté(e) de découvrir les mauvais traitements subis par les chevaux d'Amérique du Sud et d'Europe de l'Est dont la viande est vendue dans vos magasins. Il en va de votre réputation et de ma confiance en votre chaîne de magasins que vous cessiez d'être impliqué dans ce trafic, soit en rompant vos contrats avec ces pays, soit en cessant tout à fait de vendre de la viande chevaline. »
 
D’avance, un grand merci pour votre aide !
 
 

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