A SIGNER TRES VITE ET A PARTAGER.. UNE CHANCE UNIQUE DE FAIRE CESSER CES TORTURES QUI NE SERVENT PAS A GRAND CHOSE..
SI NOUS SIGNONS TOUS, ILS DEVRONT ENFIN METTRE EN PLACE DES MOYENS PLUS CIBKLES ET SANS MORT D' ANIMAUX....
Pour conclure cette série sur les tests sur les animaux – spécifiquement dans les cosmétiques – nous partageons avec vous une initiative européenne, Stop Vivisection.
L’Europe a décidé de bannir en partie les tests sur les animaux. Néanmoins, il reste de nombreux cas où les tests sont permis, et la vivisection l’est toujours à ce jour. Une initiative européenne a donc été lancée afin de bannir également la vivisection.Tests sur les animaux :
- L’Europe bannit les tests sur les animaux (partie 1)
- Tests sur les animaux (2) : l’arbre qui cache la forêt
- Tests sur les animaux (3) : le label One Voice Bleu
- Tests sur les animaux (4) : le label Leaping Bunny
- Tests sur les animaux (5) : Stop Vivisection
Animaux : des Européens demandent la fin de la vivisection !
Depuis le mois de mars 2013, les tests sur les animaux sont interdits en Europe. Cette restriction ne concerne néanmoins que les cosmétiques et les ingrédients servant à leur élaboration. Une importante partie des tests sur les animaux est néanmoins toujours permise dans le cadre de REACH.A titre d’exemple, on vend 68.500 souris de laboratoire dans le monde par jour. Et les souris sont loin d’être les seuls animaux victimes de tests. L’expérimentation animale touche aussi les lapins, les chiens, les chats, toutes sortes d’animaux dès lors qu’on juge « utile » un tel acte.
Pourtant, 86% des Européens sont opposés à l’expérimentation animale pour des raisons éthiques, selon un sondage effectué par la Commission Européenne. C’est ainsi qu’est née l’initiative populaire de citoyens européens Stop Vivisection. Ils demandent l’abrogation de la directive européenne 2010/63/UE, dite « relative à la protection des animaux utilisés à des fins scientifiques« .
Un « modèle animal » absurde
Ils rappellent qu’une partie de la communauté scientifique considère que le « modèle animal » est sans valeur scientifique étant donné qu’un test effectué sur un animal n’a pas forcément le même résultat qu’un test effectué sur un être humain. Dès lors, les tests seraient non fiables, et il paraît absurde de déterminer la sûreté des produits de cette manière (ce qui est pourtant le cas avec REACH).Le collectif Stop Vivisection considère donc l’expérimentation animale comme :
- un frein pour la recherche biomédicale : on ne cherche pas à développer des méthodes alternatives
- un manque de sécurité : les méthodes alternatives sont pourtant plus fiables , plus rapides, plus économiques si utilisées en grand nombre
- un danger pour la santé humaine
- un danger pour l’environnement
- une cruauté non justifiée envers les animaux
Stop Vivisection : respecter les animaux
Sur ce dernier aspect, l’article 13 du Traité sur le Fonctionnement de l’Union européenne affirme que « l’Union et les États membres tiennent pleinement compte des exigences et du bien-être des animaux en tant qu’êtres sensibles« . Une obligation morale à ce jour non respectée dans les faits, y compris dans d’autres textes contradictoires (REACH, où il est pourtant difficile de trouver le mot « animal » explicité).La vivisection est une réalité et pourtant elle existe en laboratoire : on opère des animaux vivants afin de vérifier leurs réactions, neurologiques notamment. Ces opérations engendrent des douleurs et une souffrance générale envers les animaux, et laissent des séquelles parfois dramatiques à des êtres sans défense.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire