SOURCE ONE VOICE
PETITION SUR LA SOURCE
IL ME SEMBLE URGENT DE SIGNER, MAIS VOUS POUVEZ LAISSER FAIRE COMME POUR LE RESTE!!!
VOUS CONNAISSEZ LES 2 PERSONNAGES..
LE PREMIER EST "FAUT SE BOUGER LE CUL" LE SECOND EST "CA SERT A RIEN"
Mars 2013. Les farines animales, interdites après la crise de l’ESB, vont à nouveau être autorisées pour nourrir les poissons, les porcs et les volailles. L’absence de réelle traçabilité des filières poisson et viande fait craindre un risque pour la santé. Les exclure de votre alimentation permet de ne pas cautionner une pratique dangereuse et non éthique.
La logique économique prévautPETITION SUR LA SOURCE
IL ME SEMBLE URGENT DE SIGNER, MAIS VOUS POUVEZ LAISSER FAIRE COMME POUR LE RESTE!!!
VOUS CONNAISSEZ LES 2 PERSONNAGES..
LE PREMIER EST "FAUT SE BOUGER LE CUL" LE SECOND EST "CA SERT A RIEN"
Mars 2013. Les farines animales, interdites après la crise de l’ESB, vont à nouveau être autorisées pour nourrir les poissons, les porcs et les volailles. L’absence de réelle traçabilité des filières poisson et viande fait craindre un risque pour la santé. Les exclure de votre alimentation permet de ne pas cautionner une pratique dangereuse et non éthique.
En plein scandale de la viande de cheval dans les aliments préparés, la Commission européenne a annoncé que les farines de porcs et de volailles allaient à nouveau être autorisées pour nourrir les poissons et les crustacés d’aquaculture le 1er juin 2013 et les volailles et les porcs en 2014.
Cette décision ne respecte pas la volonté des citoyens qui réclament une alimentation sûre et saine, produite avec des matières premières traçables. Elle bafoue l’éthique en faisant manger des cadavres à des animaux pour des raisons économiques.
Les farines de viande contiennent des protéines bon marché. Leur utilisation vise à améliorer la rentabilité de l’aquaculture et des autres élevages car elles pourront remplacer les farines de poisson, qui se raréfient au rythme de la disparition des poissons des océans en raison de la surpêche.
ESB et maladie de Creutzfeldt-Jakob
Elles avaient été interdites en 2001 dans l’alimentation des animaux élevés pour la consommation après qu’une protéine infectieuse (prion) présente dans les farines animales avait provoqué l’épizootie (épidémie animale) d’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB ou maladie de la vache folle) qui a tué des centaines de milliers de vaches. Le prion, provenant du cerveau de vaches malades, a fait de nombreuses victimes humaines, contaminées par une nouvelle forme de la maladie de Creutzfeldt-Jakob après avoir mangé des produits bovins.
Selon les experts européens, la réintroduction des farines animales dans l’alimentation des animaux d’élevage non ruminants est conforme aux avis scientifiques récents : le risque de transmission de l’ESB entre animaux non ruminants est négligeable quand il n’y a pas de recyclage entre les espèces (un porc ne doit pas manger de farine de porc, une volaille ne mangera pas de farine de volaille).
Position irresponsable de la France
One Voice dénonce la naïveté de cette décision. Les scandales alimentaires qui se succèdent montrent l’absence de traçabilité réelle dans les filières viande et poisson. La réduction des effectifs des services de contrôle vétérinaire ne va pas dans le sens d’une meilleure sécurité sanitaire. Qui peut garantir que ces farines ne seront consommées que par les espèces autorisées pour ne pas constituer un risque pour la santé ?
De plus, nous refusons que des cadavres d’animaux servent à en nourrir d’autres.
Nous relevons aussi l’irresponsabilité du gouvernement français, qui s’est prononcé contre la décision européenne : elle s’appliquera obligatoirement puisqu’il s’agit d’un règlement européen, donc supérieur aux lois nationales.
Limitons la souffrance animale
Pour ne pas cautionner le retour des farines animales et préserver les conditions de vie des animaux, One Voice préconise de ne pas manger de poissons issus de la pêche industrielle ou d’élevages ou, plus efficace et plus sain, d’opter pour le végétarisme ou le végétalisme.
De nombreuses études internationales montrent que ne consommer ni viande, ni poisson, est bon pour la santé. Un régime végétarien équilibré diminue le risque de mortalité et protège de nombreuses maladies, dont les cancers et les maladies cardio-vasculaires. Et il ne cautionne pas la souffrance inhérente à l’élevage, au transport et à l’abattage de millions d’animaux chaque année.
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