On l'aura désormais bien compris, en matière de crise des gilets-jaunes,
Macron joue la pourriture... C'est bien sûr une option éminemment
dangereuse. C'est celle de la ville dont le prince est un enfant...
Elle peut sembler rentable à cet enfant-roi qui sait que, dans la
logique binaire installée par ses grands prédécesseurs, tout a été fait
pour qu'aux présidentielles le choix final oppose un candidat
maastrichtien et un autre qui ne l’est pas -le premier présentant le
second comme le chaos fasciste. De ce fait, pareille logique contraint à
porter au pouvoir n'importe quel homme lige de l'Europe
maastrichtienne. Il est l'un des serviteurs de ce pouvoir-là et s'en
sait fort. Mais c'est la force d'un domestique.
.....................Au lieu de cela, comme un vulgaire tyranneau de république bananière, il
a lancé sa soldatesque. Une partie du peuple s'est retirée pour laisser
place au ressentiment pur et simple de la populace. La bonhomie des
ronds-points a laissé place à la logique incendiaire. Avec ce poison
d'une hyper toxicité qu'est le ressentiment, quelques gouttes suffisent
pour abattre une civilisation qui se trouve dans l'état de la nôtre.
Loin du général de Gaulle, Emmanuel Macron prend le risque de laisser
son nom dans l'Histoire entre ceux de Néron et Caligula. On retiendra
que, quand Paris brûlait, il skiait...
SOURCE ET SUITE
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