JE SUIS EN PLEINE CURE DE LECTURE..
Et j' adore ca fait oublier..
EXCELLENTE THERAPIE !!
parmi mes dernieres commandes
Je tiens a signaler ce livre de GERARD BONAL
SAINT GERMAIN DES PRES
ICI
TOUTE UNE EPOQUE FASCINANTE de l' apres guerre, les débuts du JAZZ et les caves..
COMME DIT MACRON AUCUNE CULTURE EN FRANCE !!!
Et pourtant on faisait tellement la diff 130rence que le monde se précipitait à PARIS
Moi j' ai connu une peu plus tard, bcp plus tard en fait mais rien n' égalait PARIS ET LE QUARTIER LATIN !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
" Dans ce formidable mouvement d'idées, ce foisonnement artistique,
politique, littéraire, philosophique, théâtral qui explose à
Saint-Germain-des-Prés, vers 1944-45, avec le retour de la liberté, il y
a place pour tout et pour tous : la "bande à Prévert" et la "famille
Sartre", les premiers tableaux de Bernard Buffet et les derniers dessins
d'Antonin Artaud ; Juliette Gréco, la "Dame noire", et Cora Vaucaire,
la "Dame blanche" ; le Café de Flore et le Bar Vert, les
existentialistes, les communistes, les lettristes, les chanteurs
MA PROCHAINE LECTURE
AMAZON VA LIVRER AUJOURD' HUI.. SUPER !!
LA FRANCE EN GUERRE D' EDITH WHARTON
C' est en partie grace a elle et a Gertrude Stein pour la seconde guerre WWII que les USA sont venus participer a la guerre !!
ICI
Edith Wharton (1862-1937, Le Temps de l'innocence, Chez les heureux du
monde) reçoit en pleine Grande Guerre l'autorisation de se rendre sur le
front, à quelques mètres des lignes allemandes. De ce voyage, qu'elle
entreprend en 1915, naît une série d'articles publiés chez Scribners à
New York la même année. Témoignage important d'une intellectuelle
américaine, ces textes cherchent à provoquer chez ses compatriotes
neutres
GERTRUDE STEIN ICI je viens de commander ICI
LES GUERRES QUE J' AI VUES...
" La guerre n'est jamais fatale mais elle
est toujours perdue. Toujours perdue. Tout en disant cela, ils se
savaient sincères. Toujours perdue. Cela me ramène à l'époque où, de
huit à douze ans, j'ai lu quantité de livres, j'ai lu tous les drames
historiques de Shakespeare ainsi que ses autres pièces. De plus en plus
cette guerre, en 1942-1943, s'apparente à cela. Les horreurs, les
terreurs, les terreurs de tous et l'impuissance de ces terreurs
rapprochent cette guerre, si différente des antres, des drames de
Shakespeare. La guerre de 1914-1918 n'était pas du Shakespeare tandis
que celle-ci, n'ayant aucune signification, fait que le néant devient
tangible. Lorsque, je lisais Shakespeare entre huit et douze ans, je
baignais dans tout cela sans trop y croire, et de même par la suite,
quand je découvris davantage de sens, davantage d'épouvante. Mais dans
les pièces de Shakespeare il n'existe pas de signification, il n'existe
pas d'épouvante, il n'y a que le chaos et la peur, tout comme à l'heure
actuelle. "
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