mercredi 6 mars 2019

ALZHEIMER.. PLAQUES DE PROTEINES...

 SOURCE ET SUITE



La maladie d’Alzheimer en chiffres, c’est 225.000 nouveaux cas chaque année en France, et 900.000 personnes déjà atteintes. Un chiffre qui pourrait dépasser le million, d’ici à 2020. Les symptômes de cette maladie neuro-dégénérative sont bien connus. Ils se traduisent par des pertes de la mémoire, des difficultés à s’exprimer, à réaliser des gestes précis et à reconnaitre des visages ou des lieux connus.
Le mécanisme de cette maladie est bien connu. Des protéines anormales s’accumulent dans le cerveau, jusqu’à entrainer la mort des neurones. Ces protéines, ce sont la beta-amyloïde et la protéine Tau.
Anticiper le diagnostic 
Si la majorité des cas sont révélés après 65 ans, certaines formes précoces peuvent se déclarer plus tôt, sous l’influence de marqueurs génétiques. Des personnes porteuses d’une mutation sur un gène nommé APP ont notamment la quasi-certitude de développer la maladie avant l’âge de 50 ans.
Mais si toutes ces données sont bien connues, comment se fait-il qu’un traitement n’ait pas encore été développé ? La première raison est que le diagnostic est souvent tardif. Plus de dix ans séparent les premières morts de neurones et les premiers symptômes. Et quand vient le temps de réagir, il est souvent déjà trop tard.
La seconde, toute simple, est que la Science n’a pas encore trouvé le moyen de se débarrasser de ces plaques de protéines. Une fois celles-ci en place, impossible d’arriver à les enlever, sans compte que les dégâts sont souvent irrémédiables.
Un vaccin ? 
En revanche, l’hypothèse d’un vaccin fait son chemin depuis plusieurs années. L’intention serait d’apprendre au corps humain à se défendre et à réagir en utilisant la méthode de l’immunothérapie.

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