Certains
artistes du fourneau se convertissent aux produits de la mer, à la
volaille voire au tout-légume. D'autres prennent le parti, quasiment
militant, de continuer à proposer plus que jamais de la viande dans
leurs assiettes.
Inutile de préciser que la gastronomie française est
éminemment carnivore. Le premier livre de recettes connu, qui remonte au
Moyen Âge, ne s'appelle-t-il pas Le Viandier? Même les «plats du
pauvre» - à de rarissimes exceptions près, comme la cacasse à cul nu
originelle des Ardennes - trouvaient moyen de s'enrichir d'un bas
morceau de chair animale.SOURCE ET SUITE
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