En juillet 2010, la chaîne de
restauration rapide « Quick » s’était déjà lancée dans une opération
rentable : un premier fast-food « halal » avait ouvert à Toulouse.
Plusieurs autres ont rapidement suivi.
Dans les prochaines semaines, la totalité des enseignes « Quick » proposeront uniquement des menus halal.
Le sacrifice rituel musulman « halal » est un égorgement à vif qui fait fi de la souffrance des animaux car aucun étourdissement n’est prévu.
Du côté de l’hygiène, c’est tout simplement catastrophique : la bête étant consciente
au moment de la saignée, elle vomit et défèque sur le circuit
d’abattage. Tous ces rejets se mélangent au sang et créent un milieu de
culture idéal pour la prolifération des bactéries.
Plusieurs cas d’Escherichia coli détectés dans les circuits commerciaux avaient pour origine de la viande halal.
La viande halal est de plus soumise à une « taxe » prélevée par les mosquées pour financer le culte islamique. D’après une étude canadienne, cet argent est en partie distribué à des mouvances terroristes.
- Demain, manger Quick reviendra à cautionner une souffrance animale insupportable liée à l’égorgement à vif sans étourdissement.
- Demain, manger Quick reviendra à risquer sa santé, au vu des conditions sanitaires déplorables des abattages rituels.
- Demain, manger Quick reviendra à financer le culte musulman et des mouvements islamistes liés au terrorisme.
C’est d’autant moins acceptable que Quick est en partie la propriété de l’État,
à travers la Caisse des dépôts et consignations et sa filiale, le fond
d’investissement Qualium. Comment tolérer que l’argent du contribuable
serve à développer un tel business communautaire ?
Vigilance Halal a donc décidé d’interpeller les dirigeants de la
Caisse des dépôts et consignations : arrêtez de cautionner un business
communautaire qui viole les valeurs républicaine !
Pour nous aider :
1) Signez la pétition du collectif que nous avons monté. L’union fait la force, plus nous serons nombreux, plus nous pèserons !
2) Versez un don à Vigilance halal pour financer tous les recours juridiques possibles contre cette ignominie.
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