jeudi 17 janvier 2013

ACTIONS ET RENDEZ VOUS

PAS SI FACILE.. LA LUTTE EST ARDUE!!!!
 UN BON NOMBRE DE LIENS ET DE PETITIONS  A SIGNER, JE TRANSMETS COMME J'AI RECU DE ANIMALONESTMAL
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PETITION STOP VIVISECTION ! 2013 ISRAËL INTERDIT LES PRODUITS TESTES SUR LES ANIMAUX MAIS N'Y PARVIENT PAS...
CHIENS DE LABO MANIF HARLAN
Mise à jour le 17 janvier 2013 : Expérimentation animale, Israël attend toujours son interdiction...
Alors qu'il devait interdire les cosmétiques testé sur des animaux dès janvier, le gouvernement israélien traîne un peu des pieds. Sur les groupes de pharmacie et de produits de beauté disposent de puissants lobbys pour promouvoir l'expérimentation animale et empêcher les lois réduisant la douleur.
Depuis le 1er janvier 2013, Israël devait interdire toute l'importation et vente de produits cosmétiques (mais aussi les détergents) testés sur des animaux. Néanmoins, comme le gouvernement n'a pas rédigé les règles précises de commercialisation sur cette loi votée en 2010, elle ne s'applique pas réellement. De la sorte, les groupes cosmétiques, tels que notre géant français L'Oréal, ne devraient pas voir leurs énormes bénéfices écornés. Et ils pourront continuer à vendre tranquillement à Tel Aviv leurs crèmes et autres rouges à lèvres infligés pendant des mois à des milliers d'animaux dans des parties de leur corps où ils n'ont rien à faire et où, justement, ils ne leur font pas du bien.
Des règles qui peinent à s'imposer dans les labos
Israël n'a donc pas eu le courage de pousser la logique de la protection animale jusque là. Il faut dire que dans ce domaine, les règles ont bien du mal à aboutir. Après des décennies de parfaite opacité sur les pratiques, la législation a évolué. Sous la pression des défenseurs de la cause animale et les témoignages d'anciens laborantins écœurés, les unités de tests ont dû commencer à nettoyer un peu leurs paillasses. Depuis 2010, une directive du Parlement européen impose une amélioration des conditions de vie des cobayes, en cosmétiques comme en pharmacie ou en recherche médicale. Les animaux doivent être détenus dans des cages assez grandes. Et les expérimentateurs sont censés limiter leur douleur au strict minimum et ne pas leur faire mal deux fois de suite en peu de temps. En principe, ils sont anesthésiés en cas d'opération et ont droit à des médicaments anti douleur.
Mais quasiment aucun contrôle n'est effectué sur l'application de ces règles. Les contraintes budgétaires des entreprises laissent aisément imaginer que les anti-douleurs restent dans les placards et que les anesthésies sont en option. Et ce qui est encore presque plus choquant, c'est que la souffrance des animaux semble occultée par ceux qui les utilisent. Ils les ont d'ailleurs rebaptisés du doux euphémisme de « matériel biologique ». Peut-être pour être sûrs de ne pas s'y attacher. Une vraie prise de conscience leur poserait-elle des problèmes pour justifier leurs pratiques au regard de leur propre humanité ?
La nouvelle génération dope les alternatives
Aujourd'hui, l'expérimentation de différents produits sur les animaux est un débat qui monte. En France, deux millions d'animaux servent de cobayes et 85% d'entre eux sont des souris et des rats. Dans les laboratoires, on trouve aussi des lapins, des chiens, des chats, des cochons et des moutons ou encore des singes. De plus en plus de scientifiques dénoncent ce recours systématique aux animaux, alors que des techniques alternatives donnent de bons résultats. La culture cellulaire produit des « morceaux » d'humain. Des tissus qui permettent d'expérimenter en s'assurant que ce qui marche est valable sur les hommes. Car l'expérimentation animale n'est pas toujours utile. Une étude menée sur 50 produits et médicaments a montré que ces tests ne sont fiables sur l'homme qu'à 65%. Du coup, des mois d'expérimentation finissent à la poubelle : les animaux ont souffert pour rien. Heureusement, sous la pression de quelques jeunes chercheurs, les techniques alternatives se développent enfin (voir ci-dessous).
Les lobbys pro vivisection s’accrochent
Pourtant, de nombreux chercheurs de la vieille école s’accrochent encore à l’expérimentation animale. Ils l’évoquent comme un « mal nécessaire » et refusent d’explorer des pistes alternatives. Sans les accuser d’un crypto-sadisme qui leur permettrait de torturer légalement des êtres sans défense pour se défouler, je m’étonne de cette absence de curiosité scientifique pour les nouvelles techniques. Lorsqu’elle émane d’organismes tels que le Gircor (Groupe interprofessionnel de réflexion et de communication sur la recherche) dont la majorité des chercheurs travaillent pour des labos pharmaceutiques, on peut aisément imaginer que le conflit d’intérêt nourrit l’absence d’objectivité. Ceux qui travaillent pour Sanofi ou Pfizer ne vont pas priver leurs employeurs de leurs précieux cobayes. Mais pour les autres… Bref, si le débat secoue l’opinion publique, la France ne semble pas prête à avancer. Elle fait beaucoup moins bien que la Belgique qui publie des statistiques sur le nombre d’animaux testés (en réduction) ou la Suisse qui développe d’autres moyens d’expérimentation. Moins bien aussi que l’Italie où l’on commence à fermer les élevages de chiens de laboratoire pour se mettre en conformité avec les règles européennes et après avoir constaté que les beagles étaient illégalement vendus à l’industrie cosmétique
A la recherche des labels anti vivisection
Pour en revenir à la cosmétique, l’une des pratiques les plus courantes consiste à introduire les crèmes de beauté et autres rouges à lèvre dans les yeux de lapins. Mais aussi sur des plaies qu’on leur inflige pour voir jusqu’à quel point le produit aggrave les blessures. En Europe, les tests de cosmétiques sur des animaux devaient être interdits en 2013. Mais les lobbys industriels ont apparemment réussi à faire repousser cette mesure. Aujourd’hui, certains labels comme Cosmebio ou Human Cosmetics Standard garantissent des produits cosmétiques non testés sur des animaux. L’association One Voice possède aussi un moteur de recherche en ligne qui permet de savoir si le produit qu’on utilise a été ou non testé sur des lapins. Mais ces produits, comme ceux du fabriquant français Caudalie ou de l’Anglais Lush, sont encore assez confidentiels et peu nombreux. Yves Rocher et L’Occitane qui les avaient obtenus les ont finalement perdus en 2012. Il faudra donc un vrai mouvement de consommateurs pour que les grands groupes s’y mettent.
Une alternative prometteuse
En Suisse, un dispositif expérimental baptisé InLiveTox a été mis au point pour reproduire certains organes et la circulation sanguine. Les chercheurs peuvent ainsi tester l’effet de leurs produits sur des cellules humaines et observer comment l’estomac ou le foie réagissent à leur contact. Un dispositif bien plus fiable que les expérimentations animales car, comme on s’en doute, un organisme de rat ou de lapin ne réagit pas forcément comme celui d’un humain. De fait, de très nombreux tests sont totalement inutiles.
Source Un Zoo dans la tête le 13 janvier 2013 :
Une loi complète contre la vivisection !
Tandis que se prépare en France une nouvelle marche silencieuse, ce 19 janvier 2013, pour protester contre l'élevage de chiens de laboratoire HARLAN à GANNAT, arrondissement de VICHY dans l'Allier, l''Etat d'Israël a légiféré de manière progressiste en faveur des animaux. La loi votée par le parlement, la Knesset, exclut cependant les produits médicaux. Mais elle suit les lignes directrices établies par l’Union Européenne, qui a adopté une interdiction similaire en 2004, à laquelle la France s'oppose farouchement ! Pourtant, il existe depuis longtemps des méthodes substitutives à la vivisection avec des chercheurs humanistes comme ceux d'ANTIDOTE EUROPE. En mai 2012, l'INDE a également interdit ces tests horrifiants et prévu de lourdes sanctions en cas d'irrespect. Les chiffres cités sur le nombre d'animaux utilisés sont certainement en deça de la réalité, tant les laboratoires cachent leur ignominie. Il n'est pas vain de rappeler à cette occasion, la citation du docteur Helmut Friedrich. KAPLAN, psychologue, philosophe, écrivain et enseignant à Salzburg en Autriche, qui a déclaré : "Tout ce que les nazis ont fait aux Juifs, nous le faisons aux animaux. Nos petits-enfants nous demanderont un jour : Où étiez-vous pendant cet holocauste-là ? Qu’avez-vous fait contre ces horribles crimes ? Nous ne pourrons plus alors donner la même excuse une seconde fois, que nous ne savions pas." L'Etat français en est encore là, dans ce même VICHY, à élever des animaux pour la honte de l'humanité, et il torture encore des taureaux pour le plaisir sadique de la "tradition culturelle"... Voici l'un des articles traduit de l'hébreu par David Goldstein qu'il fait bon lire.
Les produits cosmétiques, de toilette et détergents interdits à l'importation, la commercialisation et la vente en Israël
Demain à minuit les produits cosmétiques testés sur les animaux seront interdits en Israël.
Presque deux ans après que cette loi ait été autorisée à la grande majorité par la Knesset, (le parlement) cette loi qui est un complément de la loi déjà votée en 2007, entrera en vigueur demain à minuit, et grâce à elle les essais sur les animaux seront complètement interdits en Israël, que ce soit pour les produits cosmétiques et de nettoyage.
Selon les informations, pendant les essais, chaque produit est testé 2000 à 3000 fois sur un nombre important d'animaux, qui meurent dans d'atroces souffrances.
Il s'agit d'une véritable révolution dans le monde de la défense des animaux en Israël", a déclaré aujourd'hui l'initiateur de cette loi, le député travailliste Eitan CABEL. "Il s'agit d'un changement de perception révolutionnaire et j'espère que cela mettra un terme aux essais sur les animaux. Nous avons parcouru un long chemin dans la durée, à la Knesset, pour obtenir un vote massif sur cette loi."
"Le but de cette loi est d'empêcher les importations en Israël des produits cosmétiques, qui n'apportent rien à la santé, ainsi que les produits de nettoyage qui passent par un stade de tests sur des animaux pour leur fabrication", continue Cabel. "Ces tests pour les développements de ces produits sont à la source de nombreuses souffrances pour les animaux, et se font sans anti-douleur".
Sources blog de Haabir-haisraëli Un air d'Israël le 30 décembre 2012 :
A lire aussi Gannat, des bougies et des fleurs pour exprimer l'indignation à la France :
SVP signez et partagez la pétition STOP VIVISECTION Initiative citoyenne européenne qui aura besoin de 1 million de signatures pour aboutir. D'autant que la France -qui torture toujours les taureaux de corrida- s'oppose à l'Union Européenne, et donc au progrès humaniste. Nos eurodéputés avaient aussi prouvé leur mauvaise foi, sauf les Verts et le Front National, en rechignant à signer l'accord pour les 8 heures de transport des animaux d'abattoir ! Pour signer, ce qui constitue un vote législatif, il faut indiquer un numéro de carte d'identité ou passeport aux nouvelles normes si possible, ou permis de conduire qui fonctionne bien :
Photo CCE2A Collectif contre l'expérimentation et l'exploitation animales
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Bien amicalement,
Cerizette
Le 11 janvier 2013 - MAJ le 17 janvier 2013

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