SOURCE ET SUITE
C'est un changement que des défenseurs de la cause animale
accueillent comme une grande victoire. Le FBI considère désormais les
actes de cruauté sur des animaux comme des crimes de classe A, la même
que les homicides et les incendies criminels.
Les actes de
cruauté envers les animaux se divisent en quatre catégories :
négligence ; torture et maltraitance intentionnelle ; maltraitance
organisée (entrent dans cette catégorie les combats de chiens et de
coqs); et les violences sexuelles sur animaux. L'agence américaine les
traite donc désormais sur le même plan que d'autres crimes graves.
Depuis le 1er janvier, les données relatives à ces actes sont entrées
dans le système NIBRS (pour National Incident-Based Reporting System)
qui sert au FBI pour enregistrer les crimes au niveau national.
dimanche 31 janvier 2016
LILLE RESTO UNIVERSITAIRE QUTIDIENNEMENT REPAS 100% VEGAN
SOURCE ET SUITE
Il en faut pour tous les goûts. Dès ce lundi, le restaurant universitaire Pariselle, de la faculté de Lille 1, va proposer aux étudiants un plat chaud 100 % végétalien. Une initiative unique en France selon l’association Sentience à l’origine du projet.
Axelle reconnaît d’ailleurs avoir été un peu prise de court par ce succès : « On savait qu’il existait une demande des étudiants mis il y a aussi beaucoup de préjugés qui circulent sur l’alimentation végétalienne ». Le véganisme, ou végétalisme, consiste à ne manger aucun produit ou sous produit issu de l’exploitation animale. « On nous parle de carences, mais c’est faux. Ce qui est important, c’est d’avoir une alimentation variée », assure-t-elle.
L’arrivée, dès lundi, de ce fameux plat chaud végétalien est une sorte de consécration pour un combat qui n’était pas gagné d’avance. « On sait maintenant que ça fonctionne, ce sera donc plus facile pour convaincre les autres restaurants universitaires », se réjouit Axelle. A commencer par ceux de Lille 3 où l’association Sentience à ses locaux ?
Il en faut pour tous les goûts. Dès ce lundi, le restaurant universitaire Pariselle, de la faculté de Lille 1, va proposer aux étudiants un plat chaud 100 % végétalien. Une initiative unique en France selon l’association Sentience à l’origine du projet.
Une offre quotidienne
Que les viandards se rassurent, il y aura toujours de la barbaque en rayon. Cependant, grâce au travail de l’association étudiante Sentience, le restau U Pariselle a diversifié son offre afin de contenter les amateurs de nourriture 100 % végétale. « L’expérience a débuté au mois de janvier avec des plats de pâtes, des sandwiches et des pizzas, explique Axelle Playoust, co-présidente de l’association. Ça a tellement bien fonctionné que l’offre végane est devenue quotidienne très rapidement ».Axelle reconnaît d’ailleurs avoir été un peu prise de court par ce succès : « On savait qu’il existait une demande des étudiants mis il y a aussi beaucoup de préjugés qui circulent sur l’alimentation végétalienne ». Le véganisme, ou végétalisme, consiste à ne manger aucun produit ou sous produit issu de l’exploitation animale. « On nous parle de carences, mais c’est faux. Ce qui est important, c’est d’avoir une alimentation variée », assure-t-elle.
Des progrès à faire pour les desserts
La mise en place de ce service a été aussi moins compliquée que prévu. « Pariselle prépare tout sur place dans sa cuisine, il suffit de commander les bons produits chez les fournisseurs », précise la co-présidente de Sentience. Et, pour diversifier les plats végétaliens, l’association livre ses idées au chef. « Il reste des progrès à faire au niveau des desserts, reconnaît cependant Axelle. Mais nous y travaillons ».L’arrivée, dès lundi, de ce fameux plat chaud végétalien est une sorte de consécration pour un combat qui n’était pas gagné d’avance. « On sait maintenant que ça fonctionne, ce sera donc plus facile pour convaincre les autres restaurants universitaires », se réjouit Axelle. A commencer par ceux de Lille 3 où l’association Sentience à ses locaux ?
Mots-clés :
COMPLEMENT D' ENQUETE LA VIANDE EN FRANCE
SOURCE ET SUITE
A VOIR ICI
2/3 DES FRANÇAIS MANGENT DE LA VIANDE 2 FOIS PAR JOUR..
PAS PLUS CONS QUE LES 2/3 DES FRANÇAIS BIEN SUR
QUEL DÉCALAGE CE PAYS..
TOUJOURS EN RETARD ET DÉCADENTS!!!
Dans "la guerre de la viande", au cœur du magazine "Complément d'enquête" le 28 janvier 2016, pas de quartier pour les mauvaises pratiques industrielles. Zoom sur L214, l'association végane qui a fait fermer l'abattoir d'Alès avec une vidéo choc.
Les Français vont-ils finir par se dégoûter de leur sacro-saint steak-frites ? La consommation de viande rouge perd des couleurs, tandis que le courant vegan fait de nouveaux adeptes. Et pour cause... En octobre 2016, un rapport choc de l'OMS dénonce les propriétés cancérogènes de la viande. Le même mois éclate le scandale de l'abattoir d'Alès.C'est l'association de défense des animaux d'élevage L214 qui l'a mis au jour. Au printemps 2015, une équipe a tourné en caméra cachée des images d'"un carnage quotidien, d'une effroyable cruauté" envers cochons, vaches, chevaux ou moutons. De quoi vous couper l'appétit… La vidéo, sous-titrée en anglais et vue plus de 1,6 million de fois, aboutit quelques mois plus tard à la fermeture de l'abattoir.
samedi 30 janvier 2016
SYMBOLISME ET PLANTES/NATURE
PHOTO DU BLOG
SYMBOLISME DES ARBRES
INTERESSANT ET UTILE CAR VERTUES MEDICINALES EN FONCTION DE CHAQUE ARBRE
ICI
L’Amandier :
L’Amandier est signe de renaissance, de la nature, de fragilité, de
la partie divine de l’homme, de l’extorisation sans crainte à la bonté
et à l’amour, de l’étourderie, et des esprits superficiels.Chez les Grecs, l’amande pressée était comparée à la semence de Zeus, en tant que puissance créatrice. On affirme même que l’Amandier remonte directement à ce Dieu et que son fruit peut féconder une vierge indépendamment de l’union sexuelle. Selon une croyance qui tient encore en Europe, la jeune fille qui s’endort sous un Amandier en rêvant à son fiancé, peut soudainement se réveiller enceinte. Dans les textes bibliques, l’amandier est souvent auréolé de facultés bénéfiques.
Dans les chants des troubadours, la fleur d’amandier était subtilement associée à la pureté cathare. Héra transforma Phyllis, princesse éplorée en amandier et quand son amant de retour embrassa le tronc ses larmes donnérent les fleurs…
Vertus médicinales : Trés nombreuses: vermifuges, laxatives, calmantes, émollientes, diurétiques et purgatives. L’amandier permet aussi de lutter contre les affections pulmonaires, la coqueluche, l’insuffisance hépatique, la toux et les maux de gorge.
Le lait ou l’huile d’amande douce est réputé pour tonifier et purifier l’épiderme, chasser les dartres ,il apporte la beauté (cosmétologie).
SYMBOLISME DES FLEURS
AMUSANT PLUS QU' UTILE
ICI
STAUE POUR DIESEL EN ITALIE.. A SASSARI
DIESEL A DESORMAIS UNE STATUE
PAS QUE CELA SOIT D' UNE GRANDE UTILITE AUTRE QUE SYMBOLIQUE BIEN SUR
CETTE PAUVRE CHIENNE AVAIT EU TORT DE FAIRE4 CONFIANCE A SON MAITRE POLICIER, ELLE A ETE ABATTUE SANS PITIE ET SON SOUVENIR RESTERA DANS NOS COEURS..
SOURCE
Le 22 janvier, l’université de médecine vétérinaire de Sassari, en Italie, a inauguré une statue rendant hommage à Diesel, le chien du Raid tué pendant l’assaut de Saint-Denis, en novembre dernier.
L’émotion suscitée après la mort de Diesel dépasse très largement nos frontières. Partout dans le monde, les médias et les internautes ont relayé l’histoire de ce courageux chien abattu par les terroristes pendant les attentats de Paris.
L’Italie fait partie des ces pays que le sort de Diesel n’a pas laissé indifférents. C’est pourquoi une statue baptisée « Chiens héros » a été inaugurée. Construire par l’Académie des Beaux Arts de Sassari, elle représente les profils de deux Malinois (la race de Diesel), ainsi que sept supports symbolisant son âge : 7 ans.
Franco Sgarangella, Directeur du Département de Prévention des maladies des animaux de Sassari, présent lors de cette inauguration, a rendu hommage à ces chiens qui sont « des camarades de jeu parfaits » et « des amis fidèles ». Et de déclarer :
« Nos vétérinaires sont restés très touchés par la mort de Diesel. Pour sa générosité, sa fidélité et son combat pour la défense de l’Homme. Et ce, au prix de sa propre vie. Il y a depuis toujours un rapport très spécial entre les vétérinaires et les chiens des forces de l’ordre. Nous en sommes très heureux. »
Cette cérémonie a également été l’occasion d’évoquer deux projets : le service de secours pour animaux sans famille, et le renouvellement du partenariat entre l’Italie et la France dans le combat pour la prévention des maladies nuisibles aux animaux et aux hommes.
Source : holidogtimes.com
LA LOI AG GAG, OU EN EST ON???
SOURCE ET SUITE
ETAT PAR ETAT AUX USA
PAS VRAIMENT DE PROGRES
Undercover investigations at farms and slaughterhouses across the country have repeatedly uncovered the dark underside of agribusiness: the abusive treatment of billions of animals.
In response to these revelations, agribusiness and corporate, and industry interests have pushed hard for what are known as “Ag-Gag” laws. Such laws “gag” would-be whistleblowers and undercover activists by making it illegal to record and disseminate photographs or footage taken in agricultural operations.
Eight states — Kansas, North Dakota, Montana, Iowa, Utah, Missouri, Idaho, and North Carolina — have passed “Ag-Gag” laws. In addition, Wyoming passed two laws that are not Ag-Gag per se but effectively criminalizes undercover recording operations.
Such laws aim to hide the suffering of billions of animals on industrial farms, but they also allow farms to hide other activities that jeopardize food safety, workers’ rights, and environmental protections.
ETAT PAR ETAT AUX USA
PAS VRAIMENT DE PROGRES
Undercover investigations at farms and slaughterhouses across the country have repeatedly uncovered the dark underside of agribusiness: the abusive treatment of billions of animals.
In response to these revelations, agribusiness and corporate, and industry interests have pushed hard for what are known as “Ag-Gag” laws. Such laws “gag” would-be whistleblowers and undercover activists by making it illegal to record and disseminate photographs or footage taken in agricultural operations.
Eight states — Kansas, North Dakota, Montana, Iowa, Utah, Missouri, Idaho, and North Carolina — have passed “Ag-Gag” laws. In addition, Wyoming passed two laws that are not Ag-Gag per se but effectively criminalizes undercover recording operations.
Such laws aim to hide the suffering of billions of animals on industrial farms, but they also allow farms to hide other activities that jeopardize food safety, workers’ rights, and environmental protections.
Farmed Animals are Largely Unprotected
Despite their vast numbers, and the severity of abuse they suffer, the U.S. legal system gives farmed animals only minimal protections:- There are no federal laws governing the conditions in which farmed animals are raised.
- The majority of farmed animal suffering is exempt from state criminal anti-cruelty laws.
- Many state anti-cruelty laws exempt “standard” or “commonly accepted” agricultural practices as defined by the industry, including crating baby cows, confining hens in battery cages, cutting off the beaks of chicks with a hot knife and no anesthesia, and a host of other inherently cruel, but common, industrial practices.
Fighting Back in Court — and Winning
Animal advocates, led by the Animal Legal Defense Fund and joined by consumer rights, food safety, civil liberties, and whistleblower protection organizations, are successfully challenging Ag-Gag laws in the courts.jeudi 28 janvier 2016
LES VEAUX ET LES LAITAGES QUELQUES FAITS CACHES
SOURCE ET SUITE
AVEC PHOTOS ET VIDEO
1. 21,000,000 dairy calves are slaughtered for veal or cheap beef every year globally. (1)
2. Like all mammals, cows must give birth in order to make milk. Like human mothers, they carry their babies for nine months, then begin to lactate for the sole purpose of nourishing their young.3. Due to extensive genetic manipulation, today’s dairy cows produce up to 12 times more milk than they would naturally produce to feed a calf. (2)
EMERGENCE DE NOUVEAUX VIRUS RESISTANTS AUX ANTIBIOTIQUES, ELEVAGE INDUSTRIEL MIS EN CAUSE
source et suite
avec video
We depend on antibiotics to fight infections and numerous diseases but, unfortunately, we may not be able to rely on their lifesaving capacities for long. When they were first introduced in 1944, antibiotics were considered a miracle cure, used to treat everything from salmonella and pneumonia to infected wounds. To ensure their enduring effectiveness, they were intended to be used sparingly. However, the meat industry has been overusing antibiotics for decades.
These drugs are fed to factory farm animals to make them grow bigger faster and to enable them to survive the unsanitary and cramped conditions they are raised in. The rampant misuse of these drugs has led to new antibiotic-resistant bacteria emerging, commonly known as “superbugs.” Scientists have been highlighting the severity of health risks posed by these superbugs for years, but with these warnings unheeded; the situation has progressively gotten worse.
Recently, researchers discovered a new gene mutation in bacteria called mcr-1 in meat, live pigs, and sick people in China. This gene makes bacteria resistant to our last-resort class of antibiotics. Scarier still, there is a high rate of transfer of this gene between bacteria, suggesting the terrifying potential for this drug-resistance to reach epidemic proportions and spread worldwide. Confirming this suspicion, a mere month after the gene was discovered in China, scientists found the very same strong strain of antibiotic-resistance in the United Kingdom.
It is now widely accepted that antibiotic-resistance has grown and spread due to these drugs being heavily overused in animal agriculture. Antibiotics — and colistin in particular — are fed to intensively-raised livestock in massive quantities. A whopping 80 percent of all antibiotics used in the United States are given to factory farmed animals. China alone uses 12,000 tons of colistin in animal farming each year, with the U.S. using 800 tons. A further 400 tons are administered to animals raised for food in Europe. There, the amount of antibiotics given to farm animals is more than 500 times the amount used for humans.
Why does the farming industry need such massive quantities of antibiotics? Shockingly, it actually doesn’t. Or rather it wouldn’t if it didn’t confine its animals and supersize them for profit. Antibiotics are routinely administered to farm animals to increase their physical size — to render their slaughtered bodies more profitable to the industry — and to counter the poor hygiene and intensive conditions farm animals are subjected to. Indeed, it would cost far too much to monitor and treat each animal on a case-by-case basis. Instead, massive quantities of antibiotics are ground up and fed to all the animals, as a purely preventative measure.
People are not only contaminated by the drug-resistant bacteria by eating the meat from these animals, but also because of how easily these superbugs spread through our environment, as this video clearly illustrates. This essentially means that drug-resistant infections can affect people whether or not they eat meat, all because of the livestock industry’s rampant mismanagement.
In other words, the meat industry has brought about the beginning of a health crisis of epidemic proportions merely to turn a quick buck. Life-saving drugs are being rendered utterly useless, putting thousands of people at risk, just so farmers can profit by inducing growth and preventing losses in the animals they slaughter.
avec video
We depend on antibiotics to fight infections and numerous diseases but, unfortunately, we may not be able to rely on their lifesaving capacities for long. When they were first introduced in 1944, antibiotics were considered a miracle cure, used to treat everything from salmonella and pneumonia to infected wounds. To ensure their enduring effectiveness, they were intended to be used sparingly. However, the meat industry has been overusing antibiotics for decades.
These drugs are fed to factory farm animals to make them grow bigger faster and to enable them to survive the unsanitary and cramped conditions they are raised in. The rampant misuse of these drugs has led to new antibiotic-resistant bacteria emerging, commonly known as “superbugs.” Scientists have been highlighting the severity of health risks posed by these superbugs for years, but with these warnings unheeded; the situation has progressively gotten worse.
Recently, researchers discovered a new gene mutation in bacteria called mcr-1 in meat, live pigs, and sick people in China. This gene makes bacteria resistant to our last-resort class of antibiotics. Scarier still, there is a high rate of transfer of this gene between bacteria, suggesting the terrifying potential for this drug-resistance to reach epidemic proportions and spread worldwide. Confirming this suspicion, a mere month after the gene was discovered in China, scientists found the very same strong strain of antibiotic-resistance in the United Kingdom.
The Major Culprit
The Meat Industry is Creating New Antibiotic-Resistant Bacteria… and it’s Spreading Rapidly
rappel 80% des antibiotiques utilises aux usa sont destines aux animaux , mais la chine fait encore mieux!!!
bien sur si les animaux etaient eleves differemment cela pourrait etre superflu, mais les elevages veulent aussi augmenter la corpulence des betes pour le profit
et comme l' administration au cas par cas serait trop complique ils optent pour une distribution de masse
It is now widely accepted that antibiotic-resistance has grown and spread due to these drugs being heavily overused in animal agriculture. Antibiotics — and colistin in particular — are fed to intensively-raised livestock in massive quantities. A whopping 80 percent of all antibiotics used in the United States are given to factory farmed animals. China alone uses 12,000 tons of colistin in animal farming each year, with the U.S. using 800 tons. A further 400 tons are administered to animals raised for food in Europe. There, the amount of antibiotics given to farm animals is more than 500 times the amount used for humans.
Why does the farming industry need such massive quantities of antibiotics? Shockingly, it actually doesn’t. Or rather it wouldn’t if it didn’t confine its animals and supersize them for profit. Antibiotics are routinely administered to farm animals to increase their physical size — to render their slaughtered bodies more profitable to the industry — and to counter the poor hygiene and intensive conditions farm animals are subjected to. Indeed, it would cost far too much to monitor and treat each animal on a case-by-case basis. Instead, massive quantities of antibiotics are ground up and fed to all the animals, as a purely preventative measure.
People are not only contaminated by the drug-resistant bacteria by eating the meat from these animals, but also because of how easily these superbugs spread through our environment, as this video clearly illustrates. This essentially means that drug-resistant infections can affect people whether or not they eat meat, all because of the livestock industry’s rampant mismanagement.
In other words, the meat industry has brought about the beginning of a health crisis of epidemic proportions merely to turn a quick buck. Life-saving drugs are being rendered utterly useless, putting thousands of people at risk, just so farmers can profit by inducing growth and preventing losses in the animals they slaughter.
Why are Superbugs so Dangerous?
pourquoi ces virus resistant sont ils si dangereux..
suite ici dont :
Currently, antibiotic-resistant infections kill 23,000 Americans each year. It is estimated that by 2050, they will claim the lives of 9.6 million people worldwide.
mercredi 27 janvier 2016
EN NOUVERLLE ZELANDE 2 MILLIONS DE VEAUX TUES CHAQUE ANNEE ... POUR LE LAIT QUI LEUR ETAIT DESTINE ET A ETE VOLE...
SOURCE ET SUITE
CREDIT PHOTO
What Happens to The Calves?
In New Zealand alone, two million unwanted calves are killed annually. The investigation showed two helpless calves being dragged by their legs across a blood-soaked floor. They had been brutally kicked and slaughtered by being clubbed on the head with a hammer and stabbed in the neck. Another calf was still writhing in agony after being hit and stabbed.Calves are intelligent sentient creatures who can feel the joy and pain. But to the dairy industry, they are mere products. The females will suffer the same miserable lives as their mothers. The males are of no use to the dairy industry and will be discarded and destroyed as a superfluous by-product. These babies, torn from their mothers and slaughtered by millions to fuel our dairy consumption are known as bobby calves. Globally, the dairy industry is responsible for the slaughter of 21 million calves per year.
SUITE
QUELQUES NOUVELLES PERSO
JOURNEE LUGUBRE, VENTS DE TEMPETE,COMME D' HABITUDE DEPUIS DE LONGS MOIS..
.MAIS AU MOINS ICI DANS LA NATURE ON SURVIT PLUTOT MIEUX QU' AILLEURS, ET A CHAQUE BELLE ECLAIRCIE, ON PEUT SE PROMENER EN BORD DE MER...
LES NOUVELLES DU CHAOS SONT DE PLUS EN PLUS EVIDENTES.
LES PROJETS DE VOYAGES NE SE FERONT PAS, D' ABORD PARCE QUE UGO EST INTRANSPORTABLE, MAIS AUSSI PARCE QUE LA LISTE DES PAYS EUROPEENS POSSIBLES DIMINUE.
L' ALLEMAGNE NE SERA PLUS JAMAIS FREQUENTABLE, LE DANGER S' INSTALLE ET ADIEU LES BELLES ECHAPPEES A LONDRES CAR LONDRES NE SERA PLUS JAMAIS LONDRES NON PLUS VOIR ICI
ET LES PROVINCES ANGLAISES NE VONT PAS TENIR LONGTEMPS. UN AMI PRES DE PLYMOUTH M' ANNONCE DES PROJETS DE LOTISSEMENTS PAS DU TOUT SYMPATHIQUES.
EN ATTENDANT PLUS DE CHAOS, L' HOLOCAUSTE ANIMAL NE FAIBLIT PAS.
MAIS COMME IL FAUT S' ACCROCHER A DES PROJETS POUR SURNAGER, JE PEINS...ET JE REPRENDS CONTACT AVEC DES AMIS D' AVANT RESTES AUX USA, DES ETRANGERS POUR LA PLUPART DONT CERTAINS SONT PEINTRES... UNE BOUFFEE D' AIR FRAIS ET D' ENERGIE...
.MAIS AU MOINS ICI DANS LA NATURE ON SURVIT PLUTOT MIEUX QU' AILLEURS, ET A CHAQUE BELLE ECLAIRCIE, ON PEUT SE PROMENER EN BORD DE MER...
LES NOUVELLES DU CHAOS SONT DE PLUS EN PLUS EVIDENTES.
LES PROJETS DE VOYAGES NE SE FERONT PAS, D' ABORD PARCE QUE UGO EST INTRANSPORTABLE, MAIS AUSSI PARCE QUE LA LISTE DES PAYS EUROPEENS POSSIBLES DIMINUE.
L' ALLEMAGNE NE SERA PLUS JAMAIS FREQUENTABLE, LE DANGER S' INSTALLE ET ADIEU LES BELLES ECHAPPEES A LONDRES CAR LONDRES NE SERA PLUS JAMAIS LONDRES NON PLUS VOIR ICI
ET LES PROVINCES ANGLAISES NE VONT PAS TENIR LONGTEMPS. UN AMI PRES DE PLYMOUTH M' ANNONCE DES PROJETS DE LOTISSEMENTS PAS DU TOUT SYMPATHIQUES.
EN ATTENDANT PLUS DE CHAOS, L' HOLOCAUSTE ANIMAL NE FAIBLIT PAS.
MAIS COMME IL FAUT S' ACCROCHER A DES PROJETS POUR SURNAGER, JE PEINS...ET JE REPRENDS CONTACT AVEC DES AMIS D' AVANT RESTES AUX USA, DES ETRANGERS POUR LA PLUPART DONT CERTAINS SONT PEINTRES... UNE BOUFFEE D' AIR FRAIS ET D' ENERGIE...
BLOCAGE DE L' ABATTOIR DE SAINT ETIENNE....
ACTION ALF HIER A SAINT ETIENNE
A SUIVRE
Bonsoir à toutes et tous,
Hier soir vers 22h, après plusieurs jours de préparation et de repérage dans la plus grande discrétion, nous avons réalisé le premier blocage d’un abattoir en France, celui de Saint-Etienne (42).
Suivis par quelques journalistes afin de médiatiser l'opération, nous avons pisté en amont l’arrivée d’un camion transportant des animaux avant de le devancer pour nous enchaîner à la grille de l'abattoir en question et ce dans le but de lui bloquer l'accès au hall de déchargement.
Nous brandissions une banderole portant le message "Stop à l'holocauste animal" !
Il faut savoir que les animaux arrivent pour la plupart le soir pour n'être abattus que le lendemain matin. Après la souffrance engendrée par le transport, commence alors pour eux le calvaire de l'attente. Ils sont parfaitement conscients du sort qui les attend.
Nous sommes restés ainsi enchaînés jusqu'à minuit se confrontant aux employés de l'abattoir qui pour la plupart n'ont pas trouvé de réponse aux questions que nous leur posions sur la légitimité d'une filière économique reposant sur la mort et la souffrance d'innombrables êtres sensibles et sur les justifications qu'ils peuvent trouver dans l'exercice d'une telle profession.
Nous avons toutes et tous un jour ou l’autre croisé ces camions remplis de condamnés qui cheminent vers ces lieux où l'on donne la mort. Nous détournons le regard la plupart du temps tant la vision de ces animaux nous est insupportable.
Nous pensons qu’il est plus que temps de se diriger vers les lieux où se déroule le massacre des animaux. Loin des villes et surtout des regards, nous oublions que nous avons tous à quelques kilomètres de nos habitations, des lieux où l'on tue jour et nuit des êtres sensibles dans des conditions indignes.
Hier soir, l’odeur de la mort, de la chair meurtrie, des cadavres et du sang nous a pris à la gorge et régnait sur des kilomètres aux alentours. Même les journalistes qui nous accompagnaient étaient choqués de cette puanteur abominable.
Le camion que nous avons bloqué transportait 80 veaux entassés sur deux étages. Tremblant de peur, leurs pleurs nous étaient insupportables et le chauffeur a lui même reconnu que le traitement qui leur est infligé est « inhumain » mais qu’il n’est que le bras armé des consommateurs.
A tous nos détracteurs ou aux sceptiques qui sauront nous dire que « c’est honteux de faire ainsi patienter davantage les animaux dans le camion », nous leur répondrons que les animaux sont bien malheureusement aussi stressés dans le hall d’attente où ils sont déchargés le soir que dans les camions qui les transportent vers la mort !
La seule différence : une fois parqués à l'intérieur même de l'abattoir, ils sont loin de nos regards. Alors plus personne ne peut voir leur détresse, plus personne n'entend leur pleurs, plus personne ne sent l'odeur insupportable de la mort et plus personne ne touche leurs corps trempés de sueur.
Bien évidemment, nous nous sommes posés la question de savoir si une telle action n'était pas susceptible d'engendrer un stress supplémentaire chez les animaux mais il faut arrêter de penser que les abattoirs sont des lieux où on fait en sorte de leur dissimuler le triste sort qui les attend ! Les animaux sont déchargés avec violence puis parqués dans des hangars où ils attendent leur tour toute la nuit.
Les pleurs continus des animaux que l’on entend à l’extérieur de l’abattoir ne font que confirmer ce triste constat.
Pour cette première en France et au regard des risques encourus tant judiciaires que par les confrontations avec le personnel présent sur place, nous avons choisi d’être en comité restreint pour cette action. En effet, il nous fallait d'abord avant d'envisager une action de grande ampleur évaluer la faisabilité et les risques encourus pour un tel évènement. Ce type d’opération nécessitant par ailleurs un investissement temporel et financier important et bien évidemment une grande discrétion.
Nous encourageons pourtant tous les militants à se diriger en masse vers ces camps de la mort pour faire barrage de leurs corps à ces transporteurs d'êtres innocents !!!
Indignez vous ! Réveillez vous !
Nous avons été trop longtemps gentils ou dociles, le système d’oppression en place doit être combattue et de manière plus offensive que jamais.
Jusqu'à la libération finale, nous serons 269 LIFE LIBERATION ANIMALE pour eux !
Ils peuvent nous menacer, nous enfermer ou tenter de nous faire peur, nous ne cesserons jamais le combat.
All are 269
Hier soir vers 22h, après plusieurs jours de préparation et de repérage dans la plus grande discrétion, nous avons réalisé le premier blocage d’un abattoir en France, celui de Saint-Etienne (42).
Suivis par quelques journalistes afin de médiatiser l'opération, nous avons pisté en amont l’arrivée d’un camion transportant des animaux avant de le devancer pour nous enchaîner à la grille de l'abattoir en question et ce dans le but de lui bloquer l'accès au hall de déchargement.
Nous brandissions une banderole portant le message "Stop à l'holocauste animal" !
Il faut savoir que les animaux arrivent pour la plupart le soir pour n'être abattus que le lendemain matin. Après la souffrance engendrée par le transport, commence alors pour eux le calvaire de l'attente. Ils sont parfaitement conscients du sort qui les attend.
Nous sommes restés ainsi enchaînés jusqu'à minuit se confrontant aux employés de l'abattoir qui pour la plupart n'ont pas trouvé de réponse aux questions que nous leur posions sur la légitimité d'une filière économique reposant sur la mort et la souffrance d'innombrables êtres sensibles et sur les justifications qu'ils peuvent trouver dans l'exercice d'une telle profession.
Nous avons toutes et tous un jour ou l’autre croisé ces camions remplis de condamnés qui cheminent vers ces lieux où l'on donne la mort. Nous détournons le regard la plupart du temps tant la vision de ces animaux nous est insupportable.
Nous pensons qu’il est plus que temps de se diriger vers les lieux où se déroule le massacre des animaux. Loin des villes et surtout des regards, nous oublions que nous avons tous à quelques kilomètres de nos habitations, des lieux où l'on tue jour et nuit des êtres sensibles dans des conditions indignes.
Hier soir, l’odeur de la mort, de la chair meurtrie, des cadavres et du sang nous a pris à la gorge et régnait sur des kilomètres aux alentours. Même les journalistes qui nous accompagnaient étaient choqués de cette puanteur abominable.
Le camion que nous avons bloqué transportait 80 veaux entassés sur deux étages. Tremblant de peur, leurs pleurs nous étaient insupportables et le chauffeur a lui même reconnu que le traitement qui leur est infligé est « inhumain » mais qu’il n’est que le bras armé des consommateurs.
A tous nos détracteurs ou aux sceptiques qui sauront nous dire que « c’est honteux de faire ainsi patienter davantage les animaux dans le camion », nous leur répondrons que les animaux sont bien malheureusement aussi stressés dans le hall d’attente où ils sont déchargés le soir que dans les camions qui les transportent vers la mort !
La seule différence : une fois parqués à l'intérieur même de l'abattoir, ils sont loin de nos regards. Alors plus personne ne peut voir leur détresse, plus personne n'entend leur pleurs, plus personne ne sent l'odeur insupportable de la mort et plus personne ne touche leurs corps trempés de sueur.
Bien évidemment, nous nous sommes posés la question de savoir si une telle action n'était pas susceptible d'engendrer un stress supplémentaire chez les animaux mais il faut arrêter de penser que les abattoirs sont des lieux où on fait en sorte de leur dissimuler le triste sort qui les attend ! Les animaux sont déchargés avec violence puis parqués dans des hangars où ils attendent leur tour toute la nuit.
Les pleurs continus des animaux que l’on entend à l’extérieur de l’abattoir ne font que confirmer ce triste constat.
Pour cette première en France et au regard des risques encourus tant judiciaires que par les confrontations avec le personnel présent sur place, nous avons choisi d’être en comité restreint pour cette action. En effet, il nous fallait d'abord avant d'envisager une action de grande ampleur évaluer la faisabilité et les risques encourus pour un tel évènement. Ce type d’opération nécessitant par ailleurs un investissement temporel et financier important et bien évidemment une grande discrétion.
Nous encourageons pourtant tous les militants à se diriger en masse vers ces camps de la mort pour faire barrage de leurs corps à ces transporteurs d'êtres innocents !!!
Indignez vous ! Réveillez vous !
Nous avons été trop longtemps gentils ou dociles, le système d’oppression en place doit être combattue et de manière plus offensive que jamais.
Jusqu'à la libération finale, nous serons 269 LIFE LIBERATION ANIMALE pour eux !
Ils peuvent nous menacer, nous enfermer ou tenter de nous faire peur, nous ne cesserons jamais le combat.
All are 269
HONTEUX!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! VIVEMENT QUE CELA CESSE!!!!!!!!!!!!!!!
SOURCE SUITE ET VIDEOS
Comment a-t-on pu arriver à ce que la justice française interdise la diffusion d'images reçues par notre association, L214, dans des élevages intensifs français, montrant des infractions flagrantes à la réglementation européenne?
Commençons depuis le début, L214 est une association de protection animale qui œuvre pour une prise de conscience des conditions d'élevage et d'abattage des animaux dits "de consommation" (son nom vient de l'article L214 du Code rural français qui stipule que les animaux sont des êtres sensibles.) L'association documente ces pratiques: photographies, films et vidéos qui, criants, insoutenables, incontestables, s'avèrent souvent le moyen le plus adapté pour rendre compte de la réalité de la production de viande.
Attention, ces images ne proviennent pas des élevages mentionnés dans cette tribune.
Dernièrement, L214 reçoit deux signalements: photos et vidéos de deux élevages intensifs contenant respectivement 111.000 et 200.000 poules pondeuses et approvisionnant l'entreprise Matines. Ce sont des informations qui, vérifiées et confirmées par les services vétérinaires ou l'exploitant lui-même, parlent de la non-conformité de ces élevages -en infraction avec la réglementation européenne- et qui montrent des conditions de vie et "de production" déplorables: dans un des deux élevages, les poules et les œufs couverts de parasites, dans l'autre, des cadavres en putréfaction bloquant des œufs, dans les deux, des poules déplumées et des aménagements non conformes. Une promiscuité et une misère représentant le quotidien des animaux d'élevage, bien connues des associations de protection animale. En revanche, c'est une réalité qui ne se laisse pas filmer avec l'accord des exploitants... et qui perce rarement dans les médias.
......................
..............................Ce n'est pas la première fois qu'en France, des filières agricoles tentent de faire interdire des images prises en élevages ou abattoirs, jusqu'alors avec plus ou moins de succès (éleveurs de lapins, Charal...). Mais si ces jugements se généralisent, l'industrie agroalimentaire restera seule maîtresse à bord et les seuls animaux d'élevage que connaîtront les consommateurs danseront le French Cancan dans les publicités.
Comment a-t-on pu arriver à ce que la justice française interdise la diffusion d'images reçues par notre association, L214, dans des élevages intensifs français, montrant des infractions flagrantes à la réglementation européenne?
Commençons depuis le début, L214 est une association de protection animale qui œuvre pour une prise de conscience des conditions d'élevage et d'abattage des animaux dits "de consommation" (son nom vient de l'article L214 du Code rural français qui stipule que les animaux sont des êtres sensibles.) L'association documente ces pratiques: photographies, films et vidéos qui, criants, insoutenables, incontestables, s'avèrent souvent le moyen le plus adapté pour rendre compte de la réalité de la production de viande.
Attention, ces images ne proviennent pas des élevages mentionnés dans cette tribune.
Dernièrement, L214 reçoit deux signalements: photos et vidéos de deux élevages intensifs contenant respectivement 111.000 et 200.000 poules pondeuses et approvisionnant l'entreprise Matines. Ce sont des informations qui, vérifiées et confirmées par les services vétérinaires ou l'exploitant lui-même, parlent de la non-conformité de ces élevages -en infraction avec la réglementation européenne- et qui montrent des conditions de vie et "de production" déplorables: dans un des deux élevages, les poules et les œufs couverts de parasites, dans l'autre, des cadavres en putréfaction bloquant des œufs, dans les deux, des poules déplumées et des aménagements non conformes. Une promiscuité et une misère représentant le quotidien des animaux d'élevage, bien connues des associations de protection animale. En revanche, c'est une réalité qui ne se laisse pas filmer avec l'accord des exploitants... et qui perce rarement dans les médias.
......................
..............................Ce n'est pas la première fois qu'en France, des filières agricoles tentent de faire interdire des images prises en élevages ou abattoirs, jusqu'alors avec plus ou moins de succès (éleveurs de lapins, Charal...). Mais si ces jugements se généralisent, l'industrie agroalimentaire restera seule maîtresse à bord et les seuls animaux d'élevage que connaîtront les consommateurs danseront le French Cancan dans les publicités.
UN PROFESSEUR A OSE MONTRER CETTE VIDEO
UN PROFESSEUR A OSE MONTRER CETTE VIDEO A SA CLASSE!!!
A fifth grade school teacher’s fate hangs
in the balance after he screened video footage from a Mercy For Animals
undercover investigation in his class.
“It was definitely inappropriate,” said superintendent of Au
Gres Schools, Jeffrey Collier. “This is an excellent teacher on staff. Strong
leader who made a poor decision in his judgment in this particular case.”
Donna Spoon, a parent at Au Gres Schools, had this to add:
“That’s up to the parents you know to show that. If they want their kids to see
something like that to show their kids themselves. I definitely think he should
be reprimanded somehow.”
While we understand that factory farm footage is violent and
disturbing, MFA investigators merely document standard and legal farming
practices. Yes, slamming baby piglets headfirst onto concrete is standard and
legal on today’s pork farms.
This is the video the teacher showed to his class:
ANIMAUX DE FERME A L' ABRI... QUELQUES CHANCEUX..
Dylan
Dylan is a lovable, easygoing guy. He enjoys soaking up the sun, chomping down on carrots, and hanging out with his friends.But life wasn’t always great for this gentle giant. Born on a dairy farm, Dylan was dragged away from his mom after just one day to be sold for veal. He was found tied to a post, lying in his own feces, when a compassionate couple arranged his rescue.
On a veal farm,
Dylan would have been chained by his neck in a tiny crate barely larger
than his body before being sent to slaughter at only 16 weeks old.
Dairy cows, like Dylan’s mother, also live miserable lives. Like all mammals, cows produce milk for their babies. In order to keep producing milk, they are artificially and repeatedly impregnated. They are kept in tiny stalls and have hardly any room to move around. After about four years, they are sold to slaughter.
SOURCE ET SUITE
AVEC PHOTOS ET VIDEO SUR L' ELEVAGE INDUSTRIEL
DES DROITS POUR LES VEGANS .. BRAVO MAIS PAS EN FRANCE
by Joe Loria - January 25, 2016 |
A recent Huffington Post article discusses a provision of Ontario’s
Human Rights Code that now protects the rights of ethical vegans.
In December, the Ontario
Human Rights Commission redefined creed to include non-religious beliefs that
like religion, substantially influence a person's identity, worldview, and way
of life. Because ethical veganism is a way of life, it falls under this definition.
So what does this all mean?
The code sets guidelines for service providers on respectful treatment and
accommodation of people with creed-based requirements. Camille Labchuk, executive
director of Animal Justice, the animal rights group that worked tirelessly to ensure
the code was updated, said, “The policy recommends that a person in a hospital
facility who has a creed-based need for vegetarian food be provided with
appropriate food by the facility.”
Labchuk also noted that the new
code protects vegan students from participating in dissections, and vegan
employees from wearing work uniforms that contain fur or leather.
We applaud Animal Justice and
others who pressed for the updated code, as this truly sets an important
precedent.
Click here for
delicious recipes, tips on making the transition, and more!
POUR ESSAYER UN RETAURANT VEGAN
VOICI UN LIEN VERS UNE LISTE
ET TROUVER DES ACTUALITES SUR FACEBOOK
VegOresto puise sa dynamique dans la forte mobilisation des référents
locaux, la fidèle participation des convives gourmands et le chaleureux
accueil des chefs de cuisine. Le monde de la restauration est à l’écoute
des nouvelles initiatives et aspire à toujours plus d’innovation
culinaire. Le végétal tombe à pic !
Amicalement,L'équipe de L21
IL S' EST ECHAPPE ET EST ADMIS AU REFUGE SKYLANDS ANIMAL SANCTUARY MERCI A EUX!!!
SOURCE ET SUITE
AVEC 2 VIDEOS
FREDDIE S' ÉCHAPPE DE L' ABATTOIR, IL TRAVERSE NEW YORK.. RATTRAPÉ PAR LA POLICE IL TROUVERA REFUGE DANS UN SANCTUAIRE!!
A courageous cow made a valiant run for his life when he escaped the Jamaica Archer Live Poultry and Meat Market in Queens, New York.
Cell phone video captured the confused animal’s journey through the city streets as he tried to orient himself. One onlooker can be heard saying, “Just imagine how scared she is.” Indeed.
Thankfully, this animal’s brave escape paid off. Although he was corralled by the NYPD and brought back to the slaughterhouse, Mike Stura of New Jersey’s Skylands Animal Sanctuary waited all night for the cow and was allowed to take him to safety in the morning.
MAIS TANT D' AUTRES N'ONT PAS CETTE CHANCE VOIR VIDEO
“We just gave it to him,” said Tahmena Shafqat, an employee
at the slaughterhouse. “We didn’t want any money.”
While this is wonderful news for the cow (now known as
Freddie), billions of other animals are not so lucky.
BONNE NOUVELLE
SOURCE
Le gouvernement sud-africain a décidé cette année de ne délivrer aucun permis de chasse pour les léopards, une décision saluée par les organisations de défense des animaux ce lundi. "Les autorités provinciales chargées de la protection de la faune et de la flore ont été informées que la chasse aux léopards ne serait pas autorisée en 2016", a indiqué le ministère de l'Environnement, suivant les recommandations de l'Autorité scientifique chargée notamment de la régulation des espèces menacées ou protégées.
Selon la Convention internationale sur le commerce d'espèces sauvages menacées (Cites), l'Afrique du Sud est autorisée à allouer chaque année 150 permis de trophées de léopards destinés à l'exportation.
"Le sens commun l'a emporté", s'est réjouie Helen Turnbull de l'organisation Cape Leopard Trust. "Tant que nous ne connaissons pas le nombre de léopards, nous ne devrions pas les chasser", a estimé pour sa part Andrew Muir de Wilderness Foundation.
"Il est important de s'assurer que tout commerce animalier prend en compte le développement durable" des espèces, a ajouté Kelly Marnewick de l'ONG Environmental Wildlife Trust, estimant que tant que ce n'était pas le cas, la chasse devait rester interdite.
L'Afrique du Sud tire un revenu substantiel de la vente de permis de chasse à des étrangers fortunés, prêts à payer des milliers, voire des dizaines de milliers de dollars pour tirer l'un des "Big Five" (lion, léopard, éléphant, rhinocéros, buffle). Selon le ministère de l'Environnement, la chasse génère un revenu annuel de 6,2 milliards de rands (347 millions d'euros).
Le gouvernement sud-africain a décidé cette année de ne délivrer aucun permis de chasse pour les léopards, une décision saluée par les organisations de défense des animaux ce lundi. "Les autorités provinciales chargées de la protection de la faune et de la flore ont été informées que la chasse aux léopards ne serait pas autorisée en 2016", a indiqué le ministère de l'Environnement, suivant les recommandations de l'Autorité scientifique chargée notamment de la régulation des espèces menacées ou protégées.
Selon la Convention internationale sur le commerce d'espèces sauvages menacées (Cites), l'Afrique du Sud est autorisée à allouer chaque année 150 permis de trophées de léopards destinés à l'exportation.
"Le sens commun l'a emporté", s'est réjouie Helen Turnbull de l'organisation Cape Leopard Trust. "Tant que nous ne connaissons pas le nombre de léopards, nous ne devrions pas les chasser", a estimé pour sa part Andrew Muir de Wilderness Foundation.
"Il est important de s'assurer que tout commerce animalier prend en compte le développement durable" des espèces, a ajouté Kelly Marnewick de l'ONG Environmental Wildlife Trust, estimant que tant que ce n'était pas le cas, la chasse devait rester interdite.
L'Afrique du Sud tire un revenu substantiel de la vente de permis de chasse à des étrangers fortunés, prêts à payer des milliers, voire des dizaines de milliers de dollars pour tirer l'un des "Big Five" (lion, léopard, éléphant, rhinocéros, buffle). Selon le ministère de l'Environnement, la chasse génère un revenu annuel de 6,2 milliards de rands (347 millions d'euros).
LE FOLL PERSISTE ..IL N' A PAS COMPRIS QUE C' EST LA FIN..
source et suite
Le ministre de l'Agriculture Stéphane le Foll a promis aux agriculteurs et aux éleveurs français 290 millions d'euros d'aides, dont 130 millions pour les producteurs de foie gras.
Pour surmonter les difficultés économiques
auxquelles les agriculteurs et éleveurs français font face, le ministre
de l'Agriculture Stéphane le Foll a assuré ce mardi qu'ils recevront 290
millions d'euros d'aides. Le gouvernement avait annoncé un premier plan d'urgence de 600 millions d'euros en juillet dernier.
Les filières ovine, porcine, laitière
et celle des palmipèdes sont les plus touchées. Pour les éleveurs et
agriculteurs, les mesures conjoncturelles de soutien seront augmentées
de 125 millions d'euros, et étendues aux filières végétales, notamment
les céréaliers et producteurs de légumes en difficulté. Dans la filière
ovine, 35 millions d'euros seront versés pour indemniser les éleveurs
(31 millions d'euros) et commerçants en bestiaux (4 millions d'euros)
touchés par la fièvre catarrhale ovine (FCO).
130 millions pour les producteurs de foie gras
Les
éleveurs de volaille du Sud-Ouest bénéficieront quant à eux d'une
grande partie des fonds, 130 millions d'euros. Ils avaient manifesté
contre la période de carence requise par les mesures d'assainissement du gouvernement mises en place pour contrer l'épidémie de grippe aviaire
, dont 69 foyers ont été détectés dans le Sud-Ouest depuis le 24
novembre, et qui a entraîné de la suspension d'une partie des
exportations de foie gras.
lundi 25 janvier 2016
ESPAGNE , LA SAISON DES CRIMES A DEBUTE...
SALE PAYS.... SALE PEUPLE
CEUX QUI NE MASSACRENT PAS SONT COMPLICES... LES JOURS DE VILLA SONT EN DANGER, D' AUTRES SONT DEJA MORTS!!
Les jours passent et se ressemblent en Espagne à cette époque de l’année.
La saison de chasse touche à sa fin, et nous allons assister, impuissants, au grand sacrifice de l’année.
En
janvier et en février les galgueros se débarrassent en masse des chiens
qui n’ont pas été performants et qui ne seront pas « utilisables »
l’année prochaine, de ceux qui sont usés par des années de bons et
loyaux services, des boiteux et des malades.
Villa en est encore un parmi tant d’autres...
C’est hier que les bénévoles d’Ecija l’ont ramassé au bord d’une route, la cordelette autour du cou munie d’un nœud coulissant.
Il
s’agit là d’une sorte de collier étrangleur « maison » qui permet au
galguero de pendre son lévrier à sa guise et suivant son humeur. Le
chien qui fait une erreur, un coup de colère et il n’y a qu’à le
suspendre au bout de la cordelette pour l’étrangler, elle est très fine
et lui sectionnera très vite la gorge. Un chien qui n’est plus bon à
rien subira la même sentence. Une méthode efficace et qui a fait ses
preuves depuis des millénaires.
ACTION:PETITION CONTRE LE HALAL POUR LES BOVINS ET VOTRE SANTE
En juillet 2010, la chaîne de
restauration rapide « Quick » s’était déjà lancée dans une opération
rentable : un premier fast-food « halal » avait ouvert à Toulouse.
Plusieurs autres ont rapidement suivi.
Dans les prochaines semaines, la totalité des enseignes « Quick » proposeront uniquement des menus halal.
Le sacrifice rituel musulman « halal » est un égorgement à vif qui fait fi de la souffrance des animaux car aucun étourdissement n’est prévu.
Du côté de l’hygiène, c’est tout simplement catastrophique : la bête étant consciente
au moment de la saignée, elle vomit et défèque sur le circuit
d’abattage. Tous ces rejets se mélangent au sang et créent un milieu de
culture idéal pour la prolifération des bactéries.
Plusieurs cas d’Escherichia coli détectés dans les circuits commerciaux avaient pour origine de la viande halal.
La viande halal est de plus soumise à une « taxe » prélevée par les mosquées pour financer le culte islamique. D’après une étude canadienne, cet argent est en partie distribué à des mouvances terroristes.
- Demain, manger Quick reviendra à cautionner une souffrance animale insupportable liée à l’égorgement à vif sans étourdissement.
- Demain, manger Quick reviendra à risquer sa santé, au vu des conditions sanitaires déplorables des abattages rituels.
- Demain, manger Quick reviendra à financer le culte musulman et des mouvements islamistes liés au terrorisme.
C’est d’autant moins acceptable que Quick est en partie la propriété de l’État,
à travers la Caisse des dépôts et consignations et sa filiale, le fond
d’investissement Qualium. Comment tolérer que l’argent du contribuable
serve à développer un tel business communautaire ?
Vigilance Halal a donc décidé d’interpeller les dirigeants de la
Caisse des dépôts et consignations : arrêtez de cautionner un business
communautaire qui viole les valeurs républicaine !
Pour nous aider :
1) Signez la pétition du collectif que nous avons monté. L’union fait la force, plus nous serons nombreux, plus nous pèserons !
2) Versez un don à Vigilance halal pour financer tous les recours juridiques possibles contre cette ignominie.
dimanche 24 janvier 2016
POUSSINS BROYES, PIETINES, BRULES. TEMOIGNAGE
SOURCE ET SUITE
En décembre, l’association L214 dévoilait des vidéos montrant l’enfer des couvoirs. Canetons broyés, becs coupés, inséminations forcées… Au sein des productions de foie gras, les conditions de vie des animaux apparaissent comme parfaitement cruelles. Jean connaît bien le monde de l’aviculture. Il y a travaillé pendant 20 ans. Ce qu’il y a vu était parfois plus horrible encore.
Je connais le monde avicole sur le bout des doigts. Pendant 20 ans, j’ai travaillé dans ce milieu.Dans la filière avicole, il existe trois types de productions : la sélection (l’éleveur travaille sur la génétique, l’allure, la préservation des races) ; l’accouvage (qui consiste à mettre en incubation et faire éclore des œufs) et la production finale (la volaille en tant qu’aliment).
Je suis passé par chaque maillage de l’élevage de volailles, tous types de productions confondues (canards, poulets, dindes, etc.) et quel que soit le niveau, il faut savoir que tous les élevages de France appliquent les mêmes schémas de sélection.
Plus on descend dans la pyramide, et plus les volailles vivent un enfer
Les élevages avicoles fonctionnent exclusivement grâce à un système de sélection. Les volailles sont triées selon leur gabarit, leur apparence, leur aplomb, leur résistance au stress, etc.
On dénombre cinq catégories différentes de volailles : les souches d’origine, les parentaux (volailles que l’on bichonne et qui sont préservées dans l’optique de conserver des bonnes souches), les grands-parentaux (qui permettent de faire des reproducteurs), les reproducteurs, les reproducteurs-pontes et la production chair.
Plus on descend dans la pyramide, et plus les conditions de vie des animaux sont dures. Jusqu’au véritable enfer.
22 spécimens par m2, l’épreuve du "crash test"
L’épreuve du « crash test » est particulièrement violente. Elle consiste à faire vivre la volaille dans des conditions extrêmes – et le mot reste faible – afin de ne conserver que les animaux les plus forts.
Ils sont alors placés dans des cages ou des parcs. En moyenne, il faut compter entre 16 et 22 spécimens par mètre carré. Impossible pour eux de bouger.
Dans de telles conditions, le taux de mortalité des volatiles est très élevé. Ils doivent lutter pour accéder à la nourriture ou au point d’eau, se prendre des coups de bec de leurs congénères, se faire marcher dessus, se faire tordre le coup ou se retrouver estropiés.
Seuls les plus forts s’en sortent. Entre 25 et 85% des animaux n’y survivent pas. Les carcasses sont détruites. Les éleveurs ne parlent pas de ce "crash test", mais, en France, tous le pratiquent.
Cette sélection n’a rien de naturel, c’est l’anarchie la plus totale.
Jetés à la poubelle, broyés ou brûlés vivants
La deuxième étape de la sélection est réalisée par des hommes. En observant la qualité du plumage, l’allure de l’animal, sa démarche, la qualité de ses aplombs, mais surtout en estimant le rendement en viande, des ouvriers trient les différentes volailles.
Certaines sont conservées pour devenir volailles fermières, d’autres vont à la boucherie.
CONTRE TTIP APPEL AUX DONS ET NEWS
En 2016 nous aurons plus que jamais besoin de vous. Avant tout, nous devrons suivre l'évolution du futur accord de libre-échange "CETA" entre le Canada et l'Union européenne. Le vote au Parlement Européen
devrait vraisemblablement intervenir avant la fin de l'année. Ce tout
premier accord bilatéral entre l'Europe et un des pays du G7 devrait servir de laboratoire de test en prévision des futurs accords à venir, et spécialement le "TTIP".
|
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La bonne nouvelle : votre voix et vos actions ont de l'effet ! A présent l'opinion publique européenne penche clairement en notre faveur.
Dans quatre États membres, une large majorité de citoyens s'oppose déjà
au TTIP. Dans beaucoup d'autres pays, l'opposition prend de l'ampleur. Cette tendance a été confirmée en automne 2015 par les instituts officiels de sondages.
Au plus nous dévoilons les aspects négatifs de ces obscures
négociations, moins les citoyens sont enclins à accepter les arguments
rassurants et lénifiants des lobbyistes pro-TTIP.
|
||
Même si cette année ne fait que commencer, elle a déjà inspiré beaucoup d'actions : le
dernier weekend, 23.000 agriculteurs et citoyens ont manifesté ensemble
à Berlin contre la pression des lobbies de l'agroalimentaire qui
veulent imposer les OGM dans l'alimentation, réduire les règlementations
sur les pesticides ainsi que les normes sanitaires sur les produits
visés par le TTIP. Au Royaume-Uni, une nouvelle campagne baptisée
"Business Against TTIP" vient d'être lancée pour défendre les intérêts
des petites et moyennes entreprises. Elle se joint à une coalition de
plus de 4000 sociétés allemandes et autrichiennes qui font entendre leur
mécontentement vis à vis du TTIP.
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Bon, soyons sérieux : nous devons maintenir la pression sur nos décideurs afin qu'ils comprennent que nous n'accepterons jamais que les multinationales prennent le pouvoir à la place des législateurs.
Partout en Europe, plus de 500 initiatives citoyennes ont rejoint notre
initiative dans le but de conscientiser et impliquer un maximum de
citoyens dans ce combat. Plus d'informations à ce sujet dans notre
prochaine newsletter.
|
||
Mais pas question de s'endormir sur nos lauriers : nous n'aurons jamais trop de signatures et chacune compte ! Depuis la présentation de notre liste de plus de 3.300.000 signataires à la Commission européenne fin octobre, 100.000 citoyens européens se sont joints à notre appel. Est-ce que nous allons atteindre les 3.500.000
avant notre prochaine bulletin d'information? C'est à vous! Surtout
n'hésitez pas à en parler le plus possible autour de vos amis, collègues
et voisins afin de les sensibiliser. C'est bien ensemble que nous
allons empêcher la conclusion de ces néfaste traités de libre-échange.
|
samedi 23 janvier 2016
NES POUR ETRE ABATTUS..... POUR LE LAIT
SAUVES!!!!!!!!!!!!!!!!!! MAIS COMBIEN D' AUTRES NE LE SERONT PAS.
LE LAIT CAUSE DE CES CRIMES.. ET LA STUPIDITE DES HUMAINS QUI NE SAVENT PAS VOIR LA BEAUTE DE LA CREATION.
jeudi 21 janvier 2016
ELEPHANTS....BONNE NOUVELLE???? PAS CERTAIN
SOURCE ET SUITE
CES 2 CIRQUES VONT ARRÊTER D' EXPLOITER LES ÉLÉPHANTS, ILS VONT PRENDRE UNE SEMI RETRAITE PLUS TÔT QU' ANNONCE CE SERA EN MAI 2016 MAIS DES DOUTES PLANENT SUR CE QUE SERA VRAIMENT LEUR VIE CAR ILS SERONT ÉTUDIÉS POUR DES PROGRAMMES DE RECHERCHE SUR LE CANCER (MALADIE QU' ILS N' ONT QUE RAREMENT)
The shameful era of exploiting elephants for human entertainment by America's largest circus company is set to come to an end even earlier than expected.
The Ringling Bros. and Barnum & Bailey Circus, through its parent company Feld Entertainment, announced on Monday that it will retire all its elephants in May 2016. Previously, the company had issued a statement indicating that the elephants would be retired by 2018.
According to Feld, the animals will be moved to the Center for Elephant Conservation (CEC), a facility in Florida owned by Ringling where they will be used in a breeding program, and studied to benefit cancer research.
CES 2 CIRQUES VONT ARRÊTER D' EXPLOITER LES ÉLÉPHANTS, ILS VONT PRENDRE UNE SEMI RETRAITE PLUS TÔT QU' ANNONCE CE SERA EN MAI 2016 MAIS DES DOUTES PLANENT SUR CE QUE SERA VRAIMENT LEUR VIE CAR ILS SERONT ÉTUDIÉS POUR DES PROGRAMMES DE RECHERCHE SUR LE CANCER (MALADIE QU' ILS N' ONT QUE RAREMENT)
The shameful era of exploiting elephants for human entertainment by America's largest circus company is set to come to an end even earlier than expected.
The Ringling Bros. and Barnum & Bailey Circus, through its parent company Feld Entertainment, announced on Monday that it will retire all its elephants in May 2016. Previously, the company had issued a statement indicating that the elephants would be retired by 2018.
According to Feld, the animals will be moved to the Center for Elephant Conservation (CEC), a facility in Florida owned by Ringling where they will be used in a breeding program, and studied to benefit cancer research.
mercredi 20 janvier 2016
ABATTOIRS AU CANADA, PAS BEAUCOUP DE VOLONTAIRESCANADIENS POUR CET EMPLOI
SOURCE ET SUITE
TRAVAILLER DANS UN ABATTOIR CAUSE DES DESORDRES PSYCHOLOGIQUES ET DES MALADIES LES CANADIENS DISENT NON, CEUX QUI ACCEPTENT QUITTENT PARFOIS L' ABATTOIR APRES SEULEMENT QUELQUES HEURES..
MAIS LES SYRIENS REFUGIES.... VONT DE VOIR PROPOSER CES EMPLOIS
JE RIS (JAUNE BIEN SUR) PARCE QUE J' AVAIS DEJA ENVISAGE CE SCENARIO...
If a job is so incredibly distasteful that no one wants to do it, what do you do? In Canada, sadly, the answer might be to offer those terrible jobs to incoming Syrian refugees. Such is the dilemma faced by Canada’s slaughterhouses. According to the Canadian Meat Council (CMC), the nation is short about 1,000 meat packing plant workers. The jobs the plants can’t fill are the worst ones, of course. Canadian slaughterhouses need strong, healthy labor to man the kill floors and cut the carcasses. Money is tight, jobs are hard to find, and the jobs are critical to the industry. Even so, few Canadians step forward to volunteer to kill and dissect animals for food. Of those who do, many just can’t take it. “We have people who walk away after a couple of hours,” Werner Siegrist, of Canadian Premium Meats, told Global News. It’s no wonder, is it? You’d have to be numb to suffering or desperate for work to survive in a slaughterhouse for long. The Psychological Toll of Slaughterhouse Work Slaughterhouse workers often experience a form of Post-Traumatic Stress Disorder (PTSD) known as Perpetration-Induced Traumatic Stress (PITS). PITS results from situations in which the sufferer was a “causal participant” in a traumatic event. Symptoms include depression, dissociation, paranoia, anxiety, panic, drug and alcohol abuse, and dreams of violence. pig As one worker confessed to a researcher: The worst thing, worse than the physical danger, is the emotional toll. If you work in that stick pit for any period of time, you develop an attitude that lets you kill things, but doesn’t let you care. You may look a hog in the eye that’s walking around down in the blood pit with you and think, “God, that really isn’t a bad-looking animal.” You may want to pet it. Pigs down on the kill floor have come up and nuzzled me like a puppy. Two minutes later I had to kill them — beat them to death with a pipe. I can’t care. Similarly, Gail Eisnitz, author of Slaughterhouse: The Shocking Story of Greed, Neglect, and Inhumane Treatment Inside the US Meat Industry, told VegNews magazine that many workers she interviewed for her book “described suffering from alcoholism, while others explained that they had taken out their frustrations through physical violence directed at their wives and children.”
TRAVAILLER DANS UN ABATTOIR CAUSE DES DESORDRES PSYCHOLOGIQUES ET DES MALADIES LES CANADIENS DISENT NON, CEUX QUI ACCEPTENT QUITTENT PARFOIS L' ABATTOIR APRES SEULEMENT QUELQUES HEURES..
MAIS LES SYRIENS REFUGIES.... VONT DE VOIR PROPOSER CES EMPLOIS
JE RIS (JAUNE BIEN SUR) PARCE QUE J' AVAIS DEJA ENVISAGE CE SCENARIO...
If a job is so incredibly distasteful that no one wants to do it, what do you do? In Canada, sadly, the answer might be to offer those terrible jobs to incoming Syrian refugees. Such is the dilemma faced by Canada’s slaughterhouses. According to the Canadian Meat Council (CMC), the nation is short about 1,000 meat packing plant workers. The jobs the plants can’t fill are the worst ones, of course. Canadian slaughterhouses need strong, healthy labor to man the kill floors and cut the carcasses. Money is tight, jobs are hard to find, and the jobs are critical to the industry. Even so, few Canadians step forward to volunteer to kill and dissect animals for food. Of those who do, many just can’t take it. “We have people who walk away after a couple of hours,” Werner Siegrist, of Canadian Premium Meats, told Global News. It’s no wonder, is it? You’d have to be numb to suffering or desperate for work to survive in a slaughterhouse for long. The Psychological Toll of Slaughterhouse Work Slaughterhouse workers often experience a form of Post-Traumatic Stress Disorder (PTSD) known as Perpetration-Induced Traumatic Stress (PITS). PITS results from situations in which the sufferer was a “causal participant” in a traumatic event. Symptoms include depression, dissociation, paranoia, anxiety, panic, drug and alcohol abuse, and dreams of violence. pig As one worker confessed to a researcher: The worst thing, worse than the physical danger, is the emotional toll. If you work in that stick pit for any period of time, you develop an attitude that lets you kill things, but doesn’t let you care. You may look a hog in the eye that’s walking around down in the blood pit with you and think, “God, that really isn’t a bad-looking animal.” You may want to pet it. Pigs down on the kill floor have come up and nuzzled me like a puppy. Two minutes later I had to kill them — beat them to death with a pipe. I can’t care. Similarly, Gail Eisnitz, author of Slaughterhouse: The Shocking Story of Greed, Neglect, and Inhumane Treatment Inside the US Meat Industry, told VegNews magazine that many workers she interviewed for her book “described suffering from alcoholism, while others explained that they had taken out their frustrations through physical violence directed at their wives and children.”
PAMELA ANDERSON POUR LES CANARDS
JE NE SAIS PAS COMMENT VOUS REAGIREZ, MAIS LES INTERVENANTS SONT VRAIMENT DECONNECTES.... REVOLTANTS CES ETRES SANS AME...
ECOUTER LES STATIONS DE RADIO AMERICAINES
JOURNÉE QUI S' ANNONCE LUGUBRE, CIEL BLANC GELÉES AU SOL, PAS UN SON, PAS MÊME UN VOL D' OISEAUX.
JE VIENS POURTANT D' AJOUTER DES BOULES DE GRAINES...
DONC ENVIE DE MUSIQUE ET DE DÉCOUVRIR DE NOUVEAU TALENTS...C' EST FACILE
VOICI UNE CHAÎNE QUI PROPOSE DE SÉLECTIONNER LE STYLE DE COUNTRY ET D' ECOUTER EN CONNECTION 24/24
C' EST ICI
PERSO J'APPRECIE LE COUNTRY POUR QQ RAISONS
*CE SONT DES SUDISTES, LES NORDISTES ON APPORTE LE CHAOS ET LE NOM AUX USA
*ILS SAVENT CONSERVER DES VALEURS ET N' HESITENT PAS A LES CHANTER DANS LEURS TEXTES
* ILS VIVENT DANS LES TERRES ET NON PAS DANS CES VILLES TROP INDUSTRIALISEES
BONNE ECOUTE!!
IL Y A AUSSI LES STATIONS QUI PROPOSENT D' AUTRES MUSIQUES
C' EST ICI
PRODUCTION DE VIANDE, ELEVAGE INTENSIF, SOYONS REALISTE ON VA DROIT DANS LE MUR
CE RAPPORT EST LONG, MAIS COMPLET, ET LA LECTURE
En
moyenne, un être humain consomme 100 g de viande par jour. Dans les
pays développés, la consommation est supérieure à 200 g par jour alors
que dans les pays en développement elle est de 47 g, avec de fortes
disparités régionales.
Alors
que la consommation individuelle de viande en France a diminué depuis
1998, elle est de nouveau en hausse en 2010 avec une augmentation de
1%[1]. En moyenne, un Français mange près de 88 kg de viande par an[2]
(contre 81,9 kg en moyenne dans l'Union européenne), soit plus de 240 g
par jour : l'équivalent de 5 tranches de jambon ! Cela représente, pour
notre pays, l'abattage de 1,1 milliard d'animaux par an (60 milliards à
l'échelle mondiale[3]).
Une pression sur la surface agricole disponible
La
production mondiale de viande a quintuplé entre 1950 et 2000. Elle
était de 283,9 millions de tonnes en 2009[3] et pourrait atteindre 465
millions de tonnes en 2050 tandis que la production de lait passerait de
702,1 millions de tonnes à 1043 millions de tonnes sur la même période
au regard de la croissance démographique et de l'évolution des habitudes
alimentaires[4]. Or, pour nourrir le bétail, la demande en céréales
augmente de manière considérable, les céréales étant de plus en plus
l'aliment de base du bétail, au détriment de l'herbe des pâturages.
C'est
pourquoi, selon les prévisions de l'Organisation des Nations Unies pour
l'Alimentation et l'Agriculture (FAO), il serait nécessaire de doubler
la production agricole d'ici à 2050. En effet, pour produire un kilo de
viande, il faut 7 kilos de céréales. Pour répondre à cette demande, il
est possible d'augmenter la surface des terres cultivées, mais à quel
prix ? Déforestation, monocultures intensives, utilisation de pesticides, d'OGM, destruction d'écosystèmes et perte de biodiversité...
L'élevage
extensif et le soja exporté comme aliment du bétail sont la première
cause de la déforestation selon Alain Karsenty, économiste au Centre de
coopération internationale pour le développement et expert auprès de la
Banque mondiale. Après une enquête de 3 ans publiée en juin 2009,
Greenpeace affirme que l'élevage bovin est responsable à 80% de la destruction de la forêt amazonienne[5]...
L'UE,
dont la superficie des forêts augmente, est le 4e importateur de bovins
derrière les USA, la Russie, et le Japon. En outre, 80% des
importations de bovins de l'UE viennent d'Amérique du Sud. Or, la France
est le premier consommateur européen de viande bovine. Ainsi la
consommation de viande en Europe et en France est une cause de la
déforestation en Amérique du Sud.
Enfin,
n'oublions pas de mentionner la concurrence de plus en plus accrue des
agrocarburants et bientôt des bioplastiques pour l'utilisation des
surfaces agricoles.
Élevage et émissions de gaz à effet de serre
En 2013, un rapport de la FAO soulignait que l'élevage était responsable de près de 15
% des émissions annuelles de gaz à effet de serre (GES) dans le monde,
plus que l'ensemble du secteur des transports (environ 13% selon le
GIEC)...
En France, l'élevage est le deuxième secteur d'émissions anthropiques de gaz à effet de serre[6] (10 %), derrière le premier contributeur : le résidentiel (13%). Ce secteur participe donc massivement au réchauffement climatique alors que son impact n'est jamais souligné ni même évoqué par les décideurs...
Le
rapport de Foodwatch propose une illustration de l'effet sur le climat
de 3 types de régimes alimentaires. Une alimentation sans produits
animaux émet de 7 à 15 fois moins de GES qu'une alimentation qui
contient de la viande et des produits laitiers.
DONT CET EXTRAIT :
L'élevage
est en soi un facteur de risque pour notre santé. Les systèmes
industriels de production sont depuis longtemps la norme dans les pays
développés et deviennent de plus en plus répandus dans les pays en
développement. Le nombre énorme d'animaux élevés en confinement, dotés
d'une variabilité génétique très pauvre, et soumis à une croissance
rapide, crée des conditions idéales pour l'émergence et la propagation
de nouveaux pathogènes.
Sans oublier les scandales qui ont éclaboussé l'industrie agro-alimentaire : vache folle (encéphalopathie spongiforme bovine), hormones de croissance, grippe aviaire, fièvre aphteuse...
Sans oublier les scandales qui ont éclaboussé l'industrie agro-alimentaire : vache folle (encéphalopathie spongiforme bovine), hormones de croissance, grippe aviaire, fièvre aphteuse...
Ainsi, les systèmes modernes d'élevage sont des incubateurs à virus,
listeria monocytogènes, salmonelles, campylobacters, E. coli, et autres
promoteurs de « grippes » en tout genre. Comme l'indique un rapport de
la FAO : « il n'est pas surprenant que les trois-quarts des nouveaux
pathogènes ayant affecté les humains dans les dix dernières années
proviennent des animaux ou des produits animaux ».
La surconsommation de viande a
pour effet d'augmenter la prévalence des affections suivantes : cancers
(colon, prostate, intestin, rectum), maladies cardio-vasculaires,
hypercholestérolémie, obésité, hypertension, ostéoporose, diabète de
type 2[10], altération des fonctions cognitives, calculs biliaires,
polyarthrite rhumatoïde.
La viande est cancérogène
mardi 19 janvier 2016
ACTION: PETITION CONTRE L' IVOIRE POUR LES ELEPHANTS
SOURCE ET SUITE SUR PAGE POUR SIGNER
CREDIT PHOTO
The ivory trade is pushing elephants to the edge of extinction, and Yahoo is making a killing from trinket sales in Japan! But right now we have a chance to end this corporate complicity.
Several big brands like Google and Amazon are refusing to sell ivory. Yahoo is one of the few major online markets left. But we could influence that decision. Right now Yahoo is losing some of its best employees, and the CEO is offering millions to convince people to stay. If we threaten to lift the lid on Yahoo’s bloody secret, she could lose staff even faster, and may reconsider the costs of this cruel trade.
Several big brands like Google and Amazon are refusing to sell ivory. Yahoo is one of the few major online markets left. But we could influence that decision. Right now Yahoo is losing some of its best employees, and the CEO is offering millions to convince people to stay. If we threaten to lift the lid on Yahoo’s bloody secret, she could lose staff even faster, and may reconsider the costs of this cruel trade.
100 elephants are being massacred a day, and their emotional intelligence means they understand the horror of what is happening to them. Let’s raise a million voices to protect these majestic creatures -- Avaaz will run an advertising blitz and target Yahoo employees worldwide to demand change from the inside. Add your voice now:
https://secure.avaaz.org/en/yahoo_ivory_loc/?bkqGkdb&v=71540&cl=9273870127
Ivory sales on Yahoo Japan are exploding, growing from around $2 million in 2010 to $7 million in 2014. Yahoo Japan is separate from the global firm Yahoo, but the global company is its second largest shareholder, and has a massive say on policy.
Yahoo’s CEO, Marissa Mayer, is under threat. Yahoo’s financial performance has been poor, some investors want her gone, and employees are demoralised -- over a third of the workforce left in the last year. The last thing she needs right now is to be distracted by even more bad publicity and employee anger. And if we win on Yahoo, we can use the momentum to go after the other companies that still allow ivory sales online.
With experts warning that elephants could be extinct in the wild in just one or two decades, there is no time to delay. If we raise the alarm about Yahoo’s involvement in the slaughter with employees and the media, CEO Mayer will be under pressure to follow other responsible companies and ban ivory from the site. Act now and share this story so the whole world knows:
https://secure.avaaz.org/en/yahoo_ivory_loc/?bkqGkdb&v=71540&cl=9273870127
When
nearly 1.4 million Avaazers and WWF supporters joined Leonardo DiCaprio
in a call to the Thai prime minister to end her country’s unregulated
ivory market, we left so many comments on her Facebook page that it was
temporarily shut down! Our pressure forced her to listen -- and she
pledged to end the unregulated trade. Now let's shut down another major
part of the trade in these precious animals' tusks!
With hope and determination,
Meredith, Marie, Alice, Risalat, Emilia and the rest of the Avaaz team
MORE INFORMATION
Japan's inaction fuelling illegal ivory trade as demand rises, study finds (The Guardian)
http://www.theguardian.com/environment/2015/dec/10/japans-blind-eye-fuelling-illegal-ivory-trade-as-demand-rises-study-finds?CMP=Share_iOSApp_Other
How Japan is Fueling the Slaughter of Elephants (National Geographic)
http://news.nationalgeographic.com/2015/12/151210-Japan-ivory-trade-african-elephants/
Yahoo’s Brain Drain Shows a Loss of Faith Inside the Company (CNBC)
http://www.cnbc.com/2016/01/11/yahoos-brain-drain-shows-a-loss-of-faith-inside-the-company.html
Wildlife poaching a threat to national security (CNN)
http://edition.cnn.com/2015/12/16/opinions/coons-flake-wildlife-poaching/
African elephants could be extinct 'within a decade' (The Telegraph)
http://www.telegraph.co.uk/travel/destinations/africaandindianocean/11491343/African-elephants-could-be-extinct-within-a-decade.html
With hope and determination,
Meredith, Marie, Alice, Risalat, Emilia and the rest of the Avaaz team
MORE INFORMATION
Japan's inaction fuelling illegal ivory trade as demand rises, study finds (The Guardian)
http://www.theguardian.com/environment/2015/dec/10/japans-blind-eye-fuelling-illegal-ivory-trade-as-demand-rises-study-finds?CMP=Share_iOSApp_Other
How Japan is Fueling the Slaughter of Elephants (National Geographic)
http://news.nationalgeographic.com/2015/12/151210-Japan-ivory-trade-african-elephants/
Yahoo’s Brain Drain Shows a Loss of Faith Inside the Company (CNBC)
http://www.cnbc.com/2016/01/11/yahoos-brain-drain-shows-a-loss-of-faith-inside-the-company.html
Wildlife poaching a threat to national security (CNN)
http://edition.cnn.com/2015/12/16/opinions/coons-flake-wildlife-poaching/
African elephants could be extinct 'within a decade' (The Telegraph)
http://www.telegraph.co.uk/travel/destinations/africaandindianocean/11491343/African-elephants-could-be-extinct-within-a-decade.html
lundi 18 janvier 2016
CHINE IL A SAUVE PLUS DE 2000 CHIENS
Après avoir assisté aux
massacres de chiens errants dans un abattoir alors qu'il cherchait son
chien perdu, un homme fut si horrifié qu'il décida d'utiliser toute sa
fortune pour racheter l’abattoir, et y construire un refuge.
Tout commença en 2012, quand Wang Yan,
un entrepreneur millionnaire de la ville de Changchun, en
Chine, perdit son chien. Alors très inquiet, un ami lui conseille
d’aller voir à l’abattoir, les chiens errants étant souvent conduits
dans ces enfers pour y être massacrés, leur viande ensuite vendue sur
les marchés locaux.
Wang fera des allers-retours
pendant près d’une semaine, mais aucune trace de son chien. En lieu et
place, il assistera à des scènes d’horreurs, de véritables bains de
sang. On ne rentrera pas dans les détails. Touché, meurtri, notre
millionaire décidera de mettre un terme aux massacres. Déterminé,
il rachète l’abattoir avec une grande partie de sa fortune pour sauver
tous les chiens, les nourrir, les soigner et leur trouver une famille.
Aujourd'hui, l'homme en a sauvé plus de 2 000.
Ancien millionaire, Wang est aujourd’hui
endetté, et n'a toujours pas retrouvé son chien, mais peu importe. La
reconnaissance de ces milliers de chiens sauvés d’une mort atroce a bien
plus de valeur à ses yeux que de vulgaires billets de banque. Tous mes
respect, monsieur.
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