SOURCE ET SUITE
CECI SE PASSE EN BELGIQUE MAIS SANS DOUTE PAS SEULEMENT, EN FRANCE LES MENACES DOIVENT ETRE FORTES PUISQUE NOUS N' OSONS PAS LUTTER CONTRE UN MOINS MAL ANIMAL LE JOUR FATIDIQUE ET SOMMES LES CHAMPIONS DE L' ABATTAGE RITUEL. (OU UN DES MEILLEURS EN TOUS CAS)
BEURK!!!!!!!!!!!!!!!!
ET BRAVO AU MINISTRE FLAMAND
JE SUIS 1000% POUR LES FLANDRES DONT JE GARDE UN EXCELLENT SOUVENIR DES QQ MOIS PASSES A LA PANNE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Dans une plainte officielle communiquée mercredi au ministre flamand
du Bien-être animal Ben Weyts (N-VA) (photo), 48 organisations
musulmanes demandent à celui-ci de retirer d’ici le 1er septembre sa
« décision illégale » sur l’abattage sans étourdissement, rapportent les
quotidiens Het Nieuwsblad et De Standaard jeudi. Si M. Weyts ne
s’exécute pas, « tous les dommages » devront être endossés par le ministre, avertissent les organisations. De son côté, M. Weyts a indiqué ne pas vouloir se laisser impressionner et s’en tient à sa décision, « menaces ou pas. » (…)
Les 48 organisations accusent M. Weyts de négligence, parce qu’il n’a
pas pris de mesures pour augmenter les capacités des abattoirs agréés.
Dans ces établissements uniquement, l’abattage peut bien être réalisé
sans étourdissement.
En reconnaissant cette pratique comme une tradition culturelle
flamande, le ministre pourrait bénéficier d’une exception au règlement
européen sur le bien-être animal, avance le groupe. Mais le ministre n’a
pas l’intention de s’étendre sur les griefs de la communauté musulmane.
« La Flandre doit prendre le bien-être animal au sérieux, d’autant plus
lorsque la législation européenne en la matière est claire comme de
l’eau de roche. »
En Wallonie, l’abattage sans étourdissement ne pourra pas non plus
avoir lieu dans les sites temporaires qui seront installés pendant trois
jours pour la Fête du sacrifice (24 septembre). La pratique rituelle ne
sera autorisée que dans un abattoir fixe et réalisée par un
sacrificateur formé.
Reste la région Bruxelles-Capitale où l’abattage sans étourdissement
pourra encore avoir lieu cette année dans les lieux temporaires agréés
tant que le sacrificateur a suivi une formation adéquate pour alléger le
stress et la souffrance des animaux. Selon la secrétaire d’État
bruxelloise au Bien-être animal, Bianca Debaets (CD&V), il s’agit
toutefois d’une étape intermédiaire avant de proposer une solution
structurelle dès l’an prochain.
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