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Je m’appelle Élisabeth, j’ai 22 ans et je fais des études pour
devenir professeure des écoles. Petite, j’ai toujours été « difficile »
avec la nourriture : j’avais surtout du mal avec… la viande. En
grandissant, ça ne s’est pas arrangé : lorsque j’ai emménagé dans mon
premier appartement, je me suis cantonnée au jambon blanc et aux
saucisses de Strasbourg (vous savez, les fameux Knackis). Et la viande
crue, n’en parlons même pas : elle me dégoûtait.
« T’es trop
sensible », « De toute façon, les animaux sont là pour être mangés »,
« Tu fais ta chochotte »… Mon entourage a bien essayé de me convaincre
de manger davantage de viande, sans succès. Du coup, c’est tout
naturellement qu’en décembre 2013, je suis devenue végétarienne. La viande et le poisson, c’était fini !
Autour de moi, personne n’a vraiment été surpris.
Et j’ai eu l’impression d’être libérée d’un poids : je n’étais plus
« obligée » d’acheter de la viande au supermarché. C’est aussi à cette
époque que j’ai commencé à cuisiner : j’ai fait le plein de recettes
végétariennes et – en partie grâce à ma mère - j’ai appris à concocter
de bons petits plats à base de tomates, de steaks végétaux, de poivrons
et d’oignons, mes aliments favoris.
C’est mon porte-monnaie qui a
été content ! Parce que mine de rien, la viande, c’est un vrai budget.
Et quand on cuisine beaucoup, on achète essentiellement des matières
premières (fruits, légumes, condiments, céréales…), dont le prix est
assez faible au kilo. Petit à petit, mes repas ont pris la forme
« céréales + légumes » et j’ai progressivement ajouté les légumineuses à
mes menus. Cette transition là a été assez facile, je trouve.
Cuisine : découvrez notre best-of des recettes végétariennes.
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