SOURCE SUITE ET CREDIT PHOTO LE FIGARO
Comme j' aime les mouvements de l' eveil pour les animaux actuellement et ces hommes qui osent dire qu' ils aiment les betes.....
JE PARLE DE CEUX QUI ONT PARLE POUR LES ANIMAUX CES DERNIERS TEMPS, CES AUTEURS QUI ONT PRIS LA PEINE DE REDIGER UN LIVRE APRES S' ETRE POSE DES QUESTIONS SUR LA CONDITION ANIMALE ET NOTRE COMPORTEMENT ENVERS EUX....
CAR EN FAIT LE TON DE CET ARTICLE NE ME PLAIT PAS TROP..
extrait:
Aujourd'hui plus que jamais, l'animal est au centre des
préoccupations humaines. Un ours fugue et une ministre imagine qu'il a
pu être «assassiné». Un chaton est maltraité, son auteur est condamné à
un an de prison. Des bovins ou des volatiles sont abattus pour des
raisons sanitaires et on hurle au meurtre. Le zoo de Copenhague pique
une girafe à cause d'un risque de consanguinité et c'est l'offuscation
planétaire, les pétitions affluent, on parle d'euthanasie. Les plus
militants comparent sans vergogne les tortures opérées sur les animaux à
celles des camps de la mort, quand ils ne luttent pas contre la
prostitution de femelles orang-outan à Bornéo. Les dépenses de luxe pour
chiens explosent, tout comme la prescription de traitement au prozac
pour animaux. L'influence du darwinisme s'amplifie, la lutte pour les
droits civils et politiques de nos amis à quatre pattes rassemble de
plus en plus de partisans, l'industrie de la viande est devenue la cible
à abattre.
Il y a une vraie et une fausse manière d'aimer les
animaux. La fausse est exclusive, la vraie inclusive. On peut ainsi
célébrer l'humanité de l'homme tout en considérant le respect dû à
l'animal. Saint François d'Assise lui-même ne rendit-il pas cette
dignité volée aux pauvres en même temps qu'il entourait d'une attention
toute particulière la création animale? Mais il est plus difficilement
concevable de célébrer l'humanité de l'animal tout en considérant le
respect dû à l'homme. Or c'est de cela dont se rendent coupables les
militants -tels qu'on les connaît -de la cause animale: Détruire l'
«humanisme humain» pour réclamer l' «humanisme animal» ; renverser la
charge que l'on doit à notre prochain pour la reporter sur l'animal qui,
lui, au demeurant, ne sera jamais capable de barbarie.
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