SOURCE ET SUITE
SI TRISTE....
EXACT JE NE VOIS PLUS BCP D' AIULES DANS MON JARDIN... ET MA HOEY BEE A DISPARU CETTE ANNEE....
Après les oiseaux, c’est au tour des abeilles d’amorcer un long et inquiétant déclin. Une enquête montre qu’en France, un tiers d’entre elles a disparu en un hiver, soit l’équivalent de la mortalité habituelle d’une année pleine.
C'est
«la désolation dans de nombreuses exploitations apicoles», déplore
l'Union nationale de l'apiculture française (Unaf). Dans un communiqué,
daté du jeudi 25 octobre, les apiculteurs tirent une nouvelle fois la
sonnette d'alarme sur «des taux de mortalités gravissimes» des abeilles:
en un hiver, il est mort autant d'abeilles qu'il n'en meure
habituellement en une année. Le constat est «douloureux»:SI TRISTE....
EXACT JE NE VOIS PLUS BCP D' AIULES DANS MON JARDIN... ET MA HOEY BEE A DISPARU CETTE ANNEE....
Après les oiseaux, c’est au tour des abeilles d’amorcer un long et inquiétant déclin. Une enquête montre qu’en France, un tiers d’entre elles a disparu en un hiver, soit l’équivalent de la mortalité habituelle d’une année pleine.
«30%, aucune filière d'élevage n'accepterait un tel taux de mortalité»,
estime Henri Clément, porte-parole de l'Unaf. Si les abeilles sont
encore là, c'est parce que les apiculteurs, qui font face en plus à une
pénurie d'essaims sur le marché français, multiplient les manœuvres pour
«refaire leur cheptel, à partir des ruches qui ont survécu»… mais cela
au détriment de la production.
«C'est grâce aux apiculteurs que le nombre de
ruches se maintient. Mais c'est un signal d'alarme pour dire qu'au-delà
des abeilles, c'est tout notre environnement qui est en train de se
dégrader très vite.»
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