SOURCE ET SUITE
Les vaches, les poules, les cochons et les espèces animales en général sont-elles victimes d'une oppression identique à l'oppression raciale ou sexiste ? L'antispécisme, qui représente la lutte contre les discriminations en raison de l'espèce, est-il un nouveau front du combat pour l'égalité ? C'est en tous cas ce que défend l'association L214, de même que le médiatique Aymeric Caron, l'ancien chroniqueur de l'émission "On n'est pas couché" sur France 2.
Vous avez sûrement déjà vu ces vidéos qui dénoncent la cruauté dans certains élevages, comme, par exemple, celle où de mignons petits poussins sont broyés
pour faire des "chicken nuggets". Derrière ces images, des personnes
révoltées, comme celles assemblées au sein de L214. Cette association
française utilise les termes de "racisme récurrent" envers les animaux
et prône le "véganisme", une pratique alimentaire qui exclut totalement
les protéines animales. Dernièrement, elle s'est fait connaître en
diffusant des scènes de maltraitance animales saisies dans un abattoir du Vigan qui a d'ailleurs été contraint de fermer temporairement..
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......................."60 000 milliards d'animaux tués chaque année"
"L214" espère que ces pratiques changeront drastiquement dans le futur. "Le but ultime est de provoquer une évolution qui nous fasse changer de modèle agricole et alimentaire. 60 000 milliards d'animaux sont tués chaque année. Nous avons érigé un monde autour duquel s'articule le plaisir du goût. Mais ce ne sont que des faux arguments. Certes, ces produits nous font plaisir culturellement mais ils créent une somme de souffrance." Ces rêveurs d'un monde sans viande ont encore du pain sur la planche, à l'heure où les fast-food rythment nos pauses repas et où la productivité est un principe fondamental du système économique actuel pour nourrir les 7,5 milliards d'êtres humains.
"L214" espère que ces pratiques changeront drastiquement dans le futur. "Le but ultime est de provoquer une évolution qui nous fasse changer de modèle agricole et alimentaire. 60 000 milliards d'animaux sont tués chaque année. Nous avons érigé un monde autour duquel s'articule le plaisir du goût. Mais ce ne sont que des faux arguments. Certes, ces produits nous font plaisir culturellement mais ils créent une somme de souffrance." Ces rêveurs d'un monde sans viande ont encore du pain sur la planche, à l'heure où les fast-food rythment nos pauses repas et où la productivité est un principe fondamental du système économique actuel pour nourrir les 7,5 milliards d'êtres humains.
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