samedi 31 octobre 2015
vendredi 30 octobre 2015
UN ABATTOIR SOUS SURVEILLANCE... ET LES AUTRES???
SOURCE ET SUITE AVEC VIDEOS
L'épisode fâcheux de l'abattoir d'Alès a provoqué une onde de choc. Les services vétérinaires surveillent des «manquements» au rituel de l'abattage halal à Villeneuve.
Dans l'attente d'une éventuelle reprise de l'activité — la décision doit intervenir le 3 novembre — l'abattoir de Villeneuve désormais sous administration judiciaire depuis sa liquidation en juillet est sous surveillance sanitaire. Hier et aujourd'hui, les services vétérinaires (DDCSPP) étaient sur place pour veiller au respect de l'abattage conventionnel mais portent une attention soutenue au rituel halal.
Ces mesures de précaution font suite à des «manquements» (dixit les services du préfet) observés par ces mêmes services dans les derniers mois. Cette méthode propre à la religion musulmane doit répondre à des protocoles, à des critères établis avec dérogation pour l'abattoir de Villeneuve-sur-Lot. De ces «manquements» évoqués en préfecture, il n'est pas usurpé de conclure que les règles établies n'étaient pas respectées dans leur intégralité. Les services de l'État ont ainsi souhaité prévenir avant d'intervenir.
Le 14 octobre dernier, l'abattoir municipal d'Alès a été fermé sur décision politique du maire à la suite de la diffusion d'une vidéo montrant bovins et moutons saignés sans être étourdis et en état de conscience. Le document et la polémique ont fait le tour de France des associations de protection des animaux.
Cette activité prend une part non-négligeable dans le tonnage global d'un abattoir à l'équilibre financier fragilisé depuis dix ans. Le tribunal de commerce d'Agen a fixé à ce mercredi 28 octobre la date butoir de dépôt des candidatures pour la reprise de l'activité. Le juge-commissaire a dans un premier temps ordonné une poursuite d'activités jusqu'au 3 novembre, ce qui devait permettre à d'autres candidats de se présenter à la porte, mais aussi au seul candidat connu à ce jour d'affiner ses propositions. Ce candidat est la chambre d'agriculture accompagnée de deux professionnels de la boucherie, Quercy Bas Rouerge et Top Viandes. Président de la chambre consulaire, Serge Bousquet-Cassagne s'est refusé à tout commentaire avant l'audience du tribunal de commerce la semaine prochaine.
L'épisode fâcheux de l'abattoir d'Alès a provoqué une onde de choc. Les services vétérinaires surveillent des «manquements» au rituel de l'abattage halal à Villeneuve.
Dans l'attente d'une éventuelle reprise de l'activité — la décision doit intervenir le 3 novembre — l'abattoir de Villeneuve désormais sous administration judiciaire depuis sa liquidation en juillet est sous surveillance sanitaire. Hier et aujourd'hui, les services vétérinaires (DDCSPP) étaient sur place pour veiller au respect de l'abattage conventionnel mais portent une attention soutenue au rituel halal.
Ces mesures de précaution font suite à des «manquements» (dixit les services du préfet) observés par ces mêmes services dans les derniers mois. Cette méthode propre à la religion musulmane doit répondre à des protocoles, à des critères établis avec dérogation pour l'abattoir de Villeneuve-sur-Lot. De ces «manquements» évoqués en préfecture, il n'est pas usurpé de conclure que les règles établies n'étaient pas respectées dans leur intégralité. Les services de l'État ont ainsi souhaité prévenir avant d'intervenir.
Le 14 octobre dernier, l'abattoir municipal d'Alès a été fermé sur décision politique du maire à la suite de la diffusion d'une vidéo montrant bovins et moutons saignés sans être étourdis et en état de conscience. Le document et la polémique ont fait le tour de France des associations de protection des animaux.
Courrier
La préfecture a écrit à l'administrateur judiciaire sur la foi d'un rapport circonstancié des services vétérinaires. Et cette semaine s'est tenue une réunion entre techniciens, gérants et représentants de la communauté musulmane. Les jours qui suivent apparaissent essentiels pour le maintien de l'activité d'abattage halal au sein de l'établissement.Cette activité prend une part non-négligeable dans le tonnage global d'un abattoir à l'équilibre financier fragilisé depuis dix ans. Le tribunal de commerce d'Agen a fixé à ce mercredi 28 octobre la date butoir de dépôt des candidatures pour la reprise de l'activité. Le juge-commissaire a dans un premier temps ordonné une poursuite d'activités jusqu'au 3 novembre, ce qui devait permettre à d'autres candidats de se présenter à la porte, mais aussi au seul candidat connu à ce jour d'affiner ses propositions. Ce candidat est la chambre d'agriculture accompagnée de deux professionnels de la boucherie, Quercy Bas Rouerge et Top Viandes. Président de la chambre consulaire, Serge Bousquet-Cassagne s'est refusé à tout commentaire avant l'audience du tribunal de commerce la semaine prochaine.
L' ONU CONFIRME LE RAPPORT DU CANCER CAUSE PAR LES VIANDES TRANSFORMEES
SOURCE ET SUITE
Les viandes transformées, telles que le jambon et les saucisses, viennent d’être déclarées cancérogènes par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l’institution onusienne responsable de la santé publique. Cette décision est justifiée par la corrélation établie entre la consommation de ce type de viandes et le risque de cancer du colon.
Selon le rapport du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) de l’OMS, chaque portion de 50 g de viande transformée consommée quotidiennement (soit l’équivalent d'une tranche de jambon) accroît le risque de cancer colorectal de 18%.
La viande rouge (bœuf, veau, agneau, mouton, cheval, porc et chèvre) est quant à elle classée « probablement cancérogène ».
CIWF souligne depuis longtemps les effets négatifs de l’élevage intensif sur la santé humaine. Un tel système permet des consommations élevées de viande rouge et transformée pouvant être cause d’obésité, de diabète, de maladies cardiovasculaires et de cancers.
SUITE
Les viandes transformées, telles que le jambon et les saucisses, viennent d’être déclarées cancérogènes par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l’institution onusienne responsable de la santé publique. Cette décision est justifiée par la corrélation établie entre la consommation de ce type de viandes et le risque de cancer du colon.
Selon le rapport du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) de l’OMS, chaque portion de 50 g de viande transformée consommée quotidiennement (soit l’équivalent d'une tranche de jambon) accroît le risque de cancer colorectal de 18%.
La viande rouge (bœuf, veau, agneau, mouton, cheval, porc et chèvre) est quant à elle classée « probablement cancérogène ».
Un rapport qui n’est pas isolé
De nombreuses études antérieures à ce rapport avaient déjà émis des recommandations dans le sens d’une réduction de la consommation de viande rouge et transformée en raison du risque associé de cancer.CIWF souligne depuis longtemps les effets négatifs de l’élevage intensif sur la santé humaine. Un tel système permet des consommations élevées de viande rouge et transformée pouvant être cause d’obésité, de diabète, de maladies cardiovasculaires et de cancers.
SUITE
jeudi 29 octobre 2015
COMMENT ET QUOI MANGER MAINTENANT QUE TT EST INFECT ET TOXIQUE???
SOURCE ET SUITE
J' AIMERAIS BIEN AVOIR MON POTAGER ET ÉLEVER DES POULES POUR LES OEUFS, MAIS BON, SOYONS RÉALISTE JE NE PARVIENS MÊME PAS A ENTRETENIR ET RÉPARER MA MAISON CORRECTEMENT.
ET ENGAGER UN JARDINIER JE N' EN AI PAS LES MOYENS AVEC CE QUE L' ÉTAT ME PREND.
ALORS DILEMME.. QUE FAIRE????
MANGER BIO NOUS DIT ON, MAIS LE BIO NE SE TROUVE PAS PARTOUT, ET IL Y A SOUVENT DES PRODUITS PAS TRÈS FRAIS DANS LE BIO NON PLUS.. ET PUIS JE TROUVE QU' ILS ONT BCP AUGMENTE.
ALORS???
SI VOUS AVEZ LA SOLUTION DITES MOI OK??
Si le ministère de la santé nous incite à manger 5 fruits et légumes par jour ce qu'il ne précise pas, c'est qu'il est préférable de consommer des aliments bio. En effet, les pesticides utilisés constituent un risque important pour la santé des consommateurs et le rinçage seul ne suffit malheureusement pas à limiter les risques d'ingestion de résidus de pesticides. Le seul moyen d'être certains de ne pas consommer de produits chimiques reste l'alternative bio.
Or, le prix du bio souvent plus élevé que celui des produits classiques, représente un frein pour les consommateurs qui ne savent pas quels aliments privilégier. Bio à la Une vous a concocté une liste des aliments à acheter bio en priorité.
La salade
S'il est bien un aliment qu'il faut consommer bio, c'est la salade. En effet, un rapport inquiétant publié en septembre dernier par l'ONG Générations Futures révèle que 80% des salades présentent des résidus de pesticides. Mais ce n'est pas tout ! 16% d'entre elles contiennent des substances chimiques interdites en France.
Les fraises
Tout comme la belle pomme rouge et ronde croquée par Blanche-Neige, les fraises à l'apparence parfaite sont souvent empoisonnées. Il est fréquent que les fraises reçoivent un traitement à base de captane, un fongicide qui leur confère une jolie couleur. Soyez encore plus méfiants envers les fraises issues de l'importation qui peuvent avoir subies des traitements aux pesticides plus importants du fait de la différence de législation en la matière. Des fraises oui, mais bio !
Les pommes
J' AIMERAIS BIEN AVOIR MON POTAGER ET ÉLEVER DES POULES POUR LES OEUFS, MAIS BON, SOYONS RÉALISTE JE NE PARVIENS MÊME PAS A ENTRETENIR ET RÉPARER MA MAISON CORRECTEMENT.
ET ENGAGER UN JARDINIER JE N' EN AI PAS LES MOYENS AVEC CE QUE L' ÉTAT ME PREND.
ALORS DILEMME.. QUE FAIRE????
MANGER BIO NOUS DIT ON, MAIS LE BIO NE SE TROUVE PAS PARTOUT, ET IL Y A SOUVENT DES PRODUITS PAS TRÈS FRAIS DANS LE BIO NON PLUS.. ET PUIS JE TROUVE QU' ILS ONT BCP AUGMENTE.
ALORS???
SI VOUS AVEZ LA SOLUTION DITES MOI OK??
Si le ministère de la santé nous incite à manger 5 fruits et légumes par jour ce qu'il ne précise pas, c'est qu'il est préférable de consommer des aliments bio. En effet, les pesticides utilisés constituent un risque important pour la santé des consommateurs et le rinçage seul ne suffit malheureusement pas à limiter les risques d'ingestion de résidus de pesticides. Le seul moyen d'être certains de ne pas consommer de produits chimiques reste l'alternative bio.
Or, le prix du bio souvent plus élevé que celui des produits classiques, représente un frein pour les consommateurs qui ne savent pas quels aliments privilégier. Bio à la Une vous a concocté une liste des aliments à acheter bio en priorité.
La salade
S'il est bien un aliment qu'il faut consommer bio, c'est la salade. En effet, un rapport inquiétant publié en septembre dernier par l'ONG Générations Futures révèle que 80% des salades présentent des résidus de pesticides. Mais ce n'est pas tout ! 16% d'entre elles contiennent des substances chimiques interdites en France.
Les fraises
Tout comme la belle pomme rouge et ronde croquée par Blanche-Neige, les fraises à l'apparence parfaite sont souvent empoisonnées. Il est fréquent que les fraises reçoivent un traitement à base de captane, un fongicide qui leur confère une jolie couleur. Soyez encore plus méfiants envers les fraises issues de l'importation qui peuvent avoir subies des traitements aux pesticides plus importants du fait de la différence de législation en la matière. Des fraises oui, mais bio !
Les pommes
UGO IBS AND SLIPPERY ELM, ORME ROUGE
VOUS VOUS SOUVENEZ PEUT ÊTRE DE MON PÉKINOIS ET DE SON PROBLÈME DE COLON IRRITABLE QUI DURE DEPUIS QU' UN VETO LUI A PRESCRIT DU METACAM POUR TRAITER SON ARTHROSE DE LA HANCHE.
DEPUIS C' EST UN COMBAT QUOTIDIEN POUR TENTER DE RÉTABLIR UN TRANSIT NORMAL. NOUS N' AVONS PLUS DE VIE SOCIALE, ET LE DÉCOURAGEMENT EST IMMENSE CERTAINS JOURS
DEPUIS 3 JOURS J' AI AJOUTE DU SLIPPERY ELM (ORME ROUGE) A SON QUOTIDIEN
CHOSE SURPRENANTE IL ADORE!!!
L' ORME ROUGE A DES VERTUES NOMBREUSES ET VOICI LE GUIDE INDISPENSABLE ICI POUR L' UTILISER:
**Slippery Soup™ / Slippery Elm Tea. I use this herb more than any other in my practice! It provides superb relief, and has kept many patients from hospitalization. It is a soothing nutritive herb which is perfectly suited for sensitive or inflamed mucous membrane lining of the digestive system. The bark contains mucilage and tannins that act as demulcent, emollient, protectorant, and astringent. You might think of it as a soothing internal bandage coating the digestive tract for its entire length. Imagine the relief for your pet to have a jelly-like coating soothing in an eosophagus (food pipe) burned by acrid vomitus, or in an ulcerated colon. This herb makes a huge difference. It is easy to make and has a very bland taste which makes it easy to add to tasty things.
EN FRANCAIS ET POUR HUMAINS AUSSI :
DEPUIS C' EST UN COMBAT QUOTIDIEN POUR TENTER DE RÉTABLIR UN TRANSIT NORMAL. NOUS N' AVONS PLUS DE VIE SOCIALE, ET LE DÉCOURAGEMENT EST IMMENSE CERTAINS JOURS
DEPUIS 3 JOURS J' AI AJOUTE DU SLIPPERY ELM (ORME ROUGE) A SON QUOTIDIEN
CHOSE SURPRENANTE IL ADORE!!!
L' ORME ROUGE A DES VERTUES NOMBREUSES ET VOICI LE GUIDE INDISPENSABLE ICI POUR L' UTILISER:
**Slippery Soup™ / Slippery Elm Tea. I use this herb more than any other in my practice! It provides superb relief, and has kept many patients from hospitalization. It is a soothing nutritive herb which is perfectly suited for sensitive or inflamed mucous membrane lining of the digestive system. The bark contains mucilage and tannins that act as demulcent, emollient, protectorant, and astringent. You might think of it as a soothing internal bandage coating the digestive tract for its entire length. Imagine the relief for your pet to have a jelly-like coating soothing in an eosophagus (food pipe) burned by acrid vomitus, or in an ulcerated colon. This herb makes a huge difference. It is easy to make and has a very bland taste which makes it easy to add to tasty things.
ü Slippery
Soup™ Preparation and Administration: You can find the herb in a dry powder
form in capsules, as dried leaf in tea bags, or as loose dried leaf in the “bulk” products section of many health
food stores. Any of these forms will do. Do not use the tincture (which already comes
as a liquid in a dropper bottle). It may help in a few cases but it will not have all the healing physical
properties of the brewed tea. The same goes for mixing the dried herb directly into the food.
It will not give all the benefits of the brewed tea.
1.
Simple Tea Method. You’ll prepare this medication just like a tea
you might drink yourself. First, put a heaping teaspoon of dried herb in a coffee mug, and add 8-12 oz
of boiling water or diluted broth. Allow to cool. If using capsules, open them
up, discarding the shells, and note that it may take a bit less to get good results.
2. Long-Brew Method. To
get
more out of your supply or to create a thicker medicine use the
same amounts of herb and water listed above and simmer for
10-20 minutes.
3. The
resultant liquid, once cooled, should be somewhat thicker than water. If it is as thin
as water double the dry herb amount next time, or try the long-brew method. If it is thick like
jelly, that’s fine. You can use half of the dosages listed below. This makes it much
easier to spoon feed reluctant patients! Do not worry about any loose herb in the liquid. It
does not have to be filtered out. This infusion or decoction will keep for about 5 days in the fridge.
4. Add the liquid to the food at
mealtimes, or add to the water bowl, or give as a treat. The goal is
4 doses per day, but even once daily will provide some relief. I hate to force feed anything.
But this is one treatment that is probably worth it if you must. If force feeding is
your only choice use the stove top brewing method and aim for a
thicker, jellylike consistency so you can administer less
physical amount for the same beneficial effect.
5.
Palatability Tricks. To give Slippery Soup™ as a treat (my preferred
way!) you can do several things. You can mix the liquid 50/50 with broth, soup, a favorite canned
food, milk or nut milk (eg - unsweetened almond milk), tuna juice, or baby food. It may not smell
great to you, but these soups are highly appreciated by pets! You can also add it to yogurt
or cottage cheese if dairy is not an issue.
6. Dose size (goal is 4 doses per day):
Cats and Dogs under 25 lbs
1-2 Tablespoons
Dogs
25-50 lbs
2-4 Tablespoons
Dogs
50 lbs and up
¼ to ½ cup
ü Epilogue
I. Slippery Elm is a very safe herb. It can literally be a
life saver by preventing dehydration from continued vomiting or diarrhea. It is virtually impossible to overdose, and it can
be used for extended periods of time. However, if you find your pet needs this treatment for several
weeks and the symptoms still reappear when you attempt to wean off or discontinue, this is a sign of significant
chronic disease and you should seek professional veterinary care.
ü Epilogue II.
I am a Natural Health Coach for people as well. These first aid guidelines are solid
recommendations for humans as well. This includes the Slippery Elm information. You
can count human adults as “Dogs 50 lbs and up” : ) for dosing.
Good Luck! Good Healing!
EN FRANCAIS ET POUR HUMAINS AUSSI :
Propriétés médicinales
Nutritif
On peut donner l’orme rouge à toute personne ayant besoin d’une
substance facilement digeste et nutritive, tels les convalescents ou les
jeunes bébés, sitôt qu’ils sont en âge de manger quelque chose. Il est
riche en vitamines A, B et C, en minéraux et oligo-éléments de toutes
sortes (Ca, K, Na, Mg, Co, Cr, Fe, Mn, P, Se, Si, Zn), ainsi qu’en
sucres et en fibres, surtout en mucilages. Il contient également un peu
de tanins, ce qui lui confère une légère astringence.
Émollient et Anti-inflammatoire
Son contenu élevé en fibres hydrosolubles, aussi appelées mucilages,
fait de l’orme rouge un émollient hors pair. Les mucilages tapissent le
conduit digestif, hydratant et protégeant la muqueuse, tout en apaisant
les inflammations et les irritations. Au contact de la bouche, il
stimule la sécrétion de mucus dans l’estomac.mercredi 28 octobre 2015
LE RAPPORT DE L' OMS SUR LA VIANDE ET LE CANCER EN ANGLAIS
LE RAPPORT EST TRÈS COMPLET... IL CITE LES ANTIBIOTIQUES ET LES FOSSES DE RETENTION DES DECHETS DES MAGA FERMES ELEVAGE DE COCHONS LES PAUVRES BETES!!!
LE MINIMUM A FAIRE POUR VOTRE SANTE EST D' AU MOINS DIMINUER RADICALEMENT, DES AUJOURD' HUI!!!! VOTRE CONSOMMATION DE CHARCUTERIES, BACON, JAMBON!!! ET PATES, PUIS DE REDUIRE ENCORE PROGRESSIVEMENT JUSQU' A L' ARRET TOTAL!!! LE TEMPS DE CHANGER VOTRE ALIMENTATION ET DE DEVENIR VEGETARIEN.
C' EST SI FACILE QUE VOUS AURES RAPIDEMENT ENVIE DE DEVENIR VEGAN CAR LE GOUT DE LA VIANDE VOUS AURA QUITTE!! ET VOUS VERREZ LES ANIMAUX COMME DES ETRES SENSIBLES QUI MERITENT DE VIVRE PLEINEMENT LEUR VIE!!
mardi 27 octobre 2015
CES ANIMAUX QUE NOUS EXPLOITONS
SOURCE ET SUITE
AVEC UNE SUPERBE PHOTO DE VRAIES VACHES NORMANDES!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Alors que la viande est devenue le pilier de l'alimentation de quelques pays riches, de plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer un modèle insoutenable et cruel envers des animaux toujours considérés comme des "biens meubles" dans le Code civil français.
De tous temps, l'Homme s'est appuyé sur l'exploitation animale pour se développer, s'octroyant un droit absolu sur ceux qu'il considère comme de simples "bêtes". La faute à Descartes qui, en distinguant l'Homme qui pense et parle, de "l'animal-machine", a encré dans nos esprits l'idée selon laquelle les animaux seraient dénués de toute sensibilité et donc incapables de ressentir le plaisir, la peur et encore moins la souffrance.La souffrance, ou la capacité d'être conscient de sa douleur, est-elle uniquement l'apanage des hommes? De nombreuses études scientifiques et philosophiques tendent aujourd'hui à démontrer que les animaux sont non seulement intelligents et capables de ressentir la douleur, mais aussi d'éprouver des émotions. Si bien qu'aujourd'hui se pose la question de leur "bien-être".
Une exploitation industrielle à mille lieues du fantasme pastoral
L'image que l'on nous vend avec notre morceau de viande ou notre produit laitier est toujours la même: celle d'une ferme dans un champ, où les animaux vivent à l'air libre et font l'éloge de leur propre exploitation.Des abattoirs situés loin des villes aux produits présentés en morceaux géométriques et aseptisés, tout est fait pour rompre le lien entre le consommateur et l'animal, l'assiette et le mode de production. Ainsi, nous continuons notre consommation effrénée de viande sans nous interroger, avec le sentiment de ne pas connaitre les coulisses de l'exploitation animale.
Or la réalité est bien plus amer : il ne s'agit aujourd'hui plus d'élevage, mais d'industrie, d'animaux produits en séries selon un système standardisé. Oui, l'animal est bien objet, tant dans le code civil que dans notre manière d'exploiter sa vie. SUITE
lundi 26 octobre 2015
1000 OISEAUX ET X 100 COCHONS LIBERES EN ESPAGNE
SOURCE ET SUITE
SOURCE
Des militants espagnols anonymes, se réclamant de l’ALF (Animal Liberation Front), ont procédé au sauvetage d’un millier d’animaux, retenus dans une réserve de chasse.
SOURCE
Des militants espagnols anonymes, se réclamant de l’ALF (Animal Liberation Front), ont procédé au sauvetage d’un millier d’animaux, retenus dans une réserve de chasse.
Le sauvetage s’est déroulé dans la plus
grande discrétion dans la nuit du 5 au 6 janvier, mais n’a été annoncé
que la semaine dernière par le biais d’un forum ALF, photographies à l’appui. Bien évidemment, les médias se sont bien gardés de relater les faits.
1000 oiseaux libérés
Plus de 1000 oiseaux, littéralement nés
pour mourir, ont été libérés de l’élevage espagnol où ils vivaient en
cages. Cet élevage n’avait d’autre but que d’alimenter une réserve de
chasse : les perdrix, faisans et cailles sauvés devaient donc servir de
chair à fusil…
Les
activistes ayant réalisé cette libération en ont également profité pour
saboter les lieux, en détruisant le système électrique, des véhicules
et les cages de l’élevage. Ils affirment en outre avoir ensuite libéré
plusieurs centaines de moutons qui étaient installés dans une ferme toute proche. Et ils ne s’arrêteront que lorsque « la dernière cage sera vide ».
Que pensez-vous de ce type
d’actions coup de poing, qui ne respectent pas la loi ? Les
approuvez-vous, ou les condamnez-vous ? Dites-le nous dans les
commentaires ci-dessous :
VIANDE=CANCERS A VOIR EN VIDEO
SOURCE ET SUITE
AVEC VIDEO
ALLEZ VOUS LACHER LA VIANDE???
La consommation de charcuterie est cancérogène, et celle de
viande rouge "probablement" aussi, selon une évaluation publiée ce lundi
par l'agence cancer de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
"Ces
résultats confirment les recommandations de santé publique actuelles
appelant à limiter la consommation de viande", a commenté le Dr
Christopher Wild, le directeur du Centre international de recherche sur
le cancer (CIRC), à l'origine de l'évaluation. Le porc est inclus par le
CIRC dans les viandes rouges au même titre que le boeuf, le veau,
l'agneau, le mouton, le cheval et la chèvre.
Selon les estimations
les plus récentes du projet "Fardeau mondial de la maladie" (Global
Burden of Disease Project), 34.000 décès par cancer sont imputables
chaque année à une alimentation riche en charcuteries, contre un million
pour le tabac et 600.000 pour l'alcool.
VIANDE ET CANCER L' OMS LANCE L' ALERTE LE FOLL PANIQUE
SOURCE ET SUITE
L'Organisation mondiale de la santé indique lundi dans rapport que la consommation de jambon, de charcuterie et de saucisses est cancérogène.
Certaines viandes sont-elles cancérogènes au même titre que l'alcool ou le tabac ? Oui, affirme lundi l'Organisation mondiale de la santé dans un rapport dévoilé lundi par Le Monde. Précisions.La viande transformée est cancérogène. La consommation de viande transformée (charcuterie, jambon, saucisses, viande en conserve... autrement dit toutes les viandes qui ont subi un processus de maturation, de fermentation ou de fumaison) est cancérogène, selon l'évaluation publiée lundi par l'agence cancer de l'OMS qui estime que les preuves en ce sens sont "suffisantes".
Selon
la littérature scientifique sur le sujet, chaque portion de 50 grammes
de viande transformée consommée quotidiennement augmente le risque de
cancer colorectal de 18%.
La viande rouge aussi, "probablement".
Pour ce qui est de la viande rouge, l'OMS indique qu'elle est
"probablement" cancérogène. Pour les chercheurs, le porc est inclus dans
les viandes rouges au même titre que le boeuf, le veau, l'agneau, le
mouton, le cheval et la chèvre.
Limiter sa consommation ? "La
relation entre consommation de viande est survenue de certains cancers
est connue depuis une dizaine d'années", a expliqué lundi sur Europe1,
Boris Hansel, endocrinologue et nutritionniste à l’hôpital Bichat qui
estime qu'"en nutrition, tout est question d'équilibre…comme pour
l'alcool". Pour lui, la viande est donc un aliment "à limiter".
ACTION PETITION POUR LES SOURIS CONTRE LA VIVISECTION POUR LA SAUCE DE SOJA
Dites à Kikkoman d'arrêter de tuer des animaux pour vanter les vertus de leur sauce soja sur la santé
SOURCE ET SUITE
PETA a récemment découvert que Kikkoman, la grande entreprise de sauce soja, a réalisé et financé des tests cruels et meurtriers sur les animaux afin de pouvoir vanter les bénéfices de leurs produits sur la santé humaine.
Selon les articles récemment publiés par Kikkoman (en août 2015) le groupe a effectué les expériences suivantes :
- des souris génétiquement élevées pour être rendues obèses ont été nourries d'extrait de citrus avant d'être tuées pour leur retirer leurs muscles
- des lapins ont été nourris avec des aliments riches en cholestérol afin de provoquer des maladies du cœur, puis ils on
- expériences au cours desquelles des tubes étaient enfoncés dans la gorge des rats pour leur administrer du lait de soja fermenté
- t été tués
- des rats ont été gavés avec de la sauce soja, via un tube relié chirurgicalement à leur estomac, après quoi ils ont été « sacrifiés par décapitation… celle-ci rapidement suivie d'une ablation de leur cerveau ».
Faites pression sur Kikkoman pour que le groupe modernise son programme de recherche et qu'il suive l'exemple de Barilla, Coca-Cola, Welch's et Ocean Spray qui ont adopté une politique contre le financement et la conduite (y compris par un tiers) d'expériences sur les animaux.
samedi 24 octobre 2015
CARREFOUR LANCE SA GAMME DE PRODUITS VG ET VEGAN!!!!!!!
source et suite avec la liste des produits
NE PAS SE REJOUIR TROP VITE, LES VIANDARDS N' ACHETERONT JAMAIS DONC.....
COMME BCP D' HYPER AVEC LES PRODUITS SOJASUN ILS NE TIENDRONT SANS DOUTE PAS LONGTEMPS, MOI JE VAIS ME RUER SUR LES FALAFELS EN TOUS CAS!!
ET LES BOULETTES AU SOJA SANS DOUTE...
Il y a presque deux ans, Carrefour avait lancé un sondage en ligne pour ses 50 ans. Pour chaque thème donné (bien manger, environnement…), les internautes étaient libres de proposer des solutions que le géant de la distribution s’engageait à étudier, pour enfin peut-être les réaliser. Face à la grande mobilisation de la communauté végétarienne et vegan, le nombre minimal pour passer à l’étape suivante de 10 000 votes à été rapidement atteint, mais on croyait depuis que ce projet était tombé à l’eau…
NE PAS SE REJOUIR TROP VITE, LES VIANDARDS N' ACHETERONT JAMAIS DONC.....
COMME BCP D' HYPER AVEC LES PRODUITS SOJASUN ILS NE TIENDRONT SANS DOUTE PAS LONGTEMPS, MOI JE VAIS ME RUER SUR LES FALAFELS EN TOUS CAS!!
ET LES BOULETTES AU SOJA SANS DOUTE...
Il y a presque deux ans, Carrefour avait lancé un sondage en ligne pour ses 50 ans. Pour chaque thème donné (bien manger, environnement…), les internautes étaient libres de proposer des solutions que le géant de la distribution s’engageait à étudier, pour enfin peut-être les réaliser. Face à la grande mobilisation de la communauté végétarienne et vegan, le nombre minimal pour passer à l’étape suivante de 10 000 votes à été rapidement atteint, mais on croyait depuis que ce projet était tombé à l’eau…
Carrefour Veggie : 16 nouveaux produits
jeudi 22 octobre 2015
ACTION:PETITION CONTRE L' EXPORTATION D' ANIMAUX VIVANTS
Ce
mois-ci, la #VacheEnTournée de CIWF voyage en Europe : sept escales
dans sept capitales pour protester contre les exportations d’animaux
vivants hors de l'UE.
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FERME DES 1000 VACHES DANS LA SOMME, ON ATTEND LE 2 NOVEMBRE POUR LE DEBUT DE L' ENQUETE PUBLIQUE
SOURCE ET SUITE
La ferme-usine des Mille vaches, dans la Somme, est toujours en irrégularité, mais n’a toujours pas payé l’amende à laquelle elle a été condamnée. Pourtant, une enquête publique sera bientôt lancée pour l’autoriser à passer de 500 à 880 vaches.
La ferme-usine des Mille vaches, dans la Somme, est toujours en irrégularité, mais n’a toujours pas payé l’amende à laquelle elle a été condamnée. Pourtant, une enquête publique sera bientôt lancée pour l’autoriser à passer de 500 à 880 vaches.
Pourtant, début juin, Reporterre révélait que le nombre de vaches dépassait déjà les 500 autorisées. Le contrôle de la préfecture qui a suivi a confirmé l’infraction, comptant 763 vaches. Le 28 août août, la préfète de la Somme prononçait donc des sanctions : 7.800 euros d’amende immédiate, plus 780 euros d’astreinte par jour tant que la ferme-usine n’est pas en conformité.
Pour les opposants, la nouvelle de l’enquête publique est donc une mauvaise surprise. « La préfète nous avait promis que tant que le propriétaire Michel Ramery ne revenait pas à 500 vaches, sa demande pour passer à 880 était gelée, point barre », se rappelle Francis Chastagner, président de Novissen, l’association locale qui dénonce le projet. Le cabinet du ministre de l’agriculture Stéphane Le Foll, lui, avait promis que « cela ne se passerait pas comme ça, et qu’il lui faudrait se mettre en conformité avant de pouvoir imaginer demander l’autorisation d’augmenter son troupeau », souligne un communiqué de la Confédération paysanne, syndicat agricole en pointe dans la lutte contre la méga-ferme. A la préfecture, comme au ministère, on nie vigoureusement : non, cette promesse n’a jamais été faite.
« C’est quand même très bizarre, on a ici quelqu’un qui enfreint la loi, et on met quand même des fonctionnaires pour instruire son dossier d’agrandissement de troupeau. On a l’impression que l’on essaye de régulariser l’irrégularité », résume le porte-parole du syndicat paysan, Laurent Pinatel.
Il y a un an, lors d’une réunion au ministère, l’agrandissement de l’élevage avait déjà été demandé par le propriétaire de la ferme-usine, Michel Ramery. « Il avait essayé de négocier une augmentation du nombre de vaches, en échange d’une baisse de la taille du méthaniseur à 0,6 mégawatt, se souvient Michel Kfoury, président d’honneur de Novissen. Finalement, il est quand même passé à 800 vaches sans demander à personne ! » « Il y a la parole d’un ministre et il y a les volontés de la 360 e fortune de France », remarque, amère, la Confédération Paysanne dans son communiqué.
LA FERME DES 1000 VEAUX, UN AUTRE ALES?????
EXCELLENT ARTICLE!!!!!!!!
Le scandale des méthodes d’abattage dans les abattoirs français se
répand comme une traînée de poudre ; il met en lumière le côté peu
reluisant de nos arrières-cuisines, à vous rendre végétarien un amateur
chevronné de côte de bœuf.
Le scandale des méthodes d’abattage dans les
abattoirs français se répand comme une traînée de poudre ; il met en
lumière le côté peu reluisant de nos arrières-cuisines, à vous rendre
végétarien un amateur chevronné de côte de bœuf.
Le Dr de Peretti, vétérinaire, et Président de Vigilance halal, l’a soulevé : l’abattoir d’Alès pratiquait l’abattage sans étourdissement, et, c’est aussi ce qu’il ressort de la liste des abattoirs émanant de l’association OABA (œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs), qui permet aux consommateurs respectueux des animaux, de choisir leur viande (traduire : issue d’un animal qui a été étourdi avant saignée, non-halal, ou non-casher).
Le débat est lancé, voyons jusqu’où il va nous mener…
C’est le moment ou jamais de changer notre réglementation en interdisant l’abattage rituel comme le font une dizaine de pays d’Europe, en plus de faire appliquer strictement la réglementation existante sur l’abattage conventionnel, pour le non-respect de laquelle la France est systématiquement épinglée par l’Europe.
Jusqu’à ce mercredi 21 octobre, nous n’en étions qu’au stade d’une pétition de 9.000 signataires, pour la création d’une commission d’enquête sur les abattoirs, lancée courageusement par la sénatrice-maire de l’Ain, Sylvie Goy-Chavent, régulièrement menacée de mort depuis qu’elle a été la rapporteure de la mission sénatoriale sur la filière viande en 2013.
Pour la petite histoire, le combat de cette dernière, fille d’éleveurs, consiste aussi à défendre ces derniers dont la qualité des produits est remise en cause, et qui finissent par payer des erreurs commises par d’autres. Elle a pourtant été caricaturée comme émanant du lobby végétarien…..
« Végétarien », le mot est lancé, ce personnage triste, fade, mou et bouffeur de tofu qu’on voit dans la publicité pour le jambon Aoste ?
Bref, depuis mercredi 21 octobre, nous en sommes un cran au-dessus, puisqu’une question au gouvernement a pu être posée par Laurence Abeille, députée du Val-de-Marne, à laquelle, Stéphane le Foll, ministre de l’Agriculture, a répondu en substance :« instruction aux abattoirs-discussion-feuille de route ».
Qu’il ne s’y trompe pas, Stéphane le Foll. Rien ne se fera s’il ne s’affranchit pas des lobbies qui lui tournent autour ! Il joue ici sa place de « pire ministre de l’agriculture de la Ve république ». S’il n’est pas courageux sur l’élevage intensif et le mode d’abattage, alors que les conditions sont réunies, et que l’opinion est mûre pour cela, ce sera un loupé historique et impardonnable.
Il s’était positionné pendant le Salon de l’agriculture, encensant le modèle allemand et ses gigantesques fermes-usines, sauf que, les Allemands sont de plus en plus horrifiés par les pratiques de leurs élevages et deviennent de plus en plus végétariens, comme un peu partout d’ailleurs (Royaume-Uni, États-Unis, Europe du nord, Israël..).
Il a, là, une occasion en or de se racheter, d’expier son inaction de 2013 suite au rapport accablant de la mission sénatoriale, qui préconisait des contrôles renforcés dans les abattoirs : c’est de mettre un terme au projet des mille veaux à La Courtine dans la Creuse !
Car, pire que la ferme des mille vaches, il a été imaginé la ferme aux mille veaux, qui contient une subtile nuance dans l’horreur, puisque ces veaux, en plus d’être traités industriellement, source intrinsèque de souffrance animale, sont destinés à être égorgés halal pour le marché de la Méditerranée.
Ce projet fait partie des 29 autres projets de fermes-usine en France. Il est encore temps de revenir à la raison, et d’éviter l’enfer d’Alès, à des milliers, puis des millions de veaux, entre les murs des abattoirs de la SVA Jean Rozé, par exemple, où seront abattus les veaux de la ferme usine creusoise !
Car, je doute qu’élever, en univers concentrationnaire, sur les terres de France de jeunes bovins destinés à être abattus halal pour les marchés de la Méditerranée, soit vraiment ce que veulent les Français !!!
Le Dr de Peretti, vétérinaire, et Président de Vigilance halal, l’a soulevé : l’abattoir d’Alès pratiquait l’abattage sans étourdissement, et, c’est aussi ce qu’il ressort de la liste des abattoirs émanant de l’association OABA (œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs), qui permet aux consommateurs respectueux des animaux, de choisir leur viande (traduire : issue d’un animal qui a été étourdi avant saignée, non-halal, ou non-casher).
Le débat est lancé, voyons jusqu’où il va nous mener…
C’est le moment ou jamais de changer notre réglementation en interdisant l’abattage rituel comme le font une dizaine de pays d’Europe, en plus de faire appliquer strictement la réglementation existante sur l’abattage conventionnel, pour le non-respect de laquelle la France est systématiquement épinglée par l’Europe.
Jusqu’à ce mercredi 21 octobre, nous n’en étions qu’au stade d’une pétition de 9.000 signataires, pour la création d’une commission d’enquête sur les abattoirs, lancée courageusement par la sénatrice-maire de l’Ain, Sylvie Goy-Chavent, régulièrement menacée de mort depuis qu’elle a été la rapporteure de la mission sénatoriale sur la filière viande en 2013.
Pour la petite histoire, le combat de cette dernière, fille d’éleveurs, consiste aussi à défendre ces derniers dont la qualité des produits est remise en cause, et qui finissent par payer des erreurs commises par d’autres. Elle a pourtant été caricaturée comme émanant du lobby végétarien…..
« Végétarien », le mot est lancé, ce personnage triste, fade, mou et bouffeur de tofu qu’on voit dans la publicité pour le jambon Aoste ?
Bref, depuis mercredi 21 octobre, nous en sommes un cran au-dessus, puisqu’une question au gouvernement a pu être posée par Laurence Abeille, députée du Val-de-Marne, à laquelle, Stéphane le Foll, ministre de l’Agriculture, a répondu en substance :« instruction aux abattoirs-discussion-feuille de route ».
Qu’il ne s’y trompe pas, Stéphane le Foll. Rien ne se fera s’il ne s’affranchit pas des lobbies qui lui tournent autour ! Il joue ici sa place de « pire ministre de l’agriculture de la Ve république ». S’il n’est pas courageux sur l’élevage intensif et le mode d’abattage, alors que les conditions sont réunies, et que l’opinion est mûre pour cela, ce sera un loupé historique et impardonnable.
Il s’était positionné pendant le Salon de l’agriculture, encensant le modèle allemand et ses gigantesques fermes-usines, sauf que, les Allemands sont de plus en plus horrifiés par les pratiques de leurs élevages et deviennent de plus en plus végétariens, comme un peu partout d’ailleurs (Royaume-Uni, États-Unis, Europe du nord, Israël..).
Il a, là, une occasion en or de se racheter, d’expier son inaction de 2013 suite au rapport accablant de la mission sénatoriale, qui préconisait des contrôles renforcés dans les abattoirs : c’est de mettre un terme au projet des mille veaux à La Courtine dans la Creuse !
Car, pire que la ferme des mille vaches, il a été imaginé la ferme aux mille veaux, qui contient une subtile nuance dans l’horreur, puisque ces veaux, en plus d’être traités industriellement, source intrinsèque de souffrance animale, sont destinés à être égorgés halal pour le marché de la Méditerranée.
Ce projet fait partie des 29 autres projets de fermes-usine en France. Il est encore temps de revenir à la raison, et d’éviter l’enfer d’Alès, à des milliers, puis des millions de veaux, entre les murs des abattoirs de la SVA Jean Rozé, par exemple, où seront abattus les veaux de la ferme usine creusoise !
Car, je doute qu’élever, en univers concentrationnaire, sur les terres de France de jeunes bovins destinés à être abattus halal pour les marchés de la Méditerranée, soit vraiment ce que veulent les Français !!!
mercredi 21 octobre 2015
mardi 20 octobre 2015
ABATTOIR D' ALES UNE SEMAINE PLUS TARD....
SOURCE ET SUITE
L’affaire de l’abattoir d’Alès a eu l’effet d’un électrochoc. Depuis la semaine dernière, un tsunami médiatique, provoqué par une vidéo de quelques minutes insoutenables, même pour les plus aguerris, a dévoilé au grand public une petite partie des problèmes de l’abattage en France, au moins pour quelques jours… Dysfonctionnements graves, non-respect de la réglementation, dérogations devenant des pratiques courantes, etc. Il ne manque plus qu’une alerte sanitaire, sous la forme d’une contamination dans l’un de ces établissements d’abattage, pour qu’une nouvelle crise éclate, mettant à mal une filière viande déjà bien ébranlée ces dernières années.
Les Français se sont réveillés en prenant conscience qu’il y a une vie avant le steak qui cuit dans leur poêle. Effectivement, l’homme est un omnivore et consomme de la viande. L’éloignement de notre société de l’environnement a pu faire oublier que nous aussi nous tuons pour manger. Mais à la différence des prédateurs sauvages, nous avons d’autres outils que de simples crocs pour mettre à mort nos victimes ; des outils pour lui éviter une souffrance inutile et injustifiable. Encore faudrait-il avoir la volonté politique, économique et administrative d’élever l’homme au-dessus des autres mammifères carnivores.
Car, depuis la mise en ligne de cette vidéo édifiante, nous assistons à une véritable mascarade, orchestrée par l’Association nationale interprofessionnelle du bétail et des viandes (Interbev) et le ministère de l’Agriculture. Interbev a bien compris qu’il était impossible de défendre l’abattoir mis en cause, la vidéo montrant trop de défaillances, bien au-delà des notions de maltraitance. Plusieurs des actes filmés peuvent avoir des conséquences sanitaires. Alors, tant pis, l’organisation a décidé de sacrifier Alès pour protéger ce qui peut l’être encore dans les autres établissements. D’ailleurs, Frédéric Freund, directeur de l’Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs (OABA), a affirmé sur les ondes que seuls 5 % des abattoirs français respectent l’ensemble de la réglementation liée à l’abattage. C’est peu, mais pas une surprise. En effet, la France est dans le viseur de l’Union européenne pour non-respect dans ce domaine. Mais cela fait des années qu’elle fait la sourde oreille.
En outre les incohérences sont nombreuses. Pourquoi, par exemple, persister dans les exportations d’animaux vivants ? Et si la France faisait de l’exportation de carcasses une spécialité ? Au-delà des gains de production pour les abattoirs, c’est l’ensemble de la chaîne de valeurs de l’élevage qui serait reconstitué. S’est-on déjà penché sur les modèles économiques envisageables dans cette hypothèse ? Apparemment pas.
Certes, les abattoirs ne vont pas mieux que le reste de la filière, alors à défaut d’aides financières immédiates, l’État ferme les yeux sur nombre de dérives qui leur permettent de réduire les temps d’abattage et ainsi d’augmenter les rendements, à moindre coût. Quitte à courir des risques médiatiques ou sanitaires.
.......
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L’affaire de l’abattoir d’Alès a eu l’effet d’un électrochoc. Depuis la semaine dernière, un tsunami médiatique, provoqué par une vidéo de quelques minutes insoutenables, même pour les plus aguerris, a dévoilé au grand public une petite partie des problèmes de l’abattage en France, au moins pour quelques jours… Dysfonctionnements graves, non-respect de la réglementation, dérogations devenant des pratiques courantes, etc. Il ne manque plus qu’une alerte sanitaire, sous la forme d’une contamination dans l’un de ces établissements d’abattage, pour qu’une nouvelle crise éclate, mettant à mal une filière viande déjà bien ébranlée ces dernières années.
Les Français se sont réveillés en prenant conscience qu’il y a une vie avant le steak qui cuit dans leur poêle. Effectivement, l’homme est un omnivore et consomme de la viande. L’éloignement de notre société de l’environnement a pu faire oublier que nous aussi nous tuons pour manger. Mais à la différence des prédateurs sauvages, nous avons d’autres outils que de simples crocs pour mettre à mort nos victimes ; des outils pour lui éviter une souffrance inutile et injustifiable. Encore faudrait-il avoir la volonté politique, économique et administrative d’élever l’homme au-dessus des autres mammifères carnivores.
Car, depuis la mise en ligne de cette vidéo édifiante, nous assistons à une véritable mascarade, orchestrée par l’Association nationale interprofessionnelle du bétail et des viandes (Interbev) et le ministère de l’Agriculture. Interbev a bien compris qu’il était impossible de défendre l’abattoir mis en cause, la vidéo montrant trop de défaillances, bien au-delà des notions de maltraitance. Plusieurs des actes filmés peuvent avoir des conséquences sanitaires. Alors, tant pis, l’organisation a décidé de sacrifier Alès pour protéger ce qui peut l’être encore dans les autres établissements. D’ailleurs, Frédéric Freund, directeur de l’Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs (OABA), a affirmé sur les ondes que seuls 5 % des abattoirs français respectent l’ensemble de la réglementation liée à l’abattage. C’est peu, mais pas une surprise. En effet, la France est dans le viseur de l’Union européenne pour non-respect dans ce domaine. Mais cela fait des années qu’elle fait la sourde oreille.
No strategy, no futur !
Il ne s’agit pas de pointer du doigt Stéphane Le Foll ; tous les ministres de l’Agriculture ont mené la même politique concernant l’abattage, celle de l’autruche. Pour des raisons purement mercantiles, le ministère de l’Agriculture et son armée de fonctionnaires prônent l’omerta au nom de la lutte contre le chômage. Car les établissements d’abattage vivent également une crise, celle de l’élevage tout simplement. L’absence de stratégie politique et les rafistolages que représentent les aides sporadiques qui permettent d’étouffer toute rébellion des éleveurs, jusqu’à la prochaine, n’aident pas à reconstruire une filière et à lui assurer un futur.En outre les incohérences sont nombreuses. Pourquoi, par exemple, persister dans les exportations d’animaux vivants ? Et si la France faisait de l’exportation de carcasses une spécialité ? Au-delà des gains de production pour les abattoirs, c’est l’ensemble de la chaîne de valeurs de l’élevage qui serait reconstitué. S’est-on déjà penché sur les modèles économiques envisageables dans cette hypothèse ? Apparemment pas.
Certes, les abattoirs ne vont pas mieux que le reste de la filière, alors à défaut d’aides financières immédiates, l’État ferme les yeux sur nombre de dérives qui leur permettent de réduire les temps d’abattage et ainsi d’augmenter les rendements, à moindre coût. Quitte à courir des risques médiatiques ou sanitaires.
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- Le cas Sylvie Goy-Chavent : difficile de la classer parmi les sénateurs proches des végétariens ! Cette fille d’agriculteur est devenue l’un des spécialistes de la filière au Sénat, depuis son rapport sur la traçabilité de la viande en 2012. Il sera intéressant de voir comment la classe politique va tenter, dès lundi, de bloquer sa demande de commission d’enquête sur les abattoirs au Sénat. À l’heure où nous publions cet article, seuls onze sénateurs sont engagés dans cette démarche de transparence. Cela est révélateur du malaise général dès qu’il s’agit de regarder de plus près les politiques agricoles françaises. Il est vrai que tous les groupes politiques du Sénat ont un jour ou l’autre tenu ce portefeuille ministériel.
MC DONALDS PLONGE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
SOURCE ET SUITE
Voila une excellente nouvelle!!!!!!!
Ils empoisonnent depuis des dizaines d' années, ils massacrent des milliards de bovins, cochons et volailles.. vivement qu' ils disparaissent!!!!!!!!!!!!!!!!!!
La chaîne de restauration rapide McDonald's traverse actuellement une "dépression profonde".
Pour tenter de stopper sa débâcle financière, la chaîne avait décidé d'offrir aux clients la possibilité de commander le petit-déjeuner pendant toute la journée, d'ajouter de nouveaux repas au menu et d'utiliser des caisses numériques.Selon l'analyste Marc Kalinowski, ces nouvelles initiatives se sont soldées par des problèmes énormes pour les propriétaires des restaurants de la franchise. Ainsi, l'élargissement du menu a provoqué une charge excessive de travail pour les employés.
lundi 19 octobre 2015
POLYARTHRITE ET INTESTINS
SOURCE ET SUITE
Suivez un régime végétalien, ou essayez de réduire votre consommation de viande, de produits laitiers, prenez des légumes, des poissons, des fruits et l’huile d’olive.
Aussi essayer de manger des aliments plus entiers, y compris les haricots, les noix, les graines, les grains entiers … et réduire le sucre et les aliments transformés.
Et bien sûr, sauf si c’est absolument nécessaire, éviter les antibiotiques, les inhibiteurs d’acide et les anti-inflammatoires.
Suivez un régime végétalien, ou essayez de réduire votre consommation de viande, de produits laitiers, prenez des légumes, des poissons, des fruits et l’huile d’olive.
Aussi essayer de manger des aliments plus entiers, y compris les haricots, les noix, les graines, les grains entiers … et réduire le sucre et les aliments transformés.
Et bien sûr, sauf si c’est absolument nécessaire, éviter les antibiotiques, les inhibiteurs d’acide et les anti-inflammatoires.
AGONIE D' UNE VACHE A L' ABATTOIR
LA CAMERA CACHEE TRANSMISE A L214 CONTIENT UNE CINQUANTAINE D' HEURES FILMEES (SI MES SOUVENIRS SONT EXACTS D' APRES LA PRESENTATION FAITE PAR BRIGITTE GOTHIERE) ET LES SCENES FILMEES SONT RANGEES PAR ESPECES ANIMALES
VOICI UNE SEQUENCE MONTRANT L' AGONIE DES BOVINS
CES ANIMAUX SI PLACIDES SI SENSIBLES ET D' HUMEUR HABITUELLEMENT JOYEUSE MERITENT ILS D' ETRE ABATTUS DANS DE TELLES SOUFFRANCES EUX QUI VIVENT SI MAL DANS LES ELEVAGES ET N' ONT POUR CERTAINS MEME PLUS ACCES A UN BRIN D' HERBE???
INFORMATION SUPPLEMENTAIRE SUR L' ABATTOIR D' ALES DE ALAIN DE PERETTI
SOURCE ET SUITE
A LIRE
MEME SI ON N' EST PAS D' ACCORD SUR LE NO 3.....
Belle performance que celle de l’ensemble des commentateurs et des médias qui ont réussi à ne pas parler ni même évoquer l’abattage halal, principale activité de l’abattoir d’Alès.
C’est bien une des tares de notre époque de miser sur l’émotionnel pour éviter toute analyse de fond. En effet, si l’émotion est légitime devant ces images insoutenables, il me semble bon de réaliser une analyse des causes.
Cette affaire révèle, en effet, un triple scandale :
1°) L’introduction du halal dans un abattoir ne peut que se généraliser à l’ensemble de ses activités pour des raisons de logistique industrielle, banalisant ainsi la souffrance animale et l’inobservance des règles d’hygiène, inhérentes à ce mode opératoire. C’est ce que dénonce sans relâche Vigilance Halal. La pratique quotidienne de l’abattage halal accordé par dérogation, mais devenu la règle, a fatalement des conséquences sur l’état d’esprit des employés des abattoirs, qui prennent de mauvaises habitudes, y compris pour d’autres espèces non concernées par le halal. Ce ne sont pas les plus blâmables.
2°) La carence évidente des services de la Direction départementale de la protection des populations : ses agents sont présents au quotidien dans les abattoirs. Pourquoi ce silence ? Complicité, peur des réactions, manque de moyens humains ? Une enquête permettra peut-être d’y voir plus clair. Je peux affirmer, en raison de l’expérience de nombreux dossiers en cours pour Vigilance Halal, qu’il y a un problème au niveau des services de l’État, et pas uniquement dans ce domaine. Malgré les nombreux textes législatifs et les affirmations lénifiantes des autorités, le paysage administratif français ressemble de plus en plus à un « village Potemkine ».
3°) La responsabilité des organisations professionnelles agricoles et de la filière viande : le mirage d’un eldorado du marché halal en plein boom confirme notre analyse d’une conjonction de l’affairisme mercantile et de l’obscurantisme religieux, au détriment des animaux, mais aussi des consommateurs et des éleveurs. L’appât du gain a même saisi le bio, qui peut être halal ! Les éleveurs doivent se ressaisir pour sauver leur honneur et exiger que leurs animaux soient abattus de façon éthique et que cesse l’opacité des pratiques des abattoirs.
Pour conclure, l’ensemble des médias et commentateurs passe systématiquement à côté de l’essentiel. Les revendications de végétariens extrémistes demandant la fermeture de TOUS les abattoirs et de végétarisme pour tous sont totalement surréalistes et ne servent qu’à brouiller le débat. Vigilance Halal opte pour une position plus pragmatique visant à interdire l’abattage rituel, à faire respecter la législation, à mettre en place la méthode Temple Grandin, ce professeur d’université du Colorado dont on ne parle jamais en France, dans cette attitude classique de cécité prétentieuse et de primauté de l’idéologie sur la réalité.
A LIRE
MEME SI ON N' EST PAS D' ACCORD SUR LE NO 3.....
Belle performance que celle de l’ensemble des commentateurs et des médias qui ont réussi à ne pas parler ni même évoquer l’abattage halal, principale activité de l’abattoir d’Alès.
C’est bien une des tares de notre époque de miser sur l’émotionnel pour éviter toute analyse de fond. En effet, si l’émotion est légitime devant ces images insoutenables, il me semble bon de réaliser une analyse des causes.
Cette affaire révèle, en effet, un triple scandale :
1°) L’introduction du halal dans un abattoir ne peut que se généraliser à l’ensemble de ses activités pour des raisons de logistique industrielle, banalisant ainsi la souffrance animale et l’inobservance des règles d’hygiène, inhérentes à ce mode opératoire. C’est ce que dénonce sans relâche Vigilance Halal. La pratique quotidienne de l’abattage halal accordé par dérogation, mais devenu la règle, a fatalement des conséquences sur l’état d’esprit des employés des abattoirs, qui prennent de mauvaises habitudes, y compris pour d’autres espèces non concernées par le halal. Ce ne sont pas les plus blâmables.
2°) La carence évidente des services de la Direction départementale de la protection des populations : ses agents sont présents au quotidien dans les abattoirs. Pourquoi ce silence ? Complicité, peur des réactions, manque de moyens humains ? Une enquête permettra peut-être d’y voir plus clair. Je peux affirmer, en raison de l’expérience de nombreux dossiers en cours pour Vigilance Halal, qu’il y a un problème au niveau des services de l’État, et pas uniquement dans ce domaine. Malgré les nombreux textes législatifs et les affirmations lénifiantes des autorités, le paysage administratif français ressemble de plus en plus à un « village Potemkine ».
3°) La responsabilité des organisations professionnelles agricoles et de la filière viande : le mirage d’un eldorado du marché halal en plein boom confirme notre analyse d’une conjonction de l’affairisme mercantile et de l’obscurantisme religieux, au détriment des animaux, mais aussi des consommateurs et des éleveurs. L’appât du gain a même saisi le bio, qui peut être halal ! Les éleveurs doivent se ressaisir pour sauver leur honneur et exiger que leurs animaux soient abattus de façon éthique et que cesse l’opacité des pratiques des abattoirs.
Pour conclure, l’ensemble des médias et commentateurs passe systématiquement à côté de l’essentiel. Les revendications de végétariens extrémistes demandant la fermeture de TOUS les abattoirs et de végétarisme pour tous sont totalement surréalistes et ne servent qu’à brouiller le débat. Vigilance Halal opte pour une position plus pragmatique visant à interdire l’abattage rituel, à faire respecter la législation, à mettre en place la méthode Temple Grandin, ce professeur d’université du Colorado dont on ne parle jamais en France, dans cette attitude classique de cécité prétentieuse et de primauté de l’idéologie sur la réalité.
dimanche 18 octobre 2015
samedi 17 octobre 2015
ACTION : PETITION POUR ENQUETE ABATTOIRS
SOURCE ET PAGE SIGNATURE
En France, plus de 50% des animaux de boucherie sont égorgés dans d'horribles souffrances sans être préalablement étourdis, comme l'exige pourtant la loi.
La vidéo de l'horreur tournée dans l'abattoir d'Ales et largement diffusée sur internet ne doit pas nous laisser indifférent : chevaux martyrisés, vaches qui gigotent sur la chaîne d'abattage, animaux découpés encore vivants...
Sécurité alimentaire, respect du bien-être animal, information du consommateur, on cache la vérité aux français, dans l'indifférence des pouvoirs publics.
Réagissons et exigeons la création d'une commission d'enquête parlementaire afin de faire toute la lumière sur ces pratiques.
Nous avons le droit de savoir ce qui se trouve dans nos assiettes !
Halte à la barbarie !!!
En France, plus de 50% des animaux de boucherie sont égorgés dans d'horribles souffrances sans être préalablement étourdis, comme l'exige pourtant la loi.
La vidéo de l'horreur tournée dans l'abattoir d'Ales et largement diffusée sur internet ne doit pas nous laisser indifférent : chevaux martyrisés, vaches qui gigotent sur la chaîne d'abattage, animaux découpés encore vivants...
Sécurité alimentaire, respect du bien-être animal, information du consommateur, on cache la vérité aux français, dans l'indifférence des pouvoirs publics.
Réagissons et exigeons la création d'une commission d'enquête parlementaire afin de faire toute la lumière sur ces pratiques.
Nous avons le droit de savoir ce qui se trouve dans nos assiettes !
Halte à la barbarie !!!
Letter to
l'ensemble des parlementaires et au Président du Sénat
Pour une commission d'enquête sur les méthodes d'abattage des animaux de boucherie
ACTION PETITION!!!!! MAGNIFIQUE SAUVETAGE ET ARRESTATIONS POUR CRUAUTE GRACE A UNE CAMERA CACHEE
SOURCE ET SUITE
CREDIT PHOTO
LE 13 OCTOBRE, UN GROUPE D' ACTIVISTES ET LES AUTORITÉS DU COMTE DE PALM BEACH, FLORIDE ONT ARRÊTÉ 6 CRIMINELS, LES PROPRIÉTAIRES ET LES EMPLOYÉS D' UN ELEVAGE/ ABATTOIR ILLÉGAL POUR CRUAUTÉ.
ILS ONT ÉGALEMENT SAUVE 1000 ANIMAUX DONT DES CHÈVRES, DES COCHONS DES BOVINS DES CHATS, CHIENS ET DES OISEAUX
MAIS N' ONT PAS PU SAUVER LES MILLIERS D' ANIMAUX DÉJÀ TORTURES DONT CERTAINS AVAIENT ÉTÉ DÉPECÉS VIVANTS!!!!
L' ENQUÊTE AVAIT ETE MENÉE PAR LES MEMBRES DE L' ARM QUI AVAIENT FILME CE QUI SE PASSAIT DANS CET ÉLEVAGE/ABATTOIR DANS DES CONDITIONS SANITAIRES DÉPLORABLES
MERCI DE SIGNER LA PETITION EN BLEU
It’s being called the “largest tactical strike on extreme animal cruelty operations in U.S. history.”
On the morning of October 13, authorities
in Florida’s Palm Beach County, with the help of officials from the
Miami-based animal rights group Animal Recovery Mission (ARM), raided three illegal slaughterhouses in the town of Loxahatchee: Rancho Garcia, Medina Farms, and Paso Fino G.A.
Six men, the slaughterhouse owners and
their employees, have been arrested on various felony charges for animal
cruelty and the unlicensed sale of meat, and their operations have been
shut down.
Authorities were also able to rescue about 1,000 animals
who had managed to survive: goats, pigs, cattle, numerous species of
birds, dogs, cats and fighting roosters.
They were not, however, able to save the
thousands of animals that have been brutally tortured, beaten, butchered
and skinned alive.
Warning: the information below contains graphic details about the raid.
An Undercover Investigation
The raid and the arrests came after a six-month undercover investigation carried out by members of ARM, who cleverly infiltrated these properties
by getting to know their owners and posing as potential customers, so
that they could film on the grounds. The video that one ARM member
recorded on August 22 at Rancho Garcia showed owner Rafael Ramirez tying
a goat’s neck to a fence, while his buddy Jorge Garcia uses another
rope tied to the goat’s rear left leg to hang the animal about 3 feet in
the air. Finally, Ramirez slashes the goat’s throat with a large knife.
Even worse, the two men seem to be highly amused by the torture they are inflicting on the goat.
“The goat began bleeding profusely and
continued struggling violently. It was obvious by the video that this
animal was suffering unnecessarily and in excruciating pain,” a sheriff’s investigator wrote in a report.
After a veterinarian viewed the footage, he described the slaughter as “inhumane, primitive and frankly disgusting.”
The Sheriff’s Office quoted a state law
on the slaughter of animals, which states “No person shall shackle or
hoist with intent to kill any animal prior to rendering the animal
insensitive to pain.” Clearly this law has been violated.
In a separate video, filmed on September
9, an ARM member witnesses a cow being shot in the head at Median Farms.
The cow does not die instantly, and as she struggles, a slaughterhouse
worker cuts her neck. Even as she is kicking her legs, the video shows
employee Jose Reyes starting to butcher her.
This, and much more footage provided to authorities, proved to be vital documentation of “inhumane, primitive and frankly disgusting” acts of animal brutality on the grounds of these three Loxahatchee slaughterhouses.
Horse Meat For Human Consumption
Another horrific discovery by ARM members was the sale of horse meat for human consumption.
An ARM member called the Sheriff’s Office in September, after he
visited Rancho Garcia and was invited to purchase about 11 pounds of
horse meat. The ARM member handed it over to the Sheriff’s Office; they
had it tested and found that it was indeed horse meat.
People had heard the horrifying screams
of animals before their inhumane slaughter. But it took the Animal
Recovery Mission’s actually getting inside these “farms” and filming the
barbaric and disgusting slaughter of animals to force authorities to
raid the properties.
And this has been going on for a long time. In the case of
Medina Farms, although it is legally incorporated, the owner and his
employee have probably been illegally killing and torturing animals for
decades.
If you can take any more, here’s what ARM wrote in their report: ”The
animals on this property lived in deplorable structures and improper
shelter. ARM investigators had never seen these animals fed or having
food nor provided with clean water. The only food source they have
available are intestines, blood and carcasses of newly slaughtered
animals. Pigs have even been documented by ARM to be eating off the
carcasses of hanging butchered animals, swarmed with flies and are
awaiting customer sales.”
The facility was also host to a puppy mill, where young dogs were treated no better than any of the other animals.
The Tip Of The Iceberg
As appalling as these findings are, there are probably many more illegal slaughterhouses using similarly horrific methods.
“We have a hundred farms that we’re just waiting for the manpower to stop right now,” Richard Couto, the founder of ARM, told The Dodo last
March, at the time of another huge animal rescue operation. “There are
probably over 500 of these farms in the state of Florida. There are
certainly small farms like this found throughout the country, but in
Florida, it is a full-blown industry. It is millions and millions of
dollars. This is organized crime.”
Take Action
If you feel strongly about animal cruelty on so-called “farms,” please sign our petition
to President Obama demanding an end to fur farms, places where more
than 50 million animals are violently killed for use in fashion every
year in the U.S.
SI FACILE DE TOUJOURS AVOIR DE NOUVEAUX LEGUMES SIMPLEMENT SUR SON BALCON
Ne jetez plus vos restes de
légumes et de fines herbes, ils ont le droit à une seconde vie ! Faire
pousser des légumes à partir des restes, c’est possible. Voici la liste
des légumes à cultiver chez soi à l’infini.
1. La laitue (photo ci-dessus)
Conservez le coeur de votre laitue
et placez-le dans un bol avec un peu d’eau. Déposez votre bol au bord
d’une fenêtre, de préférence durant les jours ensoleillés et changez
régulièrement l’eau pour favoriser la repousse. Au bout de quelques
jours vous verrez apparaître des minuscules feuilles qui continueront à
pousser. Après quelques semaines d’attente vous pourrez enfin les
déguster !
GRAND JOURNAL INTERROGE L214
EST CE QUE LE PLAISIR DE MANGER DE LA VIANDE EXCUSE TOUTE CETTE SOUFFRANCE
PFFF TROP COURT ELLE N' A PAS REPONDU OU ALORS LA REPONSE A ETE COUPEE
ET VOUS VOUS EN PENSEZ QUOI?????
INDIFFERENCE ENVERS LES ANIMAUX QUI EST RESPONSABLE???
SOURCE ET SUITE
TRÈS ORIENTE CONTRE LES DÉFENSEURS DES ANIMAUX A MON AVIS.... A LIRE EN ENTIER POUR COMPRENDRE
ANIMAUX - A la suite de la projection d'une vidéo sur son site Internet, abondamment relayée dans les médias et sur les réseaux sociaux, l'association abolitionniste L214 a obtenu la fermeture conservatoire de l'abattoir d'Alès et l'ouverture d'une enquête.
Témoigner de la violence faite aux animaux dans les abattoirs est indispensable et mon intention n'est pas du tout de minimiser cette violence, et cela d'autant moins que mes recherches ont, depuis une quinzaine d'années, mis au jour, décrypté et dénoncé cette violence en en montrant les raisons historiques, économiques et politiques dans de nombreux ouvrages et publications. Ainsi nous formulons, et depuis longtemps, avec des chercheurs, des éleveurs et des citoyens rattachés à diverses associations de protection des animaux ou de l'environnement, une critique radicale contre l'industrialisation de l'élevage et ses conséquences désastreuses pour les animaux.
Cette vidéo néanmoins pose problème sur de nombreux points. Tout d'abord sur la vidéo elle-même. Il s'agit d'un montage de séquences sélectionnées dans un corpus d'une cinquantaine d'heures de rushes tournées en caméra cachée. La vidéo ne rend donc pas compte du travail réel des personnes mais des pires instants volés à leur quotidien. La vidéo ne leur donne pas la parole, ils sont filmés à leur insu. La violence qu'ils exercent contre les animaux leur est attribuée et de fait à eux seuls. La musique qui accompagne les images, le commentaire d'une actrice et sa conclusion moralisante indique l'unique remède à l'horreur de ce que l'on vient de voir: il faut cesser de manger de la viande. Les images servent uniquement ce message central qui en contient implicitement un autre: si vous continuez à manger de la viande, vous êtes coupables vous aussi.
Prenant acte que ces quelques minutes de concentrés de violence et de souffrance des animaux rendent compte d'un rapport aux animaux complètement inacceptable, et au-delà de la manipulation émotionnelle qu'en fait L 214, d'autres questions pourraient être posées, beaucoup moins moralisatrices mais beaucoup plus politiques. Qui prescrit aux travailleurs un travail d'une telle violence? Quelle organisation du travail contraint les travailleurs à de telles pratiques envers les animaux? Quelle organisation du travail parvient à imposer puis à donner l'habitude à des travailleurs d'avoir envers les animaux une telle indifférence? Quelle organisation du travail impose la chaîne d'abattage, le gazage des cochons ou "l'anesthésie" électrique...
Ainsi que nous l'avons montré dans le Livre blanc pour une mort digne des animaux, l'abattoir, tel qu'il a été engendré par le processus d'industrialisation de l'élevage, petit ou grand, taylorisé, opaque, contraint à une rentabilité économique est une violence contre les animaux dans sa structure même. Tuer un animal est un acte grave, et c'est bien ainsi que les éleveurs le ressentent. C'est pourquoi ils revendiquent de pouvoir abattre ou faire abattre leurs animaux en conscience et en responsabilité. Comme ils les ont élevés.
CETTE PHRASE EST TRES BISOUNOURS... COMME SI LES ELEVEURS ETAIENT CES GENS LA..
PFFFFFF
IL REVE OU QUOI LA?????
Toutefois, la solution n'est pas de cesser de manger de la viande mais d'aider les éleveurs, ceux qui font véritablement de l'élevage, à élever leurs animaux à la hauteur de nos liens et de leur permettre de donner la mort à leurs animaux comme ils leur ont donné la vie, dans la dignité et le respect.
TRÈS ORIENTE CONTRE LES DÉFENSEURS DES ANIMAUX A MON AVIS.... A LIRE EN ENTIER POUR COMPRENDRE
ANIMAUX - A la suite de la projection d'une vidéo sur son site Internet, abondamment relayée dans les médias et sur les réseaux sociaux, l'association abolitionniste L214 a obtenu la fermeture conservatoire de l'abattoir d'Alès et l'ouverture d'une enquête.
Témoigner de la violence faite aux animaux dans les abattoirs est indispensable et mon intention n'est pas du tout de minimiser cette violence, et cela d'autant moins que mes recherches ont, depuis une quinzaine d'années, mis au jour, décrypté et dénoncé cette violence en en montrant les raisons historiques, économiques et politiques dans de nombreux ouvrages et publications. Ainsi nous formulons, et depuis longtemps, avec des chercheurs, des éleveurs et des citoyens rattachés à diverses associations de protection des animaux ou de l'environnement, une critique radicale contre l'industrialisation de l'élevage et ses conséquences désastreuses pour les animaux.
Cette vidéo néanmoins pose problème sur de nombreux points. Tout d'abord sur la vidéo elle-même. Il s'agit d'un montage de séquences sélectionnées dans un corpus d'une cinquantaine d'heures de rushes tournées en caméra cachée. La vidéo ne rend donc pas compte du travail réel des personnes mais des pires instants volés à leur quotidien. La vidéo ne leur donne pas la parole, ils sont filmés à leur insu. La violence qu'ils exercent contre les animaux leur est attribuée et de fait à eux seuls. La musique qui accompagne les images, le commentaire d'une actrice et sa conclusion moralisante indique l'unique remède à l'horreur de ce que l'on vient de voir: il faut cesser de manger de la viande. Les images servent uniquement ce message central qui en contient implicitement un autre: si vous continuez à manger de la viande, vous êtes coupables vous aussi.
Prenant acte que ces quelques minutes de concentrés de violence et de souffrance des animaux rendent compte d'un rapport aux animaux complètement inacceptable, et au-delà de la manipulation émotionnelle qu'en fait L 214, d'autres questions pourraient être posées, beaucoup moins moralisatrices mais beaucoup plus politiques. Qui prescrit aux travailleurs un travail d'une telle violence? Quelle organisation du travail contraint les travailleurs à de telles pratiques envers les animaux? Quelle organisation du travail parvient à imposer puis à donner l'habitude à des travailleurs d'avoir envers les animaux une telle indifférence? Quelle organisation du travail impose la chaîne d'abattage, le gazage des cochons ou "l'anesthésie" électrique...
Ainsi que nous l'avons montré dans le Livre blanc pour une mort digne des animaux, l'abattoir, tel qu'il a été engendré par le processus d'industrialisation de l'élevage, petit ou grand, taylorisé, opaque, contraint à une rentabilité économique est une violence contre les animaux dans sa structure même. Tuer un animal est un acte grave, et c'est bien ainsi que les éleveurs le ressentent. C'est pourquoi ils revendiquent de pouvoir abattre ou faire abattre leurs animaux en conscience et en responsabilité. Comme ils les ont élevés.
CETTE PHRASE EST TRES BISOUNOURS... COMME SI LES ELEVEURS ETAIENT CES GENS LA..
PFFFFFF
IL REVE OU QUOI LA?????
Toutefois, la solution n'est pas de cesser de manger de la viande mais d'aider les éleveurs, ceux qui font véritablement de l'élevage, à élever leurs animaux à la hauteur de nos liens et de leur permettre de donner la mort à leurs animaux comme ils leur ont donné la vie, dans la dignité et le respect.
vendredi 16 octobre 2015
LION DISSEQUE DANS UN ZOO AU DANEMARK
PAS TRES EVOLUES LES DANOIS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
LES DANOIS AIMENT LE SANG, ILS RECOMMENCENT!!!! ET CETTE FOIS C' EST UN LION....
Ce besoin de prouver que l'homme contrôle la nature, donc qu'il peut la
détruire et la manipuler. Qui empêchait de donner ce lion ou de le
vendre à un autre zoo? Pourquoi le meurtre était la seule solution
envisagée? Comme avant celui-ci, le meurtre d'une jeune girafe, aussi au
Danemark, il y a un an. Et le meurtre de quatre lions
(deux jeunes et deux âgés) toujours au Danemark, car ils avaient de
nouveaux projets et faisaient venir un nouveau lion qui les aurait de
toute manière tué. Dites moi, il n'y a qu'au Danemark où les animaux
soient trop nombreux dans les zoo?
Même si ces dissections publiques, nous dit-on dans la presse française, sont choses normales au Danemark, elles provoquent quand même - et heureusement - des réactions.
Et le processus du tuer les animaux avec autant de légèreté, puisque ce
ne sont que des animaux, donc en fait de la viande qui bouge, provoque
des réactions sociales tout aussi violentes. Ainsi, après le meurtre
de la girafe qui ensuite avait été donnée à manger justement aux lions,
la direction du zoo avait reçu des menaces de mort.
Finalement, ce n'est pas si normal que cela. Mais le processus de normalisation avance et le degré de civilisation recule d'autant.
jeudi 15 octobre 2015
GILLES LARTIGOT APPRENDRE A MANGER AUTREMENT
EVOCATION DE LA PAROISSE SAINTE RITA
NOTION D' EGREGORE CREER UNE FORCE POUR PROTEGER LES ANIMAUX.
COLERE CONTRE LA SOCIETE CONTRE LA CONSOMATION DE VIANDE ... 2 EME GUERRE MONDIALE L INDUSTRIE TRANSFORME LES ALIMENTS... FAUITE DE TEMPS ON NE CUISINE PLUS PROBLEME SOCIETAL A LA BASE DU CHANGEMENT ALIMENTAIRE DONC DE NOUVELLES MALADIES.....ON COMPRESE LES COUTS DONC LA QUALITE DIMINUE ET LES MALADIES S' INSTALLENT
ETC ETC.. A ECOUTER
Au lendemain de son 77ème "show-conférence", Gilles Lartigot vient nous expliquer son combat pour réapprendre à s'alimenter sainement. OGM, antibiotiques, souffrance animale et lobbying de l'industrie agro-alimentaire, il dresse le constat sans concession d'un empoisonnement programmé.
LE MASSACRE DES MOUTONS
AVEC PETITION A SIGNER ICI QUE CES EXPORTS VERS DES MORTS CRUELLES SONT INSOUTENABLES
Live exporters have once again been caught out breaking the law, resulting in the unimaginable suffering of thousands of animals. Tell the Australian Government it's time to PROSECUTE the offenders! DEMAND ACTION: http://www.AnimalsAus.org/ttZ
ACHETEZ LE THON EN CONSERVE CE QU' IL FAUT SAVOIR
Votre thon en boîte est-il issu de la pêche durable ? Greenpeace a classé les marques
15 Octobre 2015, 17:30pm
| Publié par Le Nouveau Paradigme
| Publié par Le Nouveau Paradigme
La plupart des thons utilisés dans les
conserves en France restent issus de filières non durables : méthodes de
pêche destructrices et surexploitation des espèces. C'est ce qu'affirme
une enquête de Greenpeace rendue publique ce mardi 29 septembre.
Pour la deuxième année consécutive, l'ONG a établi un classement des dix marques de thon les plus vendues, sur la base de plusieurs critères : la technique de pêche, l'espèce, la qualité de la politique d'approvisionnement et les progrès réalisés depuis 2014.
Pour la deuxième année consécutive, l'ONG a établi un classement des dix marques de thon les plus vendues, sur la base de plusieurs critères : la technique de pêche, l'espèce, la qualité de la politique d'approvisionnement et les progrès réalisés depuis 2014.
"Les bons élèves 2014, Phare d'Eckmühl et Système U, confirment leur place de leader de la durabilité 2015", indique Greenpeace.
L'enseigne Système U, en tête du
classement, a inscrit dans sa politique d’approvisionnement qu'elle ne
vendrait plus de thon tropical pêché en utilisant un dispositif de
concentration de poissons (DCP)
d’ici fin 2016 pour les produits de sa marque distributeur, se réjouit
l'ONG. Le DCP est une forme de pêche industrielle qui optimise les
prises de thons adultes et surtout, génère beaucoup de prises
accessoires (petits thons, requins, raies, tortues, etc) inutiles.
Connétable et Carrefour s'engagent
Connétable "progresse et s’engage à ne plus vendre de thon tropical pêché sur DCP d’ici fin 2016", se félicite Greenpeace. Quant à Carrefour, l'enseigne "a engagé des démarches concrètes pour être capable de garantir prochainement du thon pêché sans DCP aux consommateurs", relève l'ONG.
En revanche, le numéro un du marché, Petit Navire, "a beaucoup communiqué cette année sur la durabilité" mais "a simplement entrepris de repeindre sa boîte bleue en vert", selon Greenpeace. Saupiquet, Auchan et Intermarché "n’ont pas opéré de changements significatifs dans leur chaîne d’approvisionnement depuis l’année dernière", affirme l'ONG.
Connétable et Carrefour s'engagent
Connétable "progresse et s’engage à ne plus vendre de thon tropical pêché sur DCP d’ici fin 2016", se félicite Greenpeace. Quant à Carrefour, l'enseigne "a engagé des démarches concrètes pour être capable de garantir prochainement du thon pêché sans DCP aux consommateurs", relève l'ONG.
En revanche, le numéro un du marché, Petit Navire, "a beaucoup communiqué cette année sur la durabilité" mais "a simplement entrepris de repeindre sa boîte bleue en vert", selon Greenpeace. Saupiquet, Auchan et Intermarché "n’ont pas opéré de changements significatifs dans leur chaîne d’approvisionnement depuis l’année dernière", affirme l'ONG.
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