le |
Bonjour,
LInstitut national de veille sanitaire (InVS) a publié il y a quelques jours les résultats de l'étude Burden MR chargée de mesurer les conséquences de l’antibiorésistance.
Nous
savons désormais que près de 160 000 patients contractent, chaque année
en France, une infection par un germe dit multirésistant, et que près de
13 000 d'entre eux en meurent directement.
Réaction immédiate de Marisol Touraine, ministre de la Santé : "Il faut prendre des mesures pour éviter d'entrer dans "l'ère post-antibiotiques". Mais nous y sommes déjà, Madame Touraine !
Vous pourriez lire (en suivant ce lien)
l'intégralité de sa déclaration, mais je ne vous le recommande pas... À
moins que n'aimiez admirer le grand art de ne rien dire de concret, si
ce n’est des mesures de chipotage au demeurant un peu
infantiles.
Comme
d’habitude, ne jamais aller à la source du mal est la règle d’or,
surtout lorsque cela mettrait en danger d’énormes intérêts commerciaux.
Or la principale source du mal que nous dénonçons depuis des années, c’est l’industrie de la viande qui engouffre au total plus de 1 000 tonnes par an d’antibiotiques.
Selon
l’Institut de veille sanitaire, 50 % des antibiotiques produits dans le
monde sont destinés aux animaux pour les soigner, ou bien sous forme
d’additifs alimentaires pour accélérer leur croissance, augmentant ainsi
considérablement le rendement en viande.
Cette
pratique concerne la quasi-totalité des porcs, des veaux, des lapins,
les deux tiers des poulets et un tiers des bovins destinés à la filière
de la viande.
Il est
évident que les consommateurs de viande non bio se prennent la ration
quotidienne d’antibiotiques qui, non seulement les font entrer en
antibiorésistance, mais participe à leur faire prendre aussi du poids…
Comme les animaux !
Enfin, tout le monde sait qu’il n’existe aucun moyen pour éradiquer, entre autres, les antibiotiques de l’eau du robinet,
et ceux qui la consomment sans la traiter à domicile par un appareil à
osmose inverse s’en rajoutent encore une ration quotidienne
supplémentaire.
Marisol Touraine parle de promouvoir des études pour remplacer les antibiotiques à large spectre (à condition, bien sûr, que les brevets rapportent autant d’argent qu’auparavant…). Désolé, Madame la Ministre, les études sont faites et s'accumulent depuis un siècle. On n'en a pas parlé parce que l’industrie pharmaceutique a mené une guerre sans relâche contre leurs promoteurs. Et on n'a rien dit sur les moyens naturels efficaces qui sont, eux, sans inconvénients collatéraux. Ils en sont réduits à exister discrètement à condition de ne jamais évoquer officiellement à quoi ils servent ! La liste est longue. Je peux ici en rappeler au hasard quelques éléments les plus connus, qui ont largement fait leurs preuves, même et surtout quand les antibiotiques ne marchent pas :
Peut-être que Madame Marisol connaît plus ou moins tout cela… Mais bien sûr, elle ne peut pas le dire ! La dictature veille !
Alors, faut-il s'inquiéter de l'antibiorésistance ? Oui, sûrement. Mais pas quand on est suffisament averti et éveillé pour savoir qu'il faut surtout entretenir ses défenses immunitaires, on se dit qu'il pourrait s'agir d'une aubaine pour ceux qui voudraient bien que le système pharmaco-médical se retrouve obligé de sortir de ses tiroirs les vraies solutions qu'il a savamment étouffées pour ne pas nuire à son propre business. Je sens que je vais encore me faire des amis ! Michel Dogna
Ça, c'est du bon Michel Dogna, non ?
Je reprends la plume pour vous dire que Michel a mis en ligne sur son site un ebook gratuit sur les différents moyens naturels de lutter contre le cancer.
Il est naturothérapeute depuis trente ans et surtout, un chercheur
infatigable depuis toujours. Il y a dans cette ebook tout ce que Michel a
pu observer ou étudier lui-même. Je vous le recommande. Pour le
télécharger, cliquez sur ce lien.
Enfin, je
vous rappelle que le titre de cette newsletter vous renvoie à un article
plus bas. Il s'agit cette fois de parler du mythe du gras et de son
incidence sur la santé. L'homme serait-il le seul animal à ne pas
supporter le gras ? C'est la question que se pose Philippe Lambert dans
son article sur la naissance de l'allégé, du "light". Encore une belle supercherie ! (Voyez plus bas)
Alexandre Imbert
PS : Le n°28 d'Alternative Santé a encore été mis à jour cette semaine avec deux nouveaux articles
Les abonnés pourront y trouver deux articles. Le premier est un peu technique mais finalement très utile, car il explique un moteur du vieillissement, une réaction presque chimique, qui ne se fait plus au fil du temps : la méthylation. Le second est, lui, un vrai
handicap. Soudainement, on perd le goût ou l'odorat, ou les deux... Et là, personne ne sait ce qui se passe... Nous, on a une idée de leur origine, en tout cas...
Bonne lecture
|
jeudi 15 octobre 2015
UNE FOIS DE PLUS DES ARGUMENTS CONTRE LA VIANDE
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire