samedi 27 juillet 2019

CLIMAT ... ANALYSE D' ITALIE


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La responsabilité anthropique du changement climatique observée au siècle dernier est donc exagérée de façon injustifiée et les prévisions catastrophiques sont irréalistes.
Le climat est le système le plus complexe sur notre planète : nous devons donc l’aborder avec des méthodes appropriées et adaptées à son niveau de complexité. Les modèles de simulation climatique ne reproduisent pas la variabilité naturelle observée du climat et, en particulier, ne reconstituent pas les périodes chaudes des 10 000 dernières années. Celles-ci se sont répétées environ tous les mille ans : on y trouve la période médiévale chaude, bien connue, la période romaine chaude, et généralement de grandes périodes chaudes pendant l’Optimum holocène [Il y a 8000 ans].
Ces périodes passées étaient plus chaudes que la période actuelle, bien que la concentration de CO2 y ait alors été inférieure à la concentration actuelle ; elles sont liées aux cycles millénaires de l’activité solaire. Ces effets ne sont pas reproduits par les modèles.
Rappelons que le réchauffement observé de 1900 à nos jours a, en fait, commencé en 1700, c’est-à-dire au minimum du Petit Âge glaciaire, qui est la période la plus froide des 10 000 dernières années, et qu’il correspond à un minimum millénaire de l’activité solaire que les astrophysiciens appellent minimum solaire de Maunder. Depuis, l’activité solaire, suivant son cycle millénaire, a augmenté et réchauffé la surface de la Terre.

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