« Tout est possible : l’oubli malveillant d’une commune qui
n’apprécierait pas un candidat, comme l’oubli de bonne foi des bulletins
dans une palette laissée de côté. Mais la malveillance n’est pas
évidente à établir. C’est à l’éventuelle enquête administrative de tirer
les choses au clair pour voir s’il y a eu entrave aux opérations de
vote », poursuit-elle.
Pour l’avocate, une centaine de signalements ne suffit pas à
parler de « fraude massive » : « Dans les faits, si ces signalements
se révèlent pertinents, ils peuvent aboutir à une annulation du scrutin,
mais uniquement dans le bureau de vote concerné. Vu le score national
du Parti animaliste, il est clair que ces incidents n’ont pas fait
basculer l’élection et qu’ils n’altèrent pas sa sincérité. »
« L’ensemble des problèmes de ce type a, à chaque fois, été
porté aux procès-verbaux des bureaux de vote et donc à l’appréciation
des commissions de recensements des votes » conclut de son côté le
ministère de l’Intérieur.
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