OPÉENNE ACCÉLÈRE ENCORE LA DISPARITION DES AGRICULTEURS FRANÇAIS.
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En leur faisant croire qu'une "AUTRE EUROPE" (« démocratique », «
sociale », « écologique », « auto-suffisante », « respectueuse de
l'agriculture familiale », « soucieuse du bien-être animal », etc.,
etc.) serait possible, les syndicats agricoles (FNSEA en tête) et les
partis politiques anti-Frexit (LREM, Rassemblement national, EELV,
Urgence écologie, FI, LR et même le Parti animaliste) sont complices du
désastre annoncé.
SOURCE ET SUITE
UPR de facebook..
ici
PARTI ANIMALISTE COMPLICE ???? A VERIFIER...
EN TOUS CAS Pas besoin d' être une lumière pour deviner que ce pacte est une horreur.. DE plus qd on suit un peu ce qu' il se passe dans le trafic de la viande USA Mexique et autres pays Amerique
on connait l' horreur des massacres des Mustangs américains
Donc fortes changes que dans ces viandes importées se trouve de la viande de cheval qui ne dira pas son nom !!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Un mois après les
élections européennes, les électeurs français en général - et les
électeurs agriculteurs en particulier – découvrent avec stupéfaction que
la Commission européenne vient de signer un Accord avec les pays du
Mercosur (Brésil, Argentine, Uruguay et Paraguay), dont l’impact
s’annonce catastrophique sur l’agriculture française, notamment
l’élevage de bovins et de volailles, sur l’environnement planétaire et
sur le bien-être animal.
Les négociations ayant conduit à cet
accord ont commencé sous la présidence de Jacques Chirac en France et
ont duré une vingtaine d’années. Avec constance et opiniâtreté, la
Commission européenne est donc parvenue à ses fins pendant que quatre
présidents de la République se succédaient à l’Élysée.
Depuis
2014, ces négociations ont été menées, côté « européen », par Phil
Hogan, Commissaire européen à l’agriculture de la Commission sortante.
De nationalité irlandaise, connu pour sa totale inféodation à
l’agro-business, M. Hogan n’a eu, au fond, strictement rien à faire du
sort des agriculteurs français. Il a tenu à appliquer à la lettre, et
sans état d’âme, l’article 39 du Traité sur le fonctionnement de l’Union
européenne (TFUE) qui pose que « la politique agricole commune a pour
but d'accroître la productivité de l'agriculture en développant le
progrès technique, en assurant le développement rationnel de la
production agricole ainsi qu'un emploi optimum des facteurs de
production, notamment de la main-d'œuvre. »
En bref, que l’agriculture doit n’obéir qu’a loi du fric et de la rentabilité à outrance, point.
Concrètement, cet accord prévoit d’éliminer à terme 91% des droits de
douane imposés par le Mercosur sur les produits européens (ce que la
Commission évalue à 4 milliards d'euros) et l'UE supprimera de son côté
92% des taxes actuellement appliquées sur les biens sud-américains qui
arrivent sur son sol.
Dans l'industrie, les droits de douane du
Mercosur seront progressivement éliminés sur les voitures (35%), les
pièces détachées (14 à 18%), les équipements industriels (14 à 20%), la
chimie (jusqu'à 18%), l'habillement (jusqu'à 35%) ou les produits
pharmaceutiques (jusqu'à 14%). Mise à part l’habillement, tous ces
secteurs sont ceux où l’Allemagne excelle. Berlin a donc de quoi se
frotter les mains devant cet accord dont le principal bénéficiaire sera
l’industrie allemande….
Mais il y a bien sûr une contrepartie.
Elle concerne bien entendu l’agriculture puisque c'est le point fort des
économies sud-américaines.
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