dimanche 30 juin 2019

MERCOSUR.. POINT DE VUE DE L' UPR..

OPÉENNE ACCÉLÈRE ENCORE LA DISPARITION DES AGRICULTEURS FRANÇAIS.
🔴 En leur faisant croire qu'une "AUTRE EUROPE" (« démocratique », « sociale », « écologique », « auto-suffisante », « respectueuse de l'agriculture familiale », « soucieuse du bien-être animal », etc., etc.) serait possible, les syndicats agricoles (FNSEA en tête) et les partis politiques anti-Frexit (LREM, Rassemblement national, EELV, Urgence écologie, FI, LR et même le Parti animaliste) sont complices du désastre annoncé.


 SOURCE ET SUITE
UPR de facebook..
 ici 

PARTI ANIMALISTE COMPLICE ???? A VERIFIER... 
 EN TOUS CAS Pas besoin d' être une lumière pour deviner que ce pacte  est une horreur.. DE plus qd on suit un peu ce qu' il se passe dans le trafic de la viande  USA Mexique et autres pays Amerique
on connait l' horreur des massacres des Mustangs américains
Donc fortes changes que dans ces viandes importées se trouve de la viande de cheval qui ne dira pas son nom !!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Un mois après les élections européennes, les électeurs français en général - et les électeurs agriculteurs en particulier – découvrent avec stupéfaction que la Commission européenne vient de signer un Accord avec les pays du Mercosur (Brésil, Argentine, Uruguay et Paraguay), dont l’impact s’annonce catastrophique sur l’agriculture française, notamment l’élevage de bovins et de volailles, sur l’environnement planétaire et sur le bien-être animal.
Les négociations ayant conduit à cet accord ont commencé sous la présidence de Jacques Chirac en France et ont duré une vingtaine d’années. Avec constance et opiniâtreté, la Commission européenne est donc parvenue à ses fins pendant que quatre présidents de la République se succédaient à l’Élysée.
Depuis 2014, ces négociations ont été menées, côté « européen », par Phil Hogan, Commissaire européen à l’agriculture de la Commission sortante.
De nationalité irlandaise, connu pour sa totale inféodation à l’agro-business, M. Hogan n’a eu, au fond, strictement rien à faire du sort des agriculteurs français. Il a tenu à appliquer à la lettre, et sans état d’âme, l’article 39 du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE) qui pose que « la politique agricole commune a pour but d'accroître la productivité de l'agriculture en développant le progrès technique, en assurant le développement rationnel de la production agricole ainsi qu'un emploi optimum des facteurs de production, notamment de la main-d'œuvre. »
En bref, que l’agriculture doit n’obéir qu’a loi du fric et de la rentabilité à outrance, point.
Concrètement, cet accord prévoit d’éliminer à terme 91% des droits de douane imposés par le Mercosur sur les produits européens (ce que la Commission évalue à 4 milliards d'euros) et l'UE supprimera de son côté 92% des taxes actuellement appliquées sur les biens sud-américains qui arrivent sur son sol.
Dans l'industrie, les droits de douane du Mercosur seront progressivement éliminés sur les voitures (35%), les pièces détachées (14 à 18%), les équipements industriels (14 à 20%), la chimie (jusqu'à 18%), l'habillement (jusqu'à 35%) ou les produits pharmaceutiques (jusqu'à 14%). Mise à part l’habillement, tous ces secteurs sont ceux où l’Allemagne excelle. Berlin a donc de quoi se frotter les mains devant cet accord dont le principal bénéficiaire sera l’industrie allemande….
Mais il y a bien sûr une contrepartie. Elle concerne bien entendu l’agriculture puisque c'est le point fort des économies sud-américaines.

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