SOURCE ET SUITE
Résultats : les aliments ultra-transformés, dans cette cohorte
française, contribueraient à un peu moins de 20% de la quantité
d’aliments consommés. Une augmentation de la part des aliments
ultra-transformés dans le régime alimentaire était associée à une augmentation de 12% du risque de cancer, et de 11% du risque de cancer du sein.
Les aliments ultra-transformés ont déjà été associés à un risque plus
élevé d’obésité et de maladies chroniques mais c’est la première fois
qu’ils sont liés au risque de cancer. S’agissant d’une étude
d’observation, la relation de cause à effet n’est pas établie. Mais si
elle se confirme, elle pourrait être due au fait que ces aliments sont
souvent riches en calories, pauvres en composés protecteurs comme les
fibres, et très glycémiants. Ils renferment aussi des additifs et autres
ACE,
un terme créé par LaNutrition.fr pour englober des ingrédients qui ne
servent qu'à des fonctions cosmétiques, technologiques et économiques,
et dont les effets sur la santé sont douteux, ainsi que des composés
néoformés comme l’acrylamide et les AGE dans les chips, biscuits, les
produits de panification.
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