SOURCE ET SUITE
OHHHH LES PAUVRES MEURTRIERS A LA CHAINE...!!!!
JE NE VAIS PAS LES PLAINDRE, CAR DANS LA VIE ON PEUT TOUJOURS TROUVER UNE SOLUTION...
SAUF LES PLUS NULS, OU LES PLUS HYPOCRITES PEUT ETRE??
MAIS BON C' EST BIEN DE LIRE QU' ILS ONT DU MAL A RECRUTER...
DONC... ARRETEZ TOUS DE TUER AU LIEU DE GEMIR!!!
ET MERCI A CEUX QUI REFUSENT !!
CEUX QUI RESTENT... EN FAIT CE QU' ILS VEULENT C' EST COMME TOUJOURS DES SOUS...
PAS UN MOT SUR LA SOUFFRANCE ANIMALE OU L' ABSURDITE DES ABATTOIRS
PFFUUII UN ARTICLE POUR RIEN!!
PIPI DE CHAT!!
La journaliste Olivia Mokiejewski a publié en mai dernier Le Peuple des abattoirs, une enquête de trois ans sur les conditions de travail dans les abattoirs. Elle met un coup de projecteur sidérant sur ces travailleurs de l’ombre, transformés en machines à produire de la viande.
Chaque
jour, 50 000 ouvriers tuent et découpent 3 millions d’animaux dans l’un
des 917 abattoirs de France et les transforment en steaks ou en
côtelettes. Loin des vidéos choc de l’association L214 sur la
maltraitance animale, Olivia Mokiejewski a donné la parole aux salariés.
Pour mieux appréhender leur métier, elle a aussi travaillé avec eux à
la chaîne durant dix jours.OHHHH LES PAUVRES MEURTRIERS A LA CHAINE...!!!!
JE NE VAIS PAS LES PLAINDRE, CAR DANS LA VIE ON PEUT TOUJOURS TROUVER UNE SOLUTION...
SAUF LES PLUS NULS, OU LES PLUS HYPOCRITES PEUT ETRE??
MAIS BON C' EST BIEN DE LIRE QU' ILS ONT DU MAL A RECRUTER...
DONC... ARRETEZ TOUS DE TUER AU LIEU DE GEMIR!!!
ET MERCI A CEUX QUI REFUSENT !!
CEUX QUI RESTENT... EN FAIT CE QU' ILS VEULENT C' EST COMME TOUJOURS DES SOUS...
PAS UN MOT SUR LA SOUFFRANCE ANIMALE OU L' ABSURDITE DES ABATTOIRS
PFFUUII UN ARTICLE POUR RIEN!!
PIPI DE CHAT!!
La journaliste Olivia Mokiejewski a publié en mai dernier Le Peuple des abattoirs, une enquête de trois ans sur les conditions de travail dans les abattoirs. Elle met un coup de projecteur sidérant sur ces travailleurs de l’ombre, transformés en machines à produire de la viande.
Premier constat,
ouvrier d’abattoir, c’est un métier qu’on ne choisit pas, explique-t-elle. On y entre pour un petit boulot et on y reste parfois des années. La filière a du mal à recruter et à fidéliser, le sous-effectif est fréquent.
Le plus violent, c’est en début de chaîne, à la saignée, des salariés refusent d’y aller, raconte Pascal Le Cadre, délégué FO à l’abattoir Bernard Jean Floc’h de Locminé (Morbihan) et témoin dans le livre.
Pas d’entretien d’embauche ni de formation préalable, on apprend sur le tas. La principale compétence professionnelle demandée,
supporter la brutalité des conditions de travail, poursuit la journaliste.
Autre spécificité du secteur, des cadences folles.
Chaque jour, on fait un marathon à la vitesse d’un sprinter, poursuit le délégué FO. Son métier, désosser les têtes de porc et récupérer groins, joues, oreilles. Il voit défiler 800 cochons à l’heure, avec moins de 3 secondes entre chaque bête. Selon l’INRS, institut de santé et de sécurité au travail, il faudrait au moins 10 secondes de pause pour éviter les troubles musculo-squelettiques (TMS) provoqués par les gestes répétitifs. Les douleurs se concentrent dans les épaules, les poignets, les cervicales, les lombaires…
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