SOURCE ET SUITE 1)
AUTRE SOURCE,
PEUT ÊTRE N' AVEZ-VOUS PAS VU PASSER CETTE INFORMATION QUI POURTANT EST LARGEMENT PARTAGÉE DANS LES NEWS DES MÉDIAS OFFICIELS
UNE INFORMATION PEUT ÊTRE EXAGÉRÉE???
MAIS SINON TOUT A FAIT REPRÉSENTATIVE DE NOTRE ÉPOQUE OU SEUL LE PROFIT GOUVERNE.
IL Y A DÉJÀ LONGTEMPS QUE J' AFFIRMAIS QUE NOTRE MONDE D' HUMAINS EST LIE A LA CAUSE ANIMALE CAR CE QUE NOUS LAISSONS FAIRE CONTRE LES ANIMAUX, NOUS SEMBLERA ACCEPTABLE TRANSPOSE A L' HUMAIN.
LAISSER LES ANIMAUX ENVOYÉS VERS LA MORT STAGNER DANS LEURS EXCRÉMENTS SANS EAU NI NOURRITURE ET LAISSER LES HUMAINS DANS LEUR COUCHE CULOTTE PENDANT LEURS HEURES DE TRAVAIL EST EXACTEMENT LA MÊME CHOSE..
1) Les employés du secteur volailler aux Etats-Unis travaillent dans un tel
climat de peur qu'ils n'osent pas demander de pauses pour aller aux
toilettes et portent des couches au travail, affirme l'ONG britannique
Oxfam dans une étude. D'après l'étude publiée mardi, "la grande
majorité" des 250.000 ouvriers du secteur avicole américain "dit ne pas
bénéficier de pauses-toilettes adéquates", en "claire violation des lois
américaines de sécurité au travail".
Ils "luttent pour s'adapter à ce déni d'un besoin humain de base. Ils
urinent et défèquent debout face à la ligne d'assemblage, portent des
couches au travail, réduisent leurs prises de liquides et fluides à des
niveaux dangereux" et risquent "de graves problèmes de santé", martèle
l'étude. L'américain Tyson Foods, l'un des plus gros groupes volaillers
au monde, a répondu dans un communiqué "ne pas tolérer le refus des
demandes d'aller aux toilettes" dans ses usines. "Nous sommes inquiets
de ces accusations anonymes et bien que nous n'ayons pour l'instant pas
de preuves qu'elles soient vraies, nous vérifions que nos
règlementations sur les toilettes sont appliquées", ajoute le groupe.
Oxfam cite une enquête menée auprès de 266 ouvriers en Alabama (sud) par
l'association anti-discriminations Soutern Poverty Law Center, selon
laquelle "presque 80% des ouvriers disent ne pas avoir le droit d'aller
aux toilettes quand ils en ont besoin", ainsi qu'une autre dans le
Minnesota (nord) où "86% des ouvriers disent avoir moins de deux
pauses-pipi par semaine".
Les rares employés du secteur qui disent pouvoir se soulager quand ils
veulent travaillent dans des usines syndiquées. Or, les deux tiers ne le
sont pas, selon Oxfam. Les ouvriers, régulièrement, voient leurs
demandes de pauses-pipi ignorées par leurs supérieurs qui leur répondent
avec des moqueries ou menaces de sanctions voire de renvoi. Ils doivent
alors patienter pendant plus d'une heure ou "se précipiter" pendant des
pauses de dix minutes. Un délai difficile à tenir lorsqu'il faut
traverser de vastes plateaux d'usines où les sols peuvent être
glissants, couverts de sang ou résidus d'animaux, et sachant qu'il leur
faut enlever puis remettre des vêtements de protection.
Les chefs de ligne refusent aux ouvriers ces pauses "parce qu'ils sont
sous pression pour maintenir la vitesse de production", fait valoir
Oxfam. Si le problème touche toute la filière avicole aux Etats-Unis,
les quatre poids lourds sont particulièrement montrés du doigt: Tyson
Foods, Pilgrim's, Perdue et Sanderson Farms, qui contrôlent 60% du
secteur et emploient conjointement plus de 100.000 personnes. Pour
Oxfam, les entreprises pourraient trouver une première solution en
mettant en place suffisamment d'ouvriers "flottants" pour remplacer
temporairement les employés qui s'absentent quelques instants, sans
avoir besoin d'arrêter toute la chaîne. Dans sa réponse à l'ONG, Tyson
Foods assure avoir déjà en place "assez d'ouvriers flottants" et avoir
déjà "rencontré des représentants d'Oxfam" et d'une autre
association. Perdue, Sanderson Farms et Pilgrim's n'étaient pas
disponibles dans l'immédiat pour répondre aux demandes de commentaires
de l'AFP.
AUTRE SOURCE AVEC COMPLEMENT ICI :
Le rapport de l’ONG mis en avant par le journal américain Washington Post révèle que chaque jour, des ouvriers n’ont pas droit à des pauses pour se rendre aux toilettes. Dans certains cas, « la réalité est si oppressante que les ouvriers urinent et défèquent tout en restant dans la chaîne de production » et « porte des couches-culottes debout face à la ligne d’assemblage ».
D’autres confient à Oxfam qu’ils se retiennent de boire pendant de
longues périodes et risquent des problèmes de santé importants afin de
garder leur job.
Debbie Berkowitz, employé au National Employement Law Project,
qui se bat pour la sécurité et la santé de ces travailleurs, dénonce
les conditions de travail affligeantes dans le secteur du poulet :
« Je suis témoin des dangers, les ouvriers de l’industrie du poulet se
tiennent épaule contre épaule de chaque côté de longues chaînes de
production, ciseaux et couteaux à la main dans des conditions froides,
humides et bruyantes, répétant les mêmes gestes des milliers et des
milliers de fois par jour, pour enlever la peau, couper, désosser et
emballer les poulets. Une industrie produit 180 000 poulets par jour. Un
ouvrier en manipule 40 chaque minute. »
EN ANGLAIS SUR BLOOMBERG ICI :
Conditions for workers in the meat industry have been known as being
notoriously poor since the days of Upton Sinclair, the American author
who wrote of abuses in his 1906 novel, “The Jungle.” In a 2015 report,
Oxfam said
the cost of cheap chicken in the U.S. is workers who face low wages,
suffer elevated rates of injury and illness and face a climate of fear
in the workplace. The industry was also highlighted in the 2008
documentary Food Inc.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire