lundi 31 mars 2014

CULTURE ESPAGNOLE, LES GALGOS

 

CE N' EST PAS SEULEMENT LA CORRIDA, MAIS AUSSI  LA MALTRAITANCE DES  GALGOS OU LEVRIERS ESPAGNOLS....

POUR CEUX QUI NE SAVENT PAS.....

SOURCE ET SUITE .....AVEC VIDEO

   Ces images de chiens attachés à un véhicule, forcés à le suivre sur une vingtaine de kilomètres pour les entraîner à courir, seuls trois députés espagnols ont pu les voir. Mercredi 12 mars, pas un de plus n'est venu à la présentation organisée spécialement pour les 350 membres du Congrès. C'est peu, très peu même, surtout quand l'on sait le surprenant succès rencontré à travers le pays avant ce rendez-vous avec ses représentants : 70 demandes de projection en deux mois, organisées spontanément par des salles de cinéma de Barcelone, Madrid, Séville, ou Valence, et des dizaines d'interviews pour Irene Blanquez, à l'initiative du projet.

D'ordinaire monteuse de films publicitaires, celle qui avec Febrero, el miedo de los galgos (« Février, la hantise des galgos ») signe son premier documentaire est pourtant ravie d'avoir pu accéder aux décideurs politiques, accompagnée de militants associatifs et de propositions pour enfin briser « le calvaire des lévriers espagnols », les galgos.
L'Espagne est l'un des seuls pays européens à autoriser, encore aujourd'hui, la chasse sans fusil. En 2004, l'Angleterre a finalement décidé de bannir la chasse à courre de son territoire, pourtant vieille de quatre siècles. En France, si la vénerie attire encore quelques milliers d'amateurs, une proposition de loi a été déposée en mai dernier pour la faire arrêter, et l'utilisation de lévriers est interdite depuis 1844.
L'Espagne se singularise par les modalités de sa pratique : dans les larges plaines caillouteuses de la moitié sud du pays, au cœur des communautés autonomes de Madrid, de Castille-La Manche ou d'Andalousie, la chasse au lièvre prend la forme d'une course entre chiens, lâchés dès qu'une proie apparaît à l'horizon. Selon Irene Blanquez, 190 000 chasseurs s'adonneraient encore aujourd'hui à un exercice populaire toujours très ancré dans les zones rurales SUITE

LE SUPER VOLCAN (YELLOWSTONE) EST 2,5 FOIS PLUS GRAND QU'ON NE LE PENSAIT.. MEGA VOLCAN

Le parc national de Yellowstone , qui se trouve sur un des plus grands super- volcans du monde , a été frappé dimanche par un séisme de magnitude 4,8, le plus fort enregistré depuis Février 1980. 

http://naturealerte.blogspot.fr/2014/03/31032014usa-le-parc-national-de.html

Le tremblement de terre a frappé le nord-ouest du parc, il couronnait une série de petits tremblements de terre qui ont secoué la région depuis jeudi.

Le séisme a frappé à 06h34 près du bassin du geyser de Norris.

Le parc national de yellowstone s'étend sur 8992 km carrés traversant le Wyoming , le Montana et l'Idaho. Il attire environ 3 millions de visiteurs chaque année pour ses geysers, sa faune , et ses bisons .

Plusieurs personnes ont déclaré avoir senti le seisme le comparant aux vibrations ressenties lors du passage d'un gros camion.

Entre  1.000 et 3.000 séismes frappent Yellowstone chaque année  selon l' Observatoire volcanologique de Yellowstone.

L'ancien super- volcan qui se trouve sous la surface du parc a été découvert par des scientifiques ses dernières années, il est 2,5 fois plus grand qu'on ne le pensait auparavant.

Le tremblement de terre de dimanche s'est produit près d'un soulèvement récent de terrain que les géologues suivent de très prés depuis plusieurs mois. La récente flambée de l'activité sismique à Yellowstone est probablement liée à ce soulèvement , causé par le déplacement vers le haut de la roche en fusion sous la croûte terrestre, selon le US Geological Survey .

Néanmoins, il n'y a actuellement aucune indication que l'activité sismique récente soit le signe d'une éruption imminente de la caldeira souterraine du Yellowstone , ont déclaré les scientifiques.

© Nature Alerte

400 000 PHOQUES CONDAMNES PAR LE CANADA.......QUI SIGNE L' ARRET DE MORT

SOURCE

Le gouvernement canadien vient d’annoncer qu’il est en train d’établir pour 2014 un quota de chasse de 400 000 phoques ,un nombre totalement absurde compte tenu d'une dernière étude qui a révélé que des milliers de peaux de phoque ont été jetés au cours des dernières années en raison de la baisse de la demande.

Rebecca Aldworth, directrice générale de HSI Canada a déclaré :

En établissant ce quota, le ministre de la pêche a encore une fois ignoré la science en faveur des agendas politiques. Compte tenu des effets dévastateurs du changement climatique sur la population des phoques du Groenland, le gouvernement canadien devrait mettre fin à la chasse commerciale, et non pas autoriser un quota record pour cette boucherie.

Plusieurs pays dans le monde ont montré leur opposition à la chasse aux phoques, comme les Etats-Unis, la Chine ou l’Union-Européenne qui interdit depuis 2010 la vente de produits à base de phoque.
CONSTATATION: LA FRANCE NE S' OCCUPE JAMAIS  DE LA CAUSE ANIMALE.. JUSTE DE POLITIQUE!!! 

200 CHIENS SORTIS DE L' ENFER

GROSSE OPERATION DE SAUVETAGE DE 200 CHIENS D' UN ELEVAGE DEVENU HORS DE CONTROLE.... BELLE EQUIPE DE VOLONTAIRES.
L' ORGANISATION  EST UN VRAI CASSE TETE.. PARVENIR A REUNIR LES CHIENS SELON LEURS CONNECTIONS...
ET LES IMAGES DES ADOPTES ET AUTRES OPERATIONS DE  SAUVETAGES ESPECES DIVERSES, POULES LAPINS, ANES, CANARDS....MEME QQ POISSONS ROUGES.
 NASHVILLE TENNESSEE


 Animal Rescue Corps spent the month of July, 2012 on the ground in Tennessee in back-to-back rescues saving the lives of nearly 200 animals. This short film by Brian Wilson documents the collaborative efforts, volunteers and partners that made these rescues possible, as well as the process from the first day until well after the last, as animals enter their new lives and loving families. To learn more visit AnimalRescueCorps.org.

UN SAUVETAGE DE PLUS D' ELDAD HAGAR

ETAIENT PRESENTS AUX COTES DES BOVINS A GUERET.. MERCI A EUX ET BRAVO!!

 
AU SUJET DE LA MANIF DU 29 MARS
 
Le Narg manifeste à nouveau aujourd’hui à Guéret. Non pour crier victoire, mais appeler à un autre combat, ailleurs.
« Mener désormais la lutte à Bruxelles »
La nouvelle, bien que pressentie, a provoqué un petit séisme, la semaine passée : la Sovialim, société porteuse du projet d'abattoir mixte (rituel et traditionnel) à Guéret, jette l'éponge. Une victoire pour le collectif Narg (Non à l'abattoir rituel de Guéret), dont la parole est portée par Aurore Lenoir. Interview.


Vous appelez à manifester aujourd'hui, bien avant l'annonce de l'abandon du projet. Cette action se transforme-t-elle donc en fête ? Non, ce n'est pas une fête, car il y a encore beaucoup d'animaux abattus sans étourdissement préalable, en France et en Europe. L'objectif de cette manifestation est de maximiser cette victoire à Guéret pour dissuader d'autres départements de soutenir des projets similaires. Ce n'est pas une fin, mais une étape, pour lancer une campagne auprès du Gouvernement et des instances européennes, contre l'abattage sans étourdissement et pour, dans l'attente, un étiquetage des viandes en fonction du mode d'abattage.

 
« Le pire est l'amalgame entre notre collectif et l'extrême-droite » n Vous êtes revenue à Guéret pour mener ce combat, est-ce à dire que vous allez le quitter pour porter le fer ailleurs ? Oui je suis revenue à Guéret pour combattre le projet d'abattoir, qui était un symbole car, au départ, il était annoncé comme le premier 100 % rituel en Europe. Non, nous ne laissons pas faire d'autres projets ailleurs mais nous ne pouvons pas être partout à la fois. Oui je vais rester en Creuse, d'abord parce que je m'y sens bien, et puis parce que nous voulons mener désormais la lutte à Bruxelles, ce qui prendra sans doute au moins cinq ans. Plus tard, j'envisage toujours de retourner dans l'humanitaire, au Laos.
n Durant ces mois de lutte, quels ont été les moments les plus difficiles ? Nous avons été attaqués de plusieurs façons mais le pire est l'amalgame que l'on a voulu faire entre les membres de notre collectif et l'extrême-droite. Je l'ai très mal vécu car je suis viscéralement opposée au discours tenu par ces gens-là.
n Mais lors de vos premières manifestations publiques à Guéret, le représentant local du Front national et quelques-uns de ses soutiens étaient présents… Oui, les deux premières seulement, et malgré le fait que nous leur ayons à plusieurs reprises demandé de ne pas venir, même sans banderole ou badges. Depuis, nous avons travaillé chaque jour sans relâche, parfois même comme un travail de police, pour identifier des personnes aux idées extrêmes qui cherchaient à se mêler à nos actions, ou diffuser des propos sur notre site Internet. Un travail de fourmi. C'est pourquoi je trouve totalement honteuse la récupération du candidat du Front national aux municipales, qui dit que l'abandon du projet d'abattoir est une victoire de son parti. Mais qu'ont-ils fait exactement ?
n Vos rapports avec les élus de Guéret et de l'Agglo ont-ils évolué au fil de mois ? Nous nous sommes heurtés pendant des mois à un mur de silence, voir de mensonges car on nous a soutenu qu'il n'y avait pas de compromis de vente avec la Sovialim avant d'entendre que celui-ci devenait caduc ! Au départ, on nous a traités avec moquerie, puis avec dédain avant que, notre mobilisation continuant et grandissant nous puissions être un peu mieux entendus, et par exemple reçus en préfecture. La rencontre et le débat avec Michel Vergnier, que nous souhaitions organiser avec du public, n'a cependant rien donné. Au final, dans tout ce conflit, j'ai entendu beaucoup d'affirmation, mais aucune réflexion sur l'idée qu'on imposait ce projet aux Creusois.
« Les passants étaient obligés de s'arrêter » n Vous avez choisi la forme du happening pour vos actions. Pour marquer le public, attirer les médias ? Oui, tout à fait. Je pense que la meilleure façon de faire réagir les gens et de leur montrer des images fortes, qui peuvent être même choquantes. Aujourd'hui tout le monde est sollicité de tous les côtés sur un grand nombre de sujets, là les passants étaient obligés de s'arrêter, de donner une opinion.

 
Vous cherchez aussi à réunir des personnalités connues… C'était la dernière étape à franchir, car une minute de discours d'une personnalité à la radio vaut des mois de travail de terrain pour sensibiliser le grand public. J'ai contacté Henri-Jean Servat, qui nous a mis en relation avec Corinne Touzet, Laurent Baffie ou Raphaël Mezrai. Alain Bougrain-Dubourg, lui, est venu me trouver pour dire qu'il nous soutenait. La prochaine à nous rejoindre est Dany Saval, la compagne de Michel Drucker, qui a créé le refuge pour animaux Li-za. Avec eux, et d'autres comme le Professeur Hubert Montagner ou le Docteur Yves Lahiani, nous allons monter un comité solide pour obtenir gain de cause à Bruxelles, et auprès du gouvernement. Les consommateurs sont avec nous, les études le montrent.
Propos recueillis par Julien Bigay

NOTRE NOUVEAU 1 ER MINISTRE

VALLS PARLE DE CULTURE!!! IL PARLE DE CORRIDA.. HE BIEN, SI C' EST CELA LA CULTURE.... C' EST JUSTE BON POUR LES ESPAGNOLS PT ETRE.... SOMMES NOUS ESPAGNOLS? NOUS SENTONS NOUS ESPAGNOLS???? TOUT EST LA PEUT ETRE?

GRACE AUX VICTOIRES DE SEA SHEPPERD LE JAPON AVOUE DE MAUVAISES PECHES AUX BALEINES ET DAUPHINS CETTE SAISON


 ET LES NATIONS UNIES ORDONNENT AU JAPONAIS  DE CESSER SA PECHE AUX BALEINES  EN ANTARTIQUE CAR C' EST UNE ACTIVITE COMMERCIALE ET NON UNE RECHERCHE SCIENTIFIQUE COMME LE PRETENDENT LES JAPONAIS 
 PT ETRE UNE PROCHAINE VICTOIRE!!!!!????





The Hague (AFP) - The United Nations' top court on Monday ordered Japan to end its annual Antarctic whale hunt, saying in a landmark ruling that the programme was a commercial activity disguised as science.

"Japan shall revoke any existent authorisation, permit or licence granted in relation to JARPA II (research programme) and refrain from granting any further permits," said the International Court of Justice's Judge Peter Tomka.

Agreeing with Australia, which in 2010 hauled Japan before the Hague-based ICJ in a bid to end whale hunting in the Southern Ocean, Tomka said that "special permissions granted by Japan are not for purposes of scientific research."
"The evidence does not establish that the programme's design and implementation are reasonable in relation to its stated (scientific) objectives," Tomka said.
While Norway and Iceland have commercial whaling programmes in spite of a 1986 International Whaling Commission (IWC) moratorium, Japan insisted its programme was scientific, while admitting that the resulting meat ended up on plates back home.
Tokyo was accused of exploiting a legal loophole in the 1986 ban on commercial whaling that allowed the practice to collect scientific data.
Conservation groups hailed the ruling, which Japan said it would respect despite "deep disappointment".
"As a state that respects the rule of law… and as a responsible member of the global community, Japan will abide by the decision of the court," chief negotiator Koji Tsuruoka told reporters outside the ICJ.
Geert Vons, director of the Sea Shepherd conservation group in The Netherlands, told AFP that while the ruling applied to Japan's JARPA II programme, a scientific programme with a more solid base could see a return to whaling in the Antarctic.
"If Japan or another country comes up with another programme for scientific research that is built a lot better, whaling could resume," Vons said.
Japanese government spokesman Noriyuki Shikata did not exclude seeking a resumption of Antarctic whaling.
- 'All eyes on Japan' -
"In terms of a future course of action, we have to carefully examine the content of the judgement," Shikata told AFP.
Australia said that since 1988 Japan has slaughtered more than 10,000 whales under the programme, putting the Asian nation in breach of international conventions and its obligation to preserve marine mammals and their environment.
"This decision sends a clear message to governments around the world that the exploitation of animals will no longer be tolerated and animals must be protected at the highest level," said Claire Bass, head of wildlife campaigns at the World Society for the Protection of Animals.
"All eyes are now on Japan to respect this decision," she said.
The court ruled overwhelmingly in favour of Australia in the case, which the country launched in 2010.
Clare Perry of the Environmental Investigation Agency said the ruling "lays to rest, once and for all, the grim travesty of Japan's so-called 'scientific' whaling."
"Next, the world needs to focus its attention on Japan's whaling in the North Pacific, where it continues to issue permits to kill up to 500 whales annually in hunts using the same 'scientific' clause that has now been condemned beyond dispute by the international court."
While Japan said its research programme was aimed at studying the viability of whale hunting, the ICJ found that it had failed to examine ways of doing such research without killing whales, or at least while killing fewer whales.
Japan has consistently defended the practice of eating whale meat as a culinary tradition and vowed it would "never stop whaling".
In April last year Tokyo announced its whaling haul from the Southern Ocean was at a record low because of "unforgivable sabotage" by Sea Shepherd activists.
Sea Shepherd had called the ICJ case make-or-break for whales in the Southern Ocean.
Established in 1945 to rule in disputes between countries, the ICJ is the United Nations' highest judicial body and the only one of five principal UN bodies not located in New York.

SOUFRANCE DES COCHONS, OU EN EST ON AU CANADA????





iStock_000003644944Large.jpgSOURCE AVEC VIDEO
 SUITE DE L' ARTICLE EGALEMENT ET QQ LIENS!!!


RAPPEL D' UNE BELLE VICTOIRE CE MOIS CI AU CANADA QUI DECIDE D' ABANDONNER TOTALEMENT LES CAGES DE GESTATION. LES PORCS SERONT MAINTENANT  ELEVES EN GROUPES, LES TRUIES SERONT SEPAREES. IL NE DEVRAIT RESTER AUCUNE CAGE DE GESTATION A PARTIR DU 1 JUILLET 2014
LA CASTRATION DES PORCELETS SERA FAITE SOUS ANESTHESIE AINSI QUE LA REDUCTION DE LA QUEUE. MAIS CE PROGRAMME NE VERRA LE JOUR QU' EN 2016
N' OUBLIEZ PAS DE VOIR LA VIDEO SUR LA SOURCE!!!


Today, history was made for Canadian pigs with the agricultural industry committing to a national ban on gestation crates, mutilations without painkillers, and some of the worst forms of "euthanasia." These horrific practices were exposed by Mercy For Animals Canada in a groundbreaking investigation into a Canadian pig factory farm in 2012.

The new guidelines from the National Farm Animal Care Council require all new or renovated facilities after July 1, 2014 to house pigs in groups rather than cruel gestation crates, which prevent pregnant pigs from turning around or lying down comfortably for nearly their entire lives. Gestation crates have been widely condemned as one of the cruelest factory farming practices in the world. The group housing must provide sows with separate space for eating, sleeping, and eliminating. By July 1, 2024, even existing facilities should have transitioned away from crates.

The new Code of Practice also acknowledges that castration is painful regardless of age, and recommends the use of painkillers before and after the procedure. The Code of Practice requires that after July 1, 2016, castration and tail docking at any age be performed with painkillers. Currently, piglets in Canada have their testicles ripped out and their tails cut off without any pain relief, a practice exposed and sharply criticized by Mercy For Animals Canada for causing acute and chronic pain and suffering.

In 2012, Mercy For Animals Canada released hidden-camera video from an undercover investigation at Puratone, a major Canadian pork producer, showing thousands of pregnant pigs crammed into filthy, metal gestation crates barely larger than their own bodies; piglets having their testicles ripped out of their bodies and tails cut off without pain killers; and piglets being slammed headfirst into the ground. The shocking exposé received national media attention and prompted tens of thousands of Canadians to demand that the nation's grocery retailers cut ties with pork producers that use gestation crates. In response, the Retail Council of Canada and its member grocers, Co-op Atlantic, Canada Safeway, Costco Wholesale Canada, Federated Co-operatives Limited, Loblaw Companies Limited, Metro Inc., Sobeys Inc., and Walmart Canada Corp., agreed to phase out inherently cruel gestation crates in their pork supply chains.

dimanche 30 mars 2014

UNE VIE DE VACHE

J' AI ENFIN EU LE TEMPS DE REGARDER CETTE VIDEO MISE EN LIGNE IL Y A QUELQUES JOURS. TOUTE L' HORREUR DE LA VIE D' UNE VACHE DECRITE PAR DES
MOTS ET DES IMAGES.

SCANDALE VIANDE DE CHEVAL IMPORTES DES AMERIQUES

SOURCE

 AVEC PLUS D' INFOS ET VIDEO  TRES DURE
 JAMAIS MANGE DE VIANDE DE CHEVAL BIEN SUR!!!
 JE ME DEMANDE QUI PEUT BIEN INGURGITER UNE TELLE VIANDE, PAS VOUS???


C’est la plus vaste investigation internationale jamais menée sur la viande de cheval en provenance des Amériques vendue dans les supermarchés français. Pendant 2 ans, les enquêteurs de L214 ont suivi le calvaire des chevaux à travers les Etats-Unis, le Canada, le Mexique, l’Uruguay et l’Argentine, pour le « bonheur » des consommateurs français…
D’après les statistiques de 2012, la France a importé 16 900 tonnes de viande de cheval, pour une valeur de plus de 66 millions d’euros. Les principaux fournisseurs de la France sont le Canada (4 100 t), la Belgique (2 091 t), l’Argentine (1 742 t), le Mexique (1 776 t) et l’Uruguay (1 730 t). A noter que la viande de cheval venant de Belgique est elle aussi souvent issue de l’importation venant des pays tiers, en grande partie des Amériques. Pour comparaison, la production totale de viande chevaline française s’élève quant à elle à 7080 tonnes. Les français ont consommé en 2011 environ 290 grammes de viande de cheval par habitant et par an. Cette consommation a baissé de 42% en 10 ans.
 
Le constat est terrible : des chevaux émaciés, malades ou blessés s’échangent au prix de 9 $ sur les marchés aux enchères américains.   Des bétaillères bondées, parcourent des milliers de kilomètres au cours desquels les chevaux n’auront ni eau, ni nourriture. Des centres de rassemblement regroupent des milliers de chevaux exposés à la neige et au grand froid au nord tandis qu’au sud, le soleil est impitoyable pour ces chevaux laissés sans abri. Les enquêteurs de L214 ont filmé de nombreux chevaux avec des plaies ouvertes, des yeux crevés, des membres déboités ou cassés, laissés sans soin ; d’autres morts, en décomposition, dans les feedlots.
Enquête internationale sur les chevaux au Far West
Lasagnes à la viande de cheval, chevaux volés, chevaux issus de l’industrie pharmaceutique ou de centres équestres : plusieurs scandales ont fait la une des journaux l’an dernier sur la viande chevaline made in France. Or, en France, au moins 60% de la viande chevaline importée provient du continent américain, soit plus de 9 000 tonnes. L214 s’est associée à Tierschutzbund Zürich (TSB/AWF), Animals Angels’ USA, GAIA, Eyes on Animals pour mener une vaste enquête en 2012 et 2013 aux États-Unis, au Canada, au Mexique, en Uruguay et en Argentine, principaux pays fournisseurs de viande de cheval des supermarchés français. Cette équipe internationale a mené ses investigations sur les marchés aux enchères, dans les stations de collecte, dans les enclos d’exportation, aux frontières, aux points de contrôles vétérinaires, dans les feedlots et les abattoirs.
 
Le marché est dominé par quelques compagnies d’importation. Leurs déclarations, relayées par les supermarchés, concernant le bien-être des animaux et la protection des consommateurs marquent un saisissant contraste avec la réalité : les chevaux vivraient en liberté et recevraient des soins appropriés. De plus la traçabilité serait garantie depuis la ferme d’origine, les conditions de transport seraient correctes, inférieures à 12h et l’abattage sans souffrance. Les preuves accumulées par les enquêteurs révèlent une toute autre réalité.
Les chevaux en route pour les abattoirs sont des chevaux indésirables, devenus inutiles ou encombrants. Ces chevaux émaciés, malades ou blessés peuvent s’échanger au prix de 9 $ sur les marchés aux enchères américains. Nous les avons vus malmenés, frappés à coups de bâtons ou de cordes, d’aiguillons électriques (interdits dans l’UE) et mordus par des chiens. Nous les avons filmés à terre dans les bétaillères, morts ou agonisants, piétinés par les autres. Nous les avons suivis pendant des dizaines d’heures par tous les temps, alors qu’ils étaient privés d’eau et de nourriture. Nous avons constaté les heures où ils sont restés exposés en plein soleil, sans eau ni nourriture, lors d’un passage de frontière par des températures de plus de 40°C, la bétaillère scellée empêchant le chauffeur de venir en aide à des chevaux tombés à terre. Nous les avons observés dans la neige, par grand froid, au milieu d’un feedlot sans endroit où s’abriter. Nous avons croisés des chevaux obèses au Canada, gavés de céréales, et d’autres émaciés, avec juste la peau sur les os. Nous avons vu des fractures ouvertes des pattes, des plaies infectées, des juments mortes en cours de mise bas en plein milieu de feedlots. Nous avons vu ces chevaux agonisants abandonnés à même le sol des abattoirs pendant que les autres paniquaient poussés vers le box d’abattage par des ouvriers brutaux. Nous les avons vu, le crâne percuté par un matador s’écrouler et mourir, après un éprouvant périple.
 
Des chevaux non destinés à la consommation humaine
 
Dans la plupart de ces pays, les chevaux ne sont pas mangés, ne sont pas considérés comme de la nourriture potentielle. En Argentine, une loi en interdit même la commercialisation. Les propriétaires ne sont donc pas alertés sur le fait que les animaux dont ils ont la charge finiront dans des assiettes et il n’y a pas de législation qui impose un carnet de suivi. Les traitements médicamenteux sont adaptés aux pathologies du cheval : il n’est pas rare que ces traitements, souvent en vente libre et disponibles sans prescription, soient interdits en Europe pour les chevaux destinés à la boucherie : c’est le cas pour la phénylbutazone.
L’utilisation de phénylbutazone (anti-inflammatoire non stéroïdien) ou d’autres substances dangereuses interdites dans l’UE est courante. Dans plusieurs de ces pays, la phénylbutazone est en vente libre, les contrôles vétérinaires sporadiques, les registres inexistants ou non fiables. Plusieurs chevaux ayant reçu de la phénylbutazone ont été tracés jusque dans les abattoirs canadiens.
 
Ces chevaux, qui finissent néanmoins à l’abattoir, sont des animaux en fin de carrière (sport, travail ou loisirs), vieux, malades ou blessés, considérés comme désormais inutiles ou encombrants. La traçabilité repose sur des déclarations, considérées comme non fiables par l’Office Alimentaire et Vétérinaire européen (OAV).
Les chevaux nés en France ont un document d’identification qui les suit tout au long de leur vie. Ce document permet de savoir si le cheval peut être abattu pour la consommation humaine.
Des réglementations et des pratiques différentes
Les standards en vigueur dans l’UE, notamment pendant le transport, ne sont pas exigés dans les pays tiers. Si, pour exporter, un abattoir doit être agréé et appliquer la réglementation européenne, il n’est rien exigé concernant le transport. En Europe, le transport des animaux est encadré par le règlement 1/2005. Les législations dans les pays tiers sont très différentes……….
[...]

LES ANIMAUX QUITTENT YELLOWSTONE TDT AUJOURD' HUI

A LIRE ET A MEDITER

SOURCE

 UN ARTICLE REMARQUABLE  DE JAMES MCWILLIAMS  SUR LA MALTRAITANCE ANIMALE QUI ATTEINT DES NIVEAUX ALARMANTS
 IL SIGNALE L' HYPOCRISIE DES CRITIQUES GASTRONOMES QUI DENONCENT LES FERMES INDUSTRIELLES TROP CRUELLES, MAIS NOTE QUE CES MEMES CRITIQUES NE TARISSENT PAS D' ELOGES POUR LE BOUCHER ARTISANAL
ILLOGIQUE  BIEN SUR SUR LE PLAN ETHIQUE...

 NOUS CONTINUONS D' IGNORER OU DE SOUS ESTIMER L' INTELLIGENCE ANIMALE  ET LE PIRE EST QUE NOUS CONTINUONS DE CONSIDERER NOS COMPORTEMENTS  CRUELS D' EXPLOITANTS ET DE PROFITEURS COMME NORMAUX.

 NOUS PRETENDONS POURTANT LES AIMER!!!EST CE LOGIQUE????


“No age has ever been more solicitous to animals, more curious and caring,” writes Matthew Scully in Dominion: The Power of Man, the Suffering of Animals, and the Call to Mercy. “Yet no age,” he continues, “has ever inflicted upon animals such massive punishments with such complete disregard.”


Scully highlights one of the more troubling paradoxes at the core of modern life. Humanity proves its love for animals on a daily basis. We lavish an abundance of affection on companion animals, work tirelessly to protect endangered species, and donate generously to shelters and welfare organizations.
At the same time, we treat animals with unfathomable disdain. We wear them, experiment upon them, hunt them, render them into cosmetics, and, most notably, eat them. Making matters even more disturbing, we rationalize all this behavior as perfectly normal. I
Humans are the only animals capable of untangling this paradox. To be sure, non-human animals possess innumerable skills that we lack, but—as far as we know—they don’t have the cognitive gifts to think abstractly about relationships among species. For us to ignore this challenge would be a grave failure. Unfortunately, the most influential voices in the so-called “food movement,” concerned as they are with both taste and sustainability, disagree, even though they are in a position to push this paradox to the center of public debate. They view the ethics of slaughter as an issue best to avoid, or to dismiss with pithy one-liners (“I didn’t rise to the top of the food chain to eat plants.”)
What, after all, is to be gained by questioning one of humanity’s most habitual acts? What benefit is there in alienating one’s loyal base of omnivore followers? Why muddy the waters when you can win friends and influence palates with the latest brisket rub? With few exceptions, popular explorations of meat production and consumption studiously skirt the essential concerns underscoring our ingrained habit of killing animals to satisfy our tastes.


Sure, food writers trip all over each other to express their righteous outrage over the many evils of factory farming. Wonderful. But not a single one has decided to take a shot at reconciling their outrage—an outrage that ipso facto acknowledges that an animal has inherent worth—with their promotion of heirloom birds, grass-fed beef, and fried pork bellies cut to perfection by “artisanal” butchers.

The fact is, what’s being butchered here is logic. Thinking, talking, and writing about meat almost necessarily evokes a wildly emotional response. But what’s required right now isn’t emotion, but reason. The food movement has taught us to doggedly investigate every facet of our food system. This noble imperative has led to an admirable increase in public awareness about the source and quality of everything we eat. But our collective effort to vet the food system of any and all abuse ironically slams on the brakes when reason get too close to the brink of animal rights.


Nonetheless, I wonder what we might discover if, somehow or other, we careened over the edge and seriously explored, in the popular press, the ethics of animal exploitation. What if we discussed the moral and legal rights of animals with the same level of detail we bring to discussion about where to find the best prosciutto? Perhaps the most intellectually jarring conclusion we might reach is that our current philosophical justification for dominating the non-human world is embarrassingly antiquated. In fact, it’s rooted in ancient ideas that ignore both Darwin and the science of genetics.
As Paul Waldau reminds us in Animal Rights: What Everyone Needs to Know, it was Aristotle who, more than 2,000 years ago, codified a rigid typology of life based on a fundamental distinction between humans and animals. His typology had roots in the book of Genesis. In the Aristotelian worldview, humans transcended an atomized sub-human world in which every species served a distinct role in the service of humankind. Under Aristotle and the Old Testament, using animals was more than okay; it was our cosmological duty. “Nature,” Aristotle wrote in Politics, “has made all animals for the sake of man.” For Christians, of course, that role belonged to God.


But Darwin and Mendel, with their theories of evolution and genetics, put an end to this self-serving fantasy of dominion. They did so not only by scientifically situating humans in the same category as non-humans (animals), but by undermining the assumption that humans, as Waldau puts it, are “the pinnacle of and reason for creation.” Today, enlightened neo-Darwinists embrace the idea that shared genetic heritage—and often profoundly similar genetic structure—between humans and non-human species confirms the interrelatedness and continuum of all animal life. And this, as I see it, changes everything.
 When humans and non-human animals are part of a continuum, rather than qualitatively distinct forms of life, human meat-eaters confront a serious quandary. It becomes incumbent upon us to forge a contemporary justification for carnivorous behavior. Aristotle and Genesis will no longer do. By undermining the long-held basis of inherent human superiority over non-human animals, the science of evolution obliterated the framework within which thoughtful carnivores long justified their behavior. As it now stands, human meat-eaters, unless they reject modern science, support the killing of non-human animals without the slightest intellectual or ethical grounding.
Embedded within this Darwinian turn is a closely related development. Whereas humans have historically assumed their superiority over non-human animals on the basis of our supposedly unique ability to think and feel, the field of cognitive ethology—the study of non-human animal minds—is making it virtually impossible to maintain this stance. As the evolutionary biologist Marc Bekoff says in The Animal Manifesto: Six Reasons for Expanding our Compassion Footprint, we “consistently underestimate what animals know, do, think, and feel.”


Examples of animal intelligence, consciousness, and thoughtfulness abound. When cognitive ethologists discover that (to name only a few cases) Caledonian crows are better tool-makers than chimpanzees, or that monkeys teach their children to floss, or that magpies can recognize themselves in a mirror, we can no longer blithely dismiss animals as driven by “pure instinct.” To the contrary, we have an obligation to contemplate the fact that non-human animals (especially higher ones) make conscious choices, experience genuine emotion, and might even (as in the case of elephants) have the mental and emotional wherewithal to seek revenge. In short, they have interests. To reject these findings—findings that have been fully established with relatively little investigation—would be, as Terry Tempest Williams puts it, “the ultimate act of solipsism.” Humans would be the ones following instinct—the deep-down instinct that says we’re inherently superior.

Admittedly, a systemic analysis of animal rights can be an extremely disorientating experience. Questioning the basis of animal exploitation bears directly on virtually every aspect of our lives: what we wear, eat, apply to our skin and hair, and so on. To duck these issues—to steer clear of any confrontation with Darwin, Mendel, or the field of cognitive ethology—is not only intellectually disingenuous. It denies to the billions of animals we kill every year a fair assessment of why we treat them as we do.

A SAVOIR

Chère lectrice, cher lecteur,

La viande produite aux Etats-Unis n'est pas seulement bourrée d'hormones et d'OGM.

Depuis qu'une partie importante de la production de maïs du pays sert à faire du carburant pour les voitures (une aberration écologique), le prix du maïs a tellement augmenté que les éleveurs sont partis sur d'autres « solutions » pour nourrir leurs bestiaux.

Et, comme d'habitude, la solution la moins chère est aussi la pire pour notre santé.

Car les éleveurs se sont aperçus qu'ils pouvaient trouver moins cher que le maïs : acheter les rebuts des fabriques de bonbons et de chocolat.

Gommes, sucettes, marshmallows, morceaux de bonbons et de chocolat en tout genre sont mélangés au fourrage des vaches. Et le pire est que… ça marche ! Les éleveurs sont très contents !

« En donnant des bonbons à mes vaches, j'ai réussi à augmenter leur production de lait de 1,5 litre par jour », explique un éleveur, Mike Yoder, qui ne voit apparemment aucun problème à exposer sa trouvaille à la télévision (lien vers la vidéo en fin d'article). « L'élevage est une question de centimètres et, parfois, de demis centimètres. Si vous pouvez économiser un centime sur la nourriture, vous le faites. » [1]

« C'est une très bonne chose que les producteurs parviennent ainsi à réduire leurs coûts, et à fournir aux consommateurs des aliments moins chers », approuve également un consultant en nutrition pour les animaux, Ki Fanning, de la société Great Plains Livestock Consulting, Inc.

Au lieu de dépenser 315 $ par tonne de maïs, les éleveurs peuvent nourrir leurs vaches avec des pépites de bonbons (comme celles que vous trouvez sur les glaces McDonald's) pour 160 $ la tonne. (la suite ci-dessous)

Annonce spéciale

Mais que pouvez-vous encore mettre dans votre assiette ??

Les scandales sanitaires et médicaux se suivent et se ressemblent. Vous ne savez plus quoi choisir quand vous faites vos courses, comment protéger votre santé sans tomber dans la paranoïa. Avez-vous seulement une chance face au poids des lobbies agro-alimentaires et pharmaceutiques ? Alternatif Bien-Être est votre journal anti coup de blues. Tous les mois vous recevez un nouveau numéro avec toute l'actualité de la santé naturelle et rempli de conseils pratiques pour retrouver le sourire et la santé au quotidien.

Rien que dans votre numéro du mois de mars vous découvrez comment certains oméga-3 sont efficaces contre les coups de déprime, vous apprenez à lire une analyse de sang pour savoir exactement ce dont vous avez besoin, comment faire baisser l'hypertension en consommant moins de sel... mais peut-être plus de potassium, vous découvrez comment gérer votre respiration et comment la marche afghane peut améliorer votre vitalité...

Rendez-vous ici pour en savoir plus sur Alternatif Bien-Être, le journal de la résistance et des solutions alternatives de santé.
Suite de la lettre de ce jour :

La morale de l'histoire

Pourquoi les éleveurs de bétail américains sont-ils si enthousiastes pour les bonbons ?

Parce qu'ils s'aperçoivent bien que les bonbons font grossir leurs vaches plus vite. Plus de bonbons, c'est plus de viande grasse, plus vite.

Au-delà du fait qu'il faut à tout prix éviter de manger une telle viande (si vous mangez encore de la viande !), cette histoire nous rappelle, et nous confirme, que ce sont bien les sucres qui font grossir.

Vous remarquerez que les éleveurs, si pressés de faire grossir leurs vaches, ne leur donnent pas de produits gras : ils leur donnent des céréales et du sucre !

Soit exactement ce que les Autorités de Santé recommandent à la population, et ce que nos enfants entendent constamment à la télévision : une bonne journée commence par un bon bol de céréales, et un verre de jus d'orange !

En réalité, le jus d'orange a beau être naturel, il est bourré de fructose, et les céréales, surtout si elles sont grillées ou soufflées, se transforment immédiatement en sucre quand nous les mangeons.

D'où l'épidémie d'obésité et de diabète qui touche les enfants, épidémie qui progresse plus vite encore que chez les adultes.

L'industrie du sucre dans les écoles

Incroyable mais vrai, le site lanutrition.fr nous alerte aujourd'hui : le ministère de l'Education nationale a confié à l'industrie du sucre le soin d'éduquer nos enfants à la nutrition [2].

Un accord vient d'être signé confiant au CEDUS, l'organisme de propagande de l'industrie du sucre, la responsabilité de délivrer pendant 5 ans aux enseignants, aux élèves et à leurs familles, une « information sur la nutrition et la santé. »

Dans la documentation créée par le CEDUS, on lit :

« Aucune relation directe entre consommation de sucre – en dehors d’apports caloriques excessifs – et prise de poids n’a été mise en évidence dans les études récentes. » [3]

Selon le CEDUS, il n'y aurait pas non plus de lien entre le sucre et le diabète :

« Contrairement à une idée reçue, il n’y a pas de lien de cause à effet entre la consommation de glucides en général ou de saccharose (sucre) en particulier et le diabète. » [4]

Entre les éleveurs de bovins américains et les cerveaux qui dirigent l'Education nationale, la différence est moins grande qu'on ne le croit.

vendredi 28 mars 2014

ADOPTER UN COCHON!!!! ET POURQUOI PAS


 


vous pensez peut etre a  adopter un cochon??

SUR CE SITE VOUS TROUVEREZ DES TONNES D' INFORMATIONS VRAIMENT DETAILLEES..
 ICI

752 POULES LIBEREES , PREMIERE EXPERIENCE DU RAYON DE SOLEIL



VOICI LE LIEN VERS PLUS D' INFOS DE LA PRISE EN CHARGE DES CES POULES

TEMOIGNAGE EMOUVANT!! ET UN BRAVO RECONNAISSANT A CET HOMME BIENTOT LIBRE DE SES FANTOMES

SOURCE AVEC VIDEO A VOIR

Il est 5 heures du matin. Il fait -10°C dehors, et une tempête qui pourrait bien nous recouvrir de 40 centimètres de neige est à quelques kilomètres à peine. Dehors, dans ce pays des merveilles hivernal, se trouvent 250 cochons, dispersés dans la prairie dans des abris et une grange, nichés dans la chaleur et l'épaisseur de la paille, profondément endormis en tas, partageant leur chaleur corporelle et le confort social du contact physique.
Ce sont des cochons heureux. Ils sont, peut-être, aussi heureux qu'on puisse l'être. Après tout, tout ce dont ils pourraient avoir envie ou besoin est à portée de main, ou dans le cas présent, de sabot. Nourriture, abri, eau, air frais, espace pour vagabonder, courir, jouer, paille épaisse où s'enfouir. Ils ne manquent de rien, même au cœur de l'hiver.
Lire aussi:
Clèm Guyard - Esther, la truie aux 50.000 fans
Pendant qu'ils flânent dans leurs enclos et la cour, fouinant dans la neige et s'enfouissant jusqu'au sol gelé, ils laissent échapper un murmure constant de grognements silencieux exprimant leur contentement et laissant les autres cochons savoir où ils se trouvent. Les grognements silencieux vont et viennent entre les cochons toute la journée. C'est aussi apaisant que le son des cigales les soirs d'été.
Certains cochons, ceux dans la grange, où il fait le plus chaud et où la paille est la plus épaisse, ne pèsent que 20 kilos. D'autres font 70 kilos. Les plus gros pèsent plus de 130 kilos. Les gros sont tellement immunisés contre le froid que lorsqu'il fait -5°C et qu'il y a du soleil, ils plongent leur tête dans l'abreuvoir pendant que je le remplis et tentent de lécher l'eau qui coule de leur groin. Leurs expressions variées de contentement, de bonheur, sont contagieuses.

Je ne quitte jamais un groupe de cochons dont j'étais en train de m'occuper, que ce soit en marchant ou sur le tracteur, sans sourire ou même, souvent, glousser à voix haute.


Dix des plus gros cochons vont mourir demain, non par ma main, mais à ma demande. Plus tard cet après-midi, pendant qu'ils feront la sieste, je les piégerai dans leur abri avec une série de panneaux. Ensuite, je reculerai la bétaillère jusqu'aux panneaux et créerai une sorte de pente sur laquelle je pourrai rassembler les cochons pour les faire monter. Une fois dans la bétaillère, je conduirai ces dix cochons, ces dix heureux cochons, à l'abattoir, où je les déchargerai dans un enclos d'attente. À cause de la tempête qui arrive, je ne peux pas les déposer demain, ce que je préférerais. À la place, ces cochons heureux devront passer la dernière nuit de leur vie malheureux, dans un enclos inconnu, bétonné, à l'odeur étrange, avant d'être menés un à un dans le convoyeur pour être rapidement abattus.
Lire aussi: Victoria Luta - Des corps morts au coeur des villes
Avant 9 heures demain matin, le temps que je dégage la neige pour pouvoir nourrir et abreuver les heureux cochons restants, les dix que j'ai laissés à l'abattoir seront morts. Ils auront reçu un coup au cerveau avec un pistolet à projectile captif pour les rendre inconscients, puis un imposant couteau extrêmement aiguisé aura été enfoncé dans leur cœur encore palpitant pour en faire jaillir tout le sang porteur de vie qui avait circulé jusque-là dans leurs veines et leurs artères, répandant une épaisse flaque rouge sur le sol gris béton de l'abattoir. Vingt minutes après ils seront sans vie, découpés en deux moitiés et suspendus par chaque patte arrière à de longs crochets brillants en acier inoxydable attachés à un rail par une roue pour que les cochons puissent être glissés dans la chambre froide et que leurs corps, leurs carcasses, encore tièdes de la vie qui leur a été retirée pour que l'on puisse manger leur viande, puisse être refroidie à moins de 4°C, comme prescrit par le département de l'agriculture des États-Unis. Leurs yeux si humains, qui de leur vie vous observent avec une évidente intelligence, seront immobiles et froids comme des billes.
Dans le discours actuel, les cochons heureux sont l'alternative idéale aux cochons misérables et maltraités élevés dans les élevages industriels. Les cochons heureux font de la viande heureuse, et la viande heureuse a bon goût. Nous devrions avoir bonne conscience de manger de la viande heureuse.
De la viande heureuse, vraiment ?


 Je suis hanté par le fantôme de presque 2000 cochons heureux.
(Il y a un mois environ, j'ai eu ma dernière crise de conscience, en dix ans de crises de conscience plus ou moins intenses. Après avoir abandonné le dernier vestige de ce qui semblait être une justification légitime, le bonheur suivi d'une mort rapide et indolore, je suis devenu végétarien. J'en suis maintenant aux premiers pas du processus compliqué consistant à mettre fin à ma carrière d'éleveur de cochons.)

mercredi 26 mars 2014

BONHEUR DE RHINO EN CONVALESCENCE

LES BRACONNIERS LUI ONT TIRE UNE BALLE DANS LA TÊTE.
 LES VETOS ONT FAIT DU BON BOULOT,
 UNE FOIS LE PANSEMENT RETIRE LA CICATRICE EST TRÈS BELLE, IL SEMBLE QU' IL N' Y AURA PAS DE  SÉQUELLES MAIS IL FAUT LUI DONNER DE L' EXERCICE A CE BB
 LA VITESSE DE COURS D' UN RHINO PEUT ATTEINDRE 25 KM/H
 APRÈS LA COURSE, LE BAIN DE BOUE....ET LE MASSAGE
 GÂTÉ POURRI CE RHINO!!!


LES PHOQUES SONT EN DANGER

TROP DROLE OU TROP DEBILE, COMPARER LES ANTI CORRIDA A DES TERRORISTES....

C' EST EN TOUS CAS HALLUCINANT!!!!
N' ONT ILS RIEN DE MIEUX A FAIRE CES AFICIONADOS QUE DE  TORTURER MASSACRER ET PRENDRE DES COUPS DE SANG PAR CRAINTE DE VOIR LEUR JOUJOU RETIRE???
JE PENSE QU' EFFECTIVEMENT ILS N' ONT QUE DU VENT  ET DE LA MÉCHANCETÉ VICIEUSE ENTRE LES OREILLES...

SOURCE

Lors du procès de Dax le 24 mars, le bâtonnier de Bordeaux Michel Dufranc, avocat des spectateurs ayant porté plainte pour injures publiques, a prononcé un réquisitoire enflammé digne d’une cour criminelle. Un long, très long, trop long discours pendant lequel Benoît Giraud, le président du tribunal correctionnel, a regardé plus d’une fois ostensiblement sa montre. Passer près de trois-quarts d’heure pour expliquer d’une voix tonnante et courroucée en quoi les mots « barbare », « sadique », « pervers » et « dégénéré » constituaient à ses yeux bien plus que des injures, mais carrément du « terrorisme » (sic), était franchement grand-guignolesque. Ce qui lui a valu quelques éclats de rire.
Il faut dire que monsieur le bâtonnier a été fort frustré que, malgré son insistance, le président Giraud a refusé de donner la parole aux plaignants, estimant que c’était inutile puisque Jean-Pierre Garrigues avait déclaré reconnaître et même revendiquer les faits. Mais ce qui faisait le plus peur à Michel Dufranc, c’était que le moindre début d’ombre de tentative de justification des termes employés ne soit, ne serait-ce qu’évoqué. C’est bien pour cette raison - et aucune autre - qu’il avait choisi la qualification d’injures et non de diffamation. Une injure est une invective gratuite. Une diffamation repose sur un raisonnement qui, s’il est avéré, rend le chef d’inculpation caduque.
Aussi Dufranc a-t-il martelé à plusieurs reprises, comme pour s’en convaincre lui-même, cet aveu hallucinant : « Le débat n’est pas ouvert ! Le débat n’est pas ouvert ! »


Quel débat ? Celui que pose directement l’article 521.1 du Code pénal définissant la corrida comme relevant de sévices graves et d’actes de cruauté envers un animal. Ses conséquences sont en effet évidentes : quel que soit l’habillage esthétisant que les aficionados lui donnent, puisque la corrida est légalement une torture suivie d’une mise à mort, ceux qui la commettent sont des sadiques, ceux qui s’en réjouissent sont des pervers, ceux qui la justifient sous prétexte de tradition sont des barbares et ceux qui y conduisent leurs enfants sont des parents dégénérés. Et cela, aucun autre article de loi n’est nécessaire pour le dire, car il s’agit ni plus ni moins que des définitions de chacun de ces mots dans n’importe quel dictionnaire.
La seule échappatoire invoquée (car il s’agit bien d’une invocation au sens le plus primitif du terme) par les aficionados, le bâtonnier Dufranc en tête, est de nier qu’un acte consistant à transpercer de façon répétée un animal et à le mettre à mort puisse être qualifié par des termes objectifs déplaisants, de nier que la corrida puisse s’inscrire dans quelque débat que ce soit, voire de nier dans ce cas d’espèce l’existence de dictionnaires.
Le procédé n’est pas nouveau. Il a été et continue à être le pivot de tout système totalitaire : le débat n’est pas ouvert, il n’y a donc rien à débattre et si certains voudraient quand même débattre, ils n’ont rien à faire dans le monde de ceux qui n’en veulent pas. Le débat n’est pas ouvert, la réalité n’existe pas, l’autisme est souverain.
Le bâtonnier Dufranc l’a confirmé sans ambages, hurlant dans le prétoire : « La preuve de cette affirmation est inconcevable » (de fait, les aficionados ne la conçoivent pas), « Vous vous arrogez un droit que vous n’avez pas » (avoir une opinion contraire est à leurs yeux un outrage), « C’est du terrorisme ! » (car la simple contestation de la survivance d’un supplice donné en spectacle est pour eux terrorisant), « La population est prise en otage » (ce sont les anticorridas qui subissent les violences qui les conduisent aux urgences mais ce sont les aficionados les victimes).
Il a conclu son interminable coup de sang en souhaitant que le verdict serait à même de « dissuader la répétition de ce comportement inacceptable ». Celui d’exprimer une opinion. Celui qui a pour unique motivation de faire appliquer la démocratie, y compris dans les 10% du territoire français où une poignée de caciques d’un autre âge ont décrété que le débat n’est pas ouvert. Celui d’appeler de tous nos vœux la tenue d’un débat législatif, sur la base de l’une ou l’autre des quatre propositions de loi qui, justement, ont été déposées dans les semaines qui ont suivi les événements de Rion-des-Landes du 24 août 2013, même si 40 députés aficionados sur 577 bloquent toute tentative de mise à l’ordre du jour de ces propositions.


La procureure a alors pris la parole, en dépit d’une règle constante voulant que le Parquet n’intervienne jamais lors d’une comparution pour injures ou diffamation. Elle l’a d’ailleurs elle-même souligné en introduction de son intervention, mais pour se contredire aussitôt en poursuivant sa prise de position à charge. Elle a révélé à cette occasion par ses propos qu’elle était une lectrice assidue d’André Viard (c’est son droit), manquant même de justesse de reprendre sa comparaison indigne entre « mur de la honte » formé par les anticorridas et un certain autre mur que seul Viard par son outrance a osé évoquer pour se victimiser de façon obscène.


Mais voilà, elle a été, semble-t-il, profondément vexée par une phrase où je la qualifiais de « bras armé du lobby taurin », propos mis en exergue par André Viard, lui-même repris par Sud-Ouest. Or, dans le cadre de ce procès, il ne s’agissait là que d’une simple constatation puisqu’elle est, très officiellement, l’organisatrice en chef de l’ensemble des procédures qui nous visaient lundi à Dax. Toujours est-il que j’ai dû toucher un point extrêmement sensible puisqu’elle a tenu à plusieurs reprises pendant l’audience à me citer (c’est trop d’honneur) et à se justifier de n’être que « le bras armé du droit ». On aimerait croire à cette noble affirmation si elle n’était pas une multi-récidiviste en matière de mépris pour la condition animale, comme le rappelait un éminent juriste habitué de notre blog. Vu son insuccès en 2008 et le désaveu cinglant exprimé par le président Giraud en rendant un verdict extrêmement clément avant-hier, il semble bien que finalement, quoi que j’aie pu en dire, son bras soit plutôt désarmé.
Pour en revenir au sujet principal de ce billet, le député aficionado Marleix l’exprimait en des mots quasiment identiques sur l’antenne de Sud Radio il y a un mois lorsque Jean-Pierre Garrigues, aux antipodes de l’image de terroristes qu’il tente de nous affubler, lui expliquait notre unique requête : ouvrir le débat à l’Assemblée. Marleix a répondu : « Quel débat ? », ce qui montre que même si un aficionado a pour métier de débattre (c’est le cas de tous les parlementaires), ce débat-là ne peut pas exister.
Messieurs les aficionados, vous voulez la fin de nos actions ? C’est très simple : ouvrez le débat. Ce n’est pas du terrorisme, c’est de la démocratie.
Robert Lahana
Vice-président du CRAC Europe

mardi 25 mars 2014

PLUS D' INFOS SUR YELLOWSTONE

LES BISONS FUIENT LE PARC YELLOSTONE


AVEC LES TREMBLEMENTS DE TERRE NOMBREUX COTE OUEST USA CERTAINS S' INTERROGENT...

ROUMAINS=CRIMINELS ET VETERINAIRES COMPLICES

ICI POUR VOIR CE QUE LES ROUMAINS FONT ENDURER AUX CHIENS!!!!

VIDEOS PHOTO DOSSIER COMPLET

About the raid of the shelter cared for by volunteers


OFA conducted extensive interviews with the volunteers who run the raided shelter and this is what we have learned:

The shelter, which is cared for by volunteers and supported by a UK charity, is located on a land owned by the City Hall of Bucharest and is under the supervision of the government paid veterinarian, Bogdan Brasla. The volunteers run this shelters since more or less three years. During this period the supervising veterinarian showed up only 3 times.

The usage of the shelter is for free, meaning that the animal rescuers don't pay any rent and have also never been asked by the city hall to pay a rent. A few weeks ago, the supervising veterinarian told the volunteers that, in order "for the dogs to be safe", they should pay a rent now and that he would guarantee for the safety of the dogs.

This "proposal" came too late: the volunteers had already rented a farm to make their very own shelter there and they informed the veterinarian Bogdan Brasla of it and also of the fact that they would move the dogs to this farm as soon as possible.

Bogdan Brasla replied that this was not possible and that the dogs would need to stay in this shelter until he would have called the ASPA so that they would come and finalize the registration of the micro chips of the dogs, implemented by VIER PFOTEN in their clinic.

What the vet, Bogdan Braslatold the volunteers is NONSENSE: the microchips do no longer need to be registered to ASPA but to the College of Veterinarians.

Anyway... ASPA might argue that since the dogs were in a shelter owned by the city hall, they were their property, but NOT SO de facto. More than half of the dogs were brought from two private shelters almost 3 years ago and were dogs that they had raised since they were puppies. According to the law, the volunteers were allowed to adopt these dogs from the other rescuers as well as the stray dogs that they found inside the shelter, almost dying of starvation.

So the volunteers micro-chipped them all, made their adoption papers ready, and bought the rabies vaccines while waiting for the ASPA to come in order to finalize the registration as advised by the ASPA-veterinarian, Bogdan Brasla.

And the ASPA came. But not to register the dogs...

Another point that is very important to be mentioned, is that, although the ASPA veterinarian, Bogdan Brasla, said that the volunteers "should pay a rent so that the dogs would be safe", no rent has ever been claimed by the city hall, according to the volunteers. Since the city hall has never asked for a rent, consequently no rent was due and an eviction - if we would call the brutal ASPA-raid an "eviction" - was not justified.

Also, the volunteers have never been asked - neither verbally nor by written notification - to leave the shelter. Right the contrary: when they wanted to leave and move the dogs to the rented farm, the ASPA-vet, Bogdan Brasla, hindered them from doing so by saying that this was not possible until the micro chip registration had been finalized by ASPA.

In summation: 

  • The dogs would have been moved to the rented farm already more than 2 weeks ago if the ASPA-vet, Bogdan Brasla, had not inhibited this. 
  • When the volunteers returned to the shelter the next day, Saturday, to take back their cages and other materials, they were denied access by the corrupt ASPA-veterinarian, Bogdan Brasla, who now intends to make this his OWN shelter.

LAISSER MOURIR SON CHIEN 6 MOIS DE PRISON FERME

SOURCE


BIEN ÉVIDEMMENT  CE N' EST PAS ASSEZ DISSUASIF, MAIS FORCE EST DE CONSTATER TOUT DE MÊME UNE AMÉLIORATION 
ETONNANT CE SILENCE DES VOISINS.. UN CHIEN QUI FAIT UN TEL GRABUGE CELA DOIT S' ENTENDRE TT DE MEME

JusticeLa jeune femme était accusée d'avoir abandonné son animal plusieurs semaines dans un appartement de Toulon, sans eau ni nourriture, avant que celui-ci ne meure après une longue agonie. Elle écope de 6 mois de prison, dont deux ferme.
Une jeune femme de 25 ans a été condamnée mardi à six mois de prison dont deux ferme par le tribunal correctionnel de Toulon pour avoir abandonné son chien, mort en juin 2011 après une longue agonie.
La jeune femme était jugée pour "maltraitance", le tribunal a requalifié les poursuites en "abandon". Il l'a également condamnée à 600 euros d'amende et une interdiction, à vie, de détenir un animal. Elle était accusée d'avoir abandonné son animal - un American Staffordshire qui n'était ni tatoué, ni déclaré, ni stérilisé - plusieurs semaines dans un appartement à Toulon, sans eau ni nourriture, après une rupture sentimentale.
Le chien, nommé Enzy, avait été découvert mort dans un état de décomposition avancée dans un logement ravagé, témoignant de la lente agonie de l'animal: porte grattée, matelas déchiqueté, moquette arrachée. Ce sont les voisins, alertés par une odeur pestilentielle, qui ont appelé la police. Le parquet avait requis six mois avec sursis. 
Un euro symbolique versé aux associations de défense des animaux
Différentes associations de défense des animaux, comme la fondation Brigitte Bardot, la SPA ou encore la fondation 30 millions d'amis, s'étaient constituées parties civiles demandant la requalification des faits en abandon. La jeune femme a été condamnée à verser un euro symbolique aux 7 associations et à la prise en charge, à hauteur de 500 euros chacune, de leurs frais de justice
Début février, un jeune homme avait été condamné à un an de prison ferme par le tribunal correctionnel de Marseille pour avoir martyrisé un chaton de cinq mois dans des vidéos postées sur internet, suscitant une forte émotion :

J' ADORE!!! LA NOUVELLE MAIS AUSSI LES ELEPHANTS!

SOURCE

 NOUS QUI NE PARVENONS PAS A REUSSIR LE "VIVRE ENSEMBLE" NOUS DEVRIONS EN TIRER QQ LECONS IL ME SEMBLE
 


D’après un rapport récemment publié dans la revue PeerJ, les éléphants d’Asie réconfortent  ceux qui  sont en état de stress, par  des vocalisations et  en les effleurant avec douceur. Si les anecdotes abondent d’éléphants adoptant un comportement apaisant les uns envers les autres, nous sommes là en présence de la première preuve empirique de la capacité des éléphants à s’apporter du réconfort. 
Joshua Plotnik , professeur de biologie de la protection de l’environnement à l’Université Mahidol de Thaïlande et  directeur de Think Elephants International, et Frans de Waal, de l’Université Emory, ont  conduit des observations sur un groupe de 26 éléphants tenus  en captivité dans un parc pour éléphants en Thaïlande. Ces éléphants n’avaient pour la plupart aucun lien familial et ils  passaient  ensemble leur temps social sous la surveillance de leurs cornacs, ou soigneurs.
Les deux chercheurs ont conduit leurs observations du groupe  pendant près d’un an, en notant ce qu’il se passait lorsqu’un des éléphants n’était pas bien.,  à cause par exemple d’un chien passant tout près,  d’un serpent dans l’herbe ou de la présence d’un éléphant inamical. Les éléphants font connaître leur inquiétude en pointant les oreilles vers l’avant, en dressant la queue et en émettant à basse fréquence un grondement, bruit  de trompette ou  rugissement.
Plotnik et de Waal se sont rendu compte que les éléphants à proximité avaient recours à la fois aux vocalisations et au contact physique  pour rassurer les individus stressés. C’était le plus souvent le consolateur et non l’individu inquiet qui prenait l’initiative du contact. Le cas le plus typique observé par les chercheurs était celui où le consolateur posait  sa trompe autour ou à l’intérieur de la bouche de celui qu’il consolait. Il pouvait aussi avoir recours à la vocalisation,  souvent en émettant des stridulations aiguës.
Il arrive aussi qu’un éléphant réponde aux signaux de détresse d’un autre éléphant en en émettant lui-même, reprenant ainsi à  son propre compte l’état émotionnel de son compagnon. On pense que cette ‘contagion émotionnelle’ est en rapport avec un phénomène d’empathie. Si vous-même avez  déjà pleuré en regardant un mélodrame, vous savez ce qu’est la contagion émotionnelle.

L’empathie des éléphants
Il y a de cela  plusieurs années, alors que Plotnik étant doctorant à l’Université Emory, lui et de Waal démontrèrent que les éléphants d’Asie se reconnaissaient  dans un miroir. Souvent considéré comme le marqueur de la conscience de soi, la reconnaissance de son image dans un miroir est parfois considérée comme un pré-requis potentiel pour l’accession  à  l’empathie complexe. ‘En d’autres termes, il faut être capable de se considérer en tant qu’individu distinct des autres pour pouvoir exprimer de l’ empathie complexe envers  ces autres’, d’après Plotnik.
Les  démonstrations de consolation réelle sont rares chez les animaux. C’est un comportement qui n’a été relevé que chez les grands singes, les canidés et certains corvidés. Cela pourrait être dû au fait que pouvoir consoler exige  des capacités cognitives complexes  telles que d’être doté de  l’empathie qui permet de faire sien  le point de vue d’un tiers.
Les éléphants sont connus pour leur comportement social complexe et pour la proximité  de leurs liens familiaux. Dans la nature, les chercheurs ont été témoins de phénomènes d’aide ciblée parmi les éléphants – c’est à dire  d’aide dirigée vers les besoins spécifiques des autres. Par exemple, des  éléphants pourront  aider à soulever un membre de leur famille blessé ou atteint dans son autonomie. Cette aide ciblée constitue un comportement rare et est considérée comme la marque d’une  prise de perspective empathique .
Pour Plotnik, ses  recherches ne se contentent pas de faire émerger  la convergence de l’évolution de l’intelligence chez les  éléphants et  chez les  primates mais elles sont partie prenante dans la protection des éléphants .  Il déclare : ‘En Asie,, nous sommes confrontés à des problèmes de conflit à grande échelle entre humains et  éléphants et de frustration devant notre incapacité à comprendre comment et pourquoi les éléphants attaquent les gens et saccagent les cultures.  Même si nous savons que la perte d’habitat naturel joue indéniablement un rôle de déclencheur de ces problèmes,  une meilleure appréhension de l’intelligence physique et sociale de l’éléphant pourrait vraiment nous aider à mettre au point des  protocoles globaux  de protection qui tiennent compte du point de vue des éléphants.’
Plotnik a fondé  Think Elephants International  dans le but de rattacher l’étude du comportement de l’éléphant à la protection de l’espèce et à l’éducation des humains. Cette association à but non lucratif se consacre à l’éducation des jeunes Thaïlandais, par le biais de leur participation directe à la  recherche scientifique,  sur les éléphants et  leurs difficultés. ‘Si nous pouvons changer la façon dont les jeunes considèrent ces animaux , alors nous aurons de bonnes chances de les protéger pour la génération à venir’, déclare-t-il.

TOUT A FAIT D' ACCORD MAIS ENTRE LES PARENTS ET LES PROFS QUI LE FERA...

SUPER VICTOIRE POUR LES ANTI CORRIDA!!!!

SOURCE

 

Communiqué de presse du CRAC Europe Procès de Dax : un camouflet sans précédent pour le monde de l’aficion

25 mars 2014, 06:19

Dax, le 24 mars 2014 – Un procès sans précédent s’est tenu à Dax aujourd’hui. Trois organisations de protection animale (le CRAC Europe, la Fondation Brigitte Bardot et Animaux en Péril) et quatre particuliers dont les représentants de ces organisations étaient cités à comparaître pour divers chefs d’inculpation à la suite de l’action anticorrida qui s’est tenue à Rion-des-Landes le 24 août 2013. Trois autres personnes étaient convoquées pour une action anti-corrida citoyenne datant de novembre 2013.

Rappel des évènements de Rion-des-Landes

Les manifestants non violents avaient formé une chaîne humaine sur la piste de l’arène pour tenter d’empêcher une corrida. Expulsés par les forces de l’ordre, ils étaient restés aux abords immédiats jusqu’à la sortie des spectateurs. Sept des manifestants avaient été gravement blessés, six par les forces de l’ordre et un par un aficionado qui a reconnu les faits.

A la suite de ces évènements, douze plaintes pour injures ont été déposées (onze par des spectateurs et une par le club taurin rionnais) à l’encontre de Jean-Pierre Garrigues, actuel président du CRAC Europe, ainsi que trois plaintes à l’encontre des trois associations en tant que personnes morales et de leur dirigeant ou représentant en tant que personnes physiques (Jean-Pierre Garrigues, Christophe Marie et Jean-Marc Montegnies) : la première pour manifestation interdite, la seconde pour entrave à la liberté de travail des toreros causée par cette manifestation et la troisième pour mise en danger de la vie d’autrui par utilisation de fumigènes lors de cette manifestation.

Une audience sous haute surveillance

Un dispositif de sécurité démesuré protégeait le palais de Justice de Dax – 300 CRS en tenue anti-émeute pour retenir une centaine de militants anticorridas venus soutenir les prévenus. Alors que l’audience était publique, les policiers avaient pour instruction de ne laisser entrer que les avocats et les prévenus. Un premier huissier a été appelé pour faire constater cette interdiction d’accès illégale mais a refusé d’agir. Un second a accepté et, sous sa pression, les forces de l’ordre ont finalement laissé passer quinze personnes parmi les anticorridas, la salle d’audience ayant une capacité d’une cinquantaine de places.

Au cours d’une excellente plaidoirie, Maître Phung, avocat du CRAC Europe, a souligné que le concept de manifestation n’était pas clairement défini dans le Code pénal. Une première QPC (question prioritaire de constitutionalité) a été déposée le 29 janvier 2014 en ce sens à Paris dans une autre affaire et Me Phung en a ajouté une seconde, l’une portant sur la notion de manifestation non déclarée et l’autre de manifestation interdite. De ce fait, les trois chefs d’inculpation relatifs à la manifestation et ses conséquences ne peuvent pas être jugés tant que le Conseil constitutionnel n’aura pas rendu sa décision ou que les procédures de QPC n’auront pas été rejetées. Le président a été contraint de sursoir à statuer et une nouvelle audience a été fixée au 22 septembre 2014 pour l’ensemble des dossiers concernés.

Le seul chef d’accusation restant à l’ordre du jour était celui des injures publiques. Interrogé à ce sujet, Jean-Pierre Garrigues a déclaré que non seulement il reconnaissait les faits mais qu’il les revendiquait. Avec une virulence caricaturale, le bâtonnier a considéré qu’il n’était permis à personne de traiter les aficionados de barbares, pervers, sadiques et parents dégénérés, martelant à plusieurs reprises que « le débat n’est pas ouvert », ce qui ne peut laisser de surprendre en démocratie. Il a même estimé que tenir de tels propos était du « terrorisme », une affirmation qu’aucun texte de loi ne vient étayer.

De façon inattendue, la procureure a pris la parole et a longuement soutenu les propos du bâtonnier alors que le Parquet n’intervient en théorie jamais dans les audiences pour injures ou diffamations. Me Phung le lui a fait remarquer avant de plaider sur le fond, estimant qu’il ne s’agissait pas d’injures mais d’imputations de faits précis, ce qui aurait dû les faire qualifier de diffamation (et non d’injures) par les plaignants. Or, en droit français, si la qualification est incorrecte, la relaxe s’impose. Pour justifier son analyse, Me Phung a souligné que, pour chacun des termes employés, Jean-Pierre Garrigues avait précisé dans les extraits enregistrés retenus par les plaignants pourquoi il les utilisait. L’avocat a fait remarquer qu’il s’agissait des définitions données par le dictionnaire, puisqu’ils découlaient tous du fait que la corrida est décrite par la loi comme relevant de sévices graves et actes de cruauté envers des animaux. Il a même repris à son compte les propos incriminés et a demandé la relaxe pure et simple de Jean-Pierre Garrigues.

Après délibération, le président a déclaré que ce dernier était coupable mais ne l’a condamné qu’à 300 euros d’amende et des dommages et intérêts d’un montant de 50 euros par plaignant, ce qui a causé la fureur des parties adverses. Cependant, considérant que cette condamnation, même si elle est dérisoire, est inacceptable sur le principe, le CRAC Europe va faire appel de cette décision.

De toute évidence, l’audience du 24 mars a été préparée par le Parquet dans la précipitation la plus totale. Plusieurs prévenus ont su qu’ils étaient convoqués à peine quelques jours avant leur comparution, au mépris des délais imposés par la loi. La sensation de flottement était palpable à plusieurs reprises et les maladresses de procédure se sont multipliées. Le but de la procureure était d’accabler les associations anticorridas et leurs représentants d’une accumulation de charges les plus lourdes possibles. La faiblesse de leur argumentation juridique a été habilement exploitée par Me Phung. Cette impréparation a abouti par tous ses aspects à un camouflet sans précédent pour le monde de l’aficion et se traduit par un nouveau pas vers la victoire, inéluctable à terme, de la cause anticorrida.


Roger Lahana
Vice-président du CRAC Europe
06 11 54 02 83
r.lahana@anticorrida.com

VICTOIRE CHAMBRES A GAZ DETRUITES EN OHIO

SOURCE
 ESPERONS QUE CELA SERVIRA D' EXEMPLE IL EN RESTE TANT... ESPERONS PLUS D' ADOPTIONS, MOINS D' ABANDONS ET UNE EUTHANASIE MOINS CRUELLE PARTOUT!!

DEMOLITION DES CHAMBRES A GAZ DANS L' OHIO

Animal lovers in Medina County, Ohio, had reason to rejoice this past weekend as the local animal shelter's gas chamber, which was used to kill countless homeless pets, was destroyed, reported Saturday's Cleveland.com.
Thirty members of the community took part in the destruction of the decades old chamber which had claimed thousands of lives - those who had a hands-on part in the destruction had donated funds to the Medina County Society for the Prevention of Cruelty to Animals for the opportunity to help destroy the device.
Sledgehammers were the tool of choice for the gas chamber's destruction - one man utilized a Sawzall to destroy the hoses and cords.
In January, an anonymous donor made a generous offer to the county...destroy the gas chamber and use it for scrap metal rather than putting it up for sale at an auction and $10,000 would be donated to the SPCA for the care of the cats.
Saturday's demolition party prompted both smiles and tears as the deadly chamber was finally eliminated for good.

dimanche 23 mars 2014

ACTION:14 PETITIONS POUR STOPPER L' EXPORT D' ANIMAUX AUSTRALIENS

lamb

 CELA DEVIENT DE PLUS EN PLUS CRUEL
 LES AUSTRALIENS EXPORTENT DES MILLIONS D' ANIMAUX VERS LES PAYS AFRICAINS, MOYEN ORIENTAUX ETC..
 ET ILS SONT EN TRAIN DE PLANIFIER DE NOUVEAUX MARCHES!!
 SIGNONS UN MAXIMUM POUR DÉMONTRER NOTRE  OPPOSITION!!
TONY ZADEL REVOIE AVEC SOIN CES PETITIONS REGULIEREMENT ET HELAS IL SEMBLE ENCORE MANQUER DES SIGNATURES
 SUR SA PAGE FACEBOOK POUR VOIR LA VIDEO D' UNE MALTRAITANCE CRUELLE AVANT ABATTAGE
 IL Y A DES VIDEOS SUR LA PLUPART DES PAGES DE SIGNATURES!!!


MERCI DE PARTICIPER EN SIGNANT ET EN PARTAGEANT!!!!


PLEASE SIGN & SHARE WIDELY & MASSIVELY THESE ➨14 VIP PETITIONS AGAINST THE GRUESOME LIVE EXPORT !
►PET.1 http://www.animalsaustralia.org/take_action/forgotten-animals-of-live-export-int/
►PET.2 http://www.thepetitionsite.com/takeaction/841/664/709/
►PET.3 http://www.banliveexport.com/1/#takeAction
►PET.4 http://www.animalsaustralia.org/take_action/live-export-MP-action/
►PET.5 http://action.ciwf.org.uk/ea-action/action?ea.client.id=119&ea.campaign.id=16369
►PET.6 http://www.banliveexport.com/take_action/tell-the-PM
►PET.7 http://www.BanLiveExport.com/goats
(Pet.7 Click First "STATE" Scroll to "Non Australian": "USE SAMPLE LETTER" and sign & send!)
►PET.8 http://www.banliveexport.com/take_action/call-for-animal-protection-egypt/
►PET.9 http://action.peta.org.uk/ea-action/action?ea.client.id=5&ea.campaign.id=19004
►PET.10 http://www.change.org/petitions/wto-stop-allowing-animal-factory-farming-and-live-export-trade-of-farm-animals
►PET.11 http://action.peta.org.uk/ea-action/action?ea.client.id=5&ea.campaign.id=15871
►PET.12 http://action.ciwf.org.uk/ea-action/action?ea.client.id=119&ea.campaign.id=23646
►PET.13 https://www.change.org/petitions/stop-live-exports-of-farmed-animals-from-the-uk-2
►PET.14 http://action.ciwf.org.uk/ea-action/action?ea.client.id=119&ea.campaign.id=25818
✦NEVER FORGIVE AND NEVER FORGET✦ WE MUST ALWAYS TAKE SIDES !
"Neutrality helps the oppressor, never the victim..silence encourages the tormentor, never the tormented."-Elie Wiesel.-
"His name was "Jacob" he was one of the many young steer and cows who being exported (LIVE-EXPORT) by vessel from an Australian farm..for the destination to Egypt for to be slaughtered on a religious ritual manner called "Halal"(Btw supposed to be with an benediction and with compassion..) for the local meat consumption..upon arrival he awaiting his fate in an "open abattoir" he has done nothing wrong and yet his eyes will be brutally stabbed by an cruel sadistic criminal boucher who has slashed first his leg tendons without any reason but for the sole purpose in order to inflict maximum pain and suffering and that the animal may not be able remain stable in balance..Jacob, the Australian young bull filmed at an Egyptian open slaughterhouse last month, spent his last horrific many minutes of life having his eyes stabbed and his leg tendons slashed. He had been forced into an appallingly cruel slaughter box, from which, in panic, he escaped, trying to run on three legs because one was already broken. His throat has been slashed and he ran with his head almost hanging off.. Jacob was a gentle, Western Australian Brahman innocent bull, who had done nothing wrong. He spent weeks on a Third World live export ship on his way to Egypt before facing this ultimate horror and depravity. this video (recorded with a smartphone supported by Animal Australia citizen for investigating where the offense was caught in the act) will remain for ever burn in my memory..!!!
✦Watch my video on Youtube (Petition link is also available under the video click "Show More" under the video)
HERE:➨http://youtu.be/fh0BzzMt78A
➨ MY REQUEST TO ALL OF YOU IS TO MAKE YOUR DUTY TO PLEASE SIGN & SHARE WIDELY THESE VIP PETITIONS !!!
➨ BACKGROUND-FACTS !
The shocking cruelty captured in Egypt's Ismailia abattoir shows an injured Australian steer stabbed in the eyes, and disabled by having his leg tendons slashed another story in another abattoir in Sokhna (Egypt) shows the same sadistic pervert behavior on Australian exported farm animals.Animals Australia's latest live export investigation on May 09-2013 revealed terrified animals making desperate efforts to escape after having their throats cut open; others with eyes stabbed; leg tendons slashed; and being butchered while still alive... This is the nightmare endured by animals who were exported live from Australia to Egypt.watch the investigation video here: ➨ https://vimeo.com/65359857
✦✦I beg you citizen of the world and especially the Australians..do your duty and take action! we must do everything we can to stop immediately these gruesome exports of terror into these underdeveloped countries where there is no rule of law protecting animals and where the government are corrupted and are closing their eyes and where the local authorities has no control over its people's lack of empathy towards innocents animals ! it is not the first time it has happened (quite the contrary.. ! watch more infos on my link from my facebook page-link indicated below) First these poor animals are crammed in atrocious conditions on vessels for more than three weeks, where several succumb even before arrived at destination ..many of them are dying underway deprived from water & food and from stress ! and the ones who survived the trip .. upon arrival the worst hell nightmare begins ! !!enough is enough! we must abolish these export of torture In all these uncivilized countries and where most of them are ritual slaughtered "halal"
✦So far over 950,000 people signed the petitions requesting immediately the completely halt of such gruesome exports, please make an effort to achieve the goal of one million signatures ! i beg to all of you also the ones who are never signing petitions to make this time an exception and to sign & share massively these petitions in total there are 10 petitions and it takes less than 5 minutes to sign them all ! thank you in advance!
✦MORE INFOS HERE:▬▬►https://www.facebook.com/photo.php?fbid=318596991604067&set=a.110440022419766.11614.100003613067737
✦AND HERE:▬▬▬►https://www.facebook.com/photo.php?fbid=287401301390303&set=a.110440022419766.11614.100003613067737
Thank You~Tony Zadel - Copyright(©) —