Le collectif 36 de protection contre les euthanasies animales saisit l’opportunité des élections municipales pour interpeller les candidats.
En septembre 2013, des adhérents de la SPA et des sympathisants de la cause animale se sont fédérés en un collectif 36 pour « dénoncer les pratiques de la SPA de l'Indre ». Ses membres s'émeuvent notamment « du nombre inacceptable d'euthanasies pratiquées depuis des années ».
« Sur 1.840 entrées, 1.153 chiens et chats ont été euthanasiés en 2012, constate M. Verdier, l'un des membres. Ce sont des euthanasies de commodités. Rien n'est fait pour que ces animaux soient adoptés et les campagnes de stérilisation sont un véritable échec. »
Le collectif 36 s'étonne également que « la SPA ne tienne pas de comptabilité distincte comme ses statuts l'y obligent, pour le refuge d'une part et la fourrière d'autre part ».
« Nous voudrions que les maires qui confient une mission de service public à la SPA, pour la fourrière, prennent une position plus claire sur son fonctionnement. Dans le même sens, nous nous adressons aux candidats sur cette question et sur celle des euthanasies massives et attendons leurs réponses à nos propositions : ouverture plus large du refuge aux bénévoles, qui offrirait une amplitude plus large des heures d'ouverture et la multiplication de journées portes ouvertes pour les adoptions ; mise en place d'un système de parrainage au profit des animaux du refuge en attendant leur adoption ; éducation civique au respect des animaux et de la nature, dès l'école primaire et, pourquoi pas, dans le cade de la loi sur les rythmes scolaires ; mise en place d'un centre départemental de stérilisation et de campagnes de stérilisation de chats errants avec retour dans leur milieu naturel »
Le collectif a écrit à 170 candidats et maires, et joint une pétition sur le problème des euthanasies massives signée par 700 personnes. Il s'est étonné également auprès des deux sénateurs de l'Indre que ce soit un sénateur des Bouches-du-Rhône, Roland Povinelli, dans une question écrite au gouvernement, qui ait pointé du doigt la SPA de l'Indre, sur les euthanasies massives de cette structure.
« Sur 1.840 entrées, 1.153 chiens et chats ont été euthanasiés en 2012, constate M. Verdier, l'un des membres. Ce sont des euthanasies de commodités. Rien n'est fait pour que ces animaux soient adoptés et les campagnes de stérilisation sont un véritable échec. »
Le collectif 36 s'étonne également que « la SPA ne tienne pas de comptabilité distincte comme ses statuts l'y obligent, pour le refuge d'une part et la fourrière d'autre part ».
« Nous voudrions que les maires qui confient une mission de service public à la SPA, pour la fourrière, prennent une position plus claire sur son fonctionnement. Dans le même sens, nous nous adressons aux candidats sur cette question et sur celle des euthanasies massives et attendons leurs réponses à nos propositions : ouverture plus large du refuge aux bénévoles, qui offrirait une amplitude plus large des heures d'ouverture et la multiplication de journées portes ouvertes pour les adoptions ; mise en place d'un système de parrainage au profit des animaux du refuge en attendant leur adoption ; éducation civique au respect des animaux et de la nature, dès l'école primaire et, pourquoi pas, dans le cade de la loi sur les rythmes scolaires ; mise en place d'un centre départemental de stérilisation et de campagnes de stérilisation de chats errants avec retour dans leur milieu naturel »
Le collectif a écrit à 170 candidats et maires, et joint une pétition sur le problème des euthanasies massives signée par 700 personnes. Il s'est étonné également auprès des deux sénateurs de l'Indre que ce soit un sénateur des Bouches-du-Rhône, Roland Povinelli, dans une question écrite au gouvernement, qui ait pointé du doigt la SPA de l'Indre, sur les euthanasies massives de cette structure.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire