ACTION: CONTRE LA PORCHERIE INDUSTRIELLE DE HEURINGHEIM

SOURCE  page facebook

Plus que jamais d'actualité, LES TRAVAUX DE LA
PORCHERIE INDUSTRIELLE D’HEURINGHEM
SONT STOPPES !!!

Le Tribunal Administratif de Lille a suspendu le 28 octobre 2013 l’exécution du permis de construire tacite délivré le 8 septembre à l’EARL Bridault-Chevalier !...
En clair, les travaux sont stoppés jusqu’à ce que ce même Tribunal Administratif se prononce sur le fond du dossier du permis de construire, suite au recours déposé par des habitants d’Heuringhem et d’ Ecques, adhérents d’AIVES, ainsi que notre forte mobilisation!!!!

CONTINUONS A NOUS MOBILISER:
NON A L'USINE DE 4000 COCHONS A HEURINGHEM, lettre à envoyer+ photos chocs
Voici le mail du maire d'Heuringhem: mairie.heuringhem@wanadoo.fr
Préfet du Pas de Calais Monsieur Denis Robin: http://www.pas-de-calais.gouv.fr/Contactez-nous/Autres
l'adresse mail du ministre de l'agriculture:
cab-presse.agripeche@agriculture.gouv.fr

http://contacts.application.developpement-durable.gouv.fr/contact/contacts.jsp


Je me permets de vous contacter à propos de l'usine à cochons prévue dans la commune d'heuringhem, c'est inhumain , ce projet ne doit pas voir le jour.


L’élevage industriel :

95% sont dans des bâtiments surpeuplés, sur caillebotis, sans paille, mutilés...
Des conditions d'élevage inacceptables
Les porcelets sont retirés de leur mère vers trois/quatre semaines, alors que l'âge naturel de sevrage se situe vers 3-4 mois. Ils sont mis dans des groupes destinés à l'engraissement. Le stress, la maladie et les conflits surviennent souvent lorsque les porcelets sevrés sont brusquement mélangés avec des porcelets non familiers.
Dans leur première semaine de vie, les porcelets subissent :
•la coupe ou le meulage des dents ;
•la coupe de leur queue ;
•la castration pour les mâles.
Ces opérations sont quasi systématiques en France, sans prise en charge de la douleur.
Un environnement appauvri
Les porcs sont élevés à l'intérieur, souvent dans des bâtiments surpeuplés, sur du béton nu ou sur caillebotis intégral (sol ajouré pour évacuer les excréments), sans litière. Depuis 2003, le « milieu de vie » des cochons doit être enrichi par des matériaux permettant des activités de recherche et de manipulation : paille, foin, bois, sciure... Dans les faits, peu d'élevages se conforment à cette obligation communautaire ou bien optent pour des objets inadaptés, tels que des chaînes. Ces objets ne permettent pas des activités de recherche et de manipulation suffisantes. Par ennui et frustration, les porcs se tournent vers la seule autre «chose» dans leurs enclos nu : ils mâchent puis mordent les queues des autres porcs.
La coupe des queues
Pour prévenir ces troubles du comportement imputables aux mauvaises conditions d’élevage, les éleveurs coupent à vif les queues des porcelets. Selon la réglementation en vigueur, cette opération ne devrait pas être systématique. Pourtant elle l’est dans la majorité des cas.
La castration des mâles
La chair des porcs est susceptible de dégager en cours de cuisson une odeur désagréable. Bien que cette odeur ne se développe que chez un faible pourcentage de mâles non castrés, en France, on castre la quasi-totalité des porcs sans prise en charge de la douleur. D’autres pays ont développé des alternatives à la castration :

•La castration a été interdite en Norvège en 2009.
•Au Pays-Bas et en Suisse, l'anesthésie est obligatoire avant la castration depuis respectivement le 1er janvier 2009 et 2010.
•La castration n'est généralement pas effectuée au Royaume-Uni ni en Irlande.
•La majorité des porcs mâles en Espagne et au Portugal ne sont pas castrés.

On savait cette porcherie industrielle d’Heuringhem potentiellement très dangereuse pour l’homme car
capable de faire apparaître des virus mosaïques hautement pathogènes et très contagieux en raison de la
proximité de l’élevage de 1500 poules pondeuses !
Inutile en effet de mettre côte à côte un potentiel réservoir de virus de type H1N1 (très contagieux mais peu
agressifs) au niveau de la porcherie et un potentiel réservoir de virus de type aviaire H5N1 (peu contagieux
mais très virulent) au niveau du poulailler !
Ce que des chercheurs ont réussi à faire en laboratoire avec ces deux types de virus, c’est à dire créer un
nouveau virus mosaïque hautement pathogène et très contagieux, Dame Nature peut également le faire pour
peu qu’on lui en donne tous les moyens !!! Ce serait une catastrophe pour l’Homme !

Monsieur, je compte sur votre humanité pour que ce projet ne se réalise pas. Il est grand temps de réagir, l'être animal ne doit pas être exploité, ce projet d'usine à cochons est purement et simplement de la folie, vis à vis des animaux , de l'environnement, ainsi que de la santé des habitants.

Cordialement.