Association Stéphane Lamart protection animale toutes espèces confondues, et anti corrida.
Pas de souffrance dans mon assiette ! Pourquoi devenir végétarien ?
L’amour des animaux et l’attention que nous accordons à leur souffrance est ce qui nous réunit toutes et tous, au sein de mon association. Cependant, sommes-nous bien toutes et tous conscients que la première source de souffrance animale dans le monde comme en France est… la consommation de viande ? Trois millions d’animaux sont tués chaque jour dans les abattoirs de notre pays, sans compter les poissons qui ne sont comptabilisés qu’à la tonne. Devenez végétarien(ne) et vous sauverez environ 95 animaux par an, sans bouger de votre cuisine !
Les animaux qui se retrouvent dans nos assiettes ne sont pas des animaux que l’on a trouvé morts par hasard un beau matin, au détour d’une promenade. Il ont été conçus, élevés, transportés et abattus spécialement pour être tués et mangés. Actuellement, le mode d’élevage le plus répandu est l’élevage industriel : quoique puisse vous dire votre boucher de quartier, c’est statistique, 9 animaux sur 10 en proviennent. L’élevage industriel consistant à produire une viande la moins chère possible pour le consommateur, on réduit les coûts de production au minimum.
Les animaux sont enfermés toute leur courte existence dans des bâtiments fermés, sans pouvoir sentir la lumière du soleil sur leur peau, ni l’herbe sous leurs pieds. Confinés dans un espace d’approximativement la surface de leur corps, vaches, cochons etc n’ont pour occupation que de mordre les chaînes et les barreaux de leurs boxes. Ils sont mutilés sans anesthésie, notamment pour les empêcher de se blesser mutuellement lorsque, devenus fous d’ennui et de frustration, ils se mettent à se battre entre eux. Pour une croissance plus rapide, ils sont nourris d’aliments artificiels de très mauvaise qualité, ainsi que d’antibiotiques et autres médicaments destinés à leur faire prendre du poids le plus rapidement possible.
Souvent, leur organisme ne suit pas cette croissance trop rapide : le cœur lâche, les membres cèdent et les animaux meurent écrasés par leur propre corps.
Il existe des élevages « en plein air » et « biologiques » où les animaux ont la chance de pouvoir vivre une vie plus conforme à leurs besoins naturels avant d’être tués. Mais cela ne change rien aux horreurs du transport et de la mise à mort.
Lorsque l’animal est jugé assez gros, il est emmené à l’abattoir. Sa première et dernière sortie est un enfer : n’étant déjà plus que de la viande sur pattes, il est entassé sans ménagement, avec des dizaines de ses congénères, dans un camion où il ne recevra ni eau ni nourriture. Dans ces camions de la mort, qui peuvent faire des milliers de kilomètres avant d’atteindre l’abattoir, les animaux sont tellement serrés les uns contre les autres que leurs organes et intestins, trop comprimés, ressortent parfois par leurs anus. Beaucoup de ces animaux ne survivent pas à ce voyage. Mais pour ceux qui arrivent vivants à l’abattoir, c’est l’horreur ultime, qui vient terminer une vie entière de souffrances. Les animaux, qui sentent l’odeur du sang et entendent les cris de leurs congénères en train de se faire tuer, sont traînés et frappés jusqu’aux chaînes d’abattage.
Ils sont ensuite (selon les espèces, les méthodes d’abattage diffèrent) assommés, décapités ou électrocutés avant d’être ébouillantés, égorgés ou abattus à coups de pistolet. Souvent, à cause de la trop grande rapidité des chaînes d’abattage ou parce que l’animal, complètement affolé, tourne la tête « au mauvais moment », l’étape d’étourdissement est manquée et l’animal se fait vider de son sang, couper en deux ou ébouillanter alors qu’il est encore conscient. Les contrôles vétérinaires existent bien, mais sont plus focalisés sur l’hygiène des installations et la qualité sanitaire de la viande que sur la réduction de la souffrance animale.
En ce qui concerne les poissons, le fait qu’ils vivent dans l’eau et ne crient pas ne signifient pas qu’ils souffrent moins. Sensibles comme nous aux seuils de décompression sous-marins, leurs organes explosent à l’intérieur de leurs corps lorsqu’ils sont remontés dans un filet à la surface de l’eau. Sortis de leur élément naturel, ils ne peuvent plus respirer et agonisent pendant de longues minutes sur les ponts des bateaux de pêche, et même parfois encore sur les étals des poissonniers.
Pourtant, ni la viande ni le poisson (ni les « fruits de mer », qui sont aussi des animaux qui souffrent quand on les tue) ne sont nécessaires à notre équilibre nutritionnel ni à notre santé. Il faut en terminer une bonne fois pour toutes avec le préjugé tenace qui tend à confondre protéines et viande. Le règne végétal est tout aussi capable d'apporter, en qualité et en quantité, les protéines et acides aminés nécessaires à notre organisme. Du point de vue nutritionnel peu importe la source de la protéine, végétale ou animale, seule compte l'efficacité. Il faut noter qu'en moyenne, les consommateurs de viande absorbent le double de la ration protéinique recommandée, ce qui peut entraîner des maladies : arthritisme, maladies cardio-vasculaires, certains cancers, obésité...
La diététique officielle condamne d’ailleurs l'excès de consommation de viande. Par ailleurs, manger de cette chair morte n’est pas « naturel. La denture, l'estomac et l'intestin de l'homme sont très différents de ceux des carnivores. L'intestin en particulier ne mesure que quatre à cinq fois la longueur du corps chez ces derniers, contre dix à douze fois chez l'homme. Ce parcours est trop long pour la viande qui a ainsi le temps de libérer ses toxines qui sont absorbées par la muqueuse intestinale avant de passer dans le sang. Ces déchets toxiques (urates, acide lactique, corps gras saturés, albumine) et les purines de la viande sont très difficiles à éliminer par le foie et les reins. Ce surcroît de travail fatigue et encrasse à la longue ces organes, provoquant parfois des maladies. A l’inverse, les végétarien(ne)s vivent en moyenne six ans de plus que les omnivores, et souvent en bien meilleure santé !
La consommation de viande est également mauvaise pour les pays en voie de développement, qui vendent leurs céréales aux pays industrialisés comme la France pour qu’ils puissent nourrir leur bétail (ce qui est injuste car ces pays, souffrant souvent de famines chroniques, pourraient garder ces céréales pour eux-mêmes).
Enfin, la consommation de viande est très nuisible à l’environnement, l’élevage industriel étant extrêmement polluant (les lisiers contaminent les nappes phréatiques et les rivières), et synonyme de gaspillage. Saviez-vous que quand on consomme un steak, on "dépense" en moyenne 60 fois plus d'eau que si l'on mange une galette de blé, de riz, ou de soja ? Il faut en effet 100 000 litres d'eau pour produire 1 kg de viande de boeuf, alors que 1 000 à 2000 litres suffisent pour produire 1 kg de blé, riz ou soja. (source : Sciences & Vie - avril 1997). Avec les ressources que l’on consacre à nourrir une personne mangeant de la viande, on pourrait nourrir 7 végétariens.
N’hésitez donc plus : comme moi et des millions d’autres personnes de compassion à travers le monde, devenez végétarien(ne) ! Vous vous régalerez d’une cuisine saine et savoureuse, excellente pour la santé, tout en sauvant les animaux et en exerçant une influence positive sur l’environnement ainsi que sur les pays pauvres. Pour vous documenter davantage sur le sujet et trouver des recettes, rendez-vous sur http://www.vegetarisme.fr et sur http://www.petafrance.com
(qui propose un « kit du végétarien en herbe »).
L’amour des animaux et l’attention que nous accordons à leur souffrance est ce qui nous réunit toutes et tous, au sein de mon association. Cependant, sommes-nous bien toutes et tous conscients que la première source de souffrance animale dans le monde comme en France est… la consommation de viande ? Trois millions d’animaux sont tués chaque jour dans les abattoirs de notre pays, sans compter les poissons qui ne sont comptabilisés qu’à la tonne. Devenez végétarien(ne) et vous sauverez environ 95 animaux par an, sans bouger de votre cuisine !
Les animaux qui se retrouvent dans nos assiettes ne sont pas des animaux que l’on a trouvé morts par hasard un beau matin, au détour d’une promenade. Il ont été conçus, élevés, transportés et abattus spécialement pour être tués et mangés. Actuellement, le mode d’élevage le plus répandu est l’élevage industriel : quoique puisse vous dire votre boucher de quartier, c’est statistique, 9 animaux sur 10 en proviennent. L’élevage industriel consistant à produire une viande la moins chère possible pour le consommateur, on réduit les coûts de production au minimum.
Les animaux sont enfermés toute leur courte existence dans des bâtiments fermés, sans pouvoir sentir la lumière du soleil sur leur peau, ni l’herbe sous leurs pieds. Confinés dans un espace d’approximativement la surface de leur corps, vaches, cochons etc n’ont pour occupation que de mordre les chaînes et les barreaux de leurs boxes. Ils sont mutilés sans anesthésie, notamment pour les empêcher de se blesser mutuellement lorsque, devenus fous d’ennui et de frustration, ils se mettent à se battre entre eux. Pour une croissance plus rapide, ils sont nourris d’aliments artificiels de très mauvaise qualité, ainsi que d’antibiotiques et autres médicaments destinés à leur faire prendre du poids le plus rapidement possible.
Souvent, leur organisme ne suit pas cette croissance trop rapide : le cœur lâche, les membres cèdent et les animaux meurent écrasés par leur propre corps.
Il existe des élevages « en plein air » et « biologiques » où les animaux ont la chance de pouvoir vivre une vie plus conforme à leurs besoins naturels avant d’être tués. Mais cela ne change rien aux horreurs du transport et de la mise à mort.
Lorsque l’animal est jugé assez gros, il est emmené à l’abattoir. Sa première et dernière sortie est un enfer : n’étant déjà plus que de la viande sur pattes, il est entassé sans ménagement, avec des dizaines de ses congénères, dans un camion où il ne recevra ni eau ni nourriture. Dans ces camions de la mort, qui peuvent faire des milliers de kilomètres avant d’atteindre l’abattoir, les animaux sont tellement serrés les uns contre les autres que leurs organes et intestins, trop comprimés, ressortent parfois par leurs anus. Beaucoup de ces animaux ne survivent pas à ce voyage. Mais pour ceux qui arrivent vivants à l’abattoir, c’est l’horreur ultime, qui vient terminer une vie entière de souffrances. Les animaux, qui sentent l’odeur du sang et entendent les cris de leurs congénères en train de se faire tuer, sont traînés et frappés jusqu’aux chaînes d’abattage.
Ils sont ensuite (selon les espèces, les méthodes d’abattage diffèrent) assommés, décapités ou électrocutés avant d’être ébouillantés, égorgés ou abattus à coups de pistolet. Souvent, à cause de la trop grande rapidité des chaînes d’abattage ou parce que l’animal, complètement affolé, tourne la tête « au mauvais moment », l’étape d’étourdissement est manquée et l’animal se fait vider de son sang, couper en deux ou ébouillanter alors qu’il est encore conscient. Les contrôles vétérinaires existent bien, mais sont plus focalisés sur l’hygiène des installations et la qualité sanitaire de la viande que sur la réduction de la souffrance animale.
En ce qui concerne les poissons, le fait qu’ils vivent dans l’eau et ne crient pas ne signifient pas qu’ils souffrent moins. Sensibles comme nous aux seuils de décompression sous-marins, leurs organes explosent à l’intérieur de leurs corps lorsqu’ils sont remontés dans un filet à la surface de l’eau. Sortis de leur élément naturel, ils ne peuvent plus respirer et agonisent pendant de longues minutes sur les ponts des bateaux de pêche, et même parfois encore sur les étals des poissonniers.
Pourtant, ni la viande ni le poisson (ni les « fruits de mer », qui sont aussi des animaux qui souffrent quand on les tue) ne sont nécessaires à notre équilibre nutritionnel ni à notre santé. Il faut en terminer une bonne fois pour toutes avec le préjugé tenace qui tend à confondre protéines et viande. Le règne végétal est tout aussi capable d'apporter, en qualité et en quantité, les protéines et acides aminés nécessaires à notre organisme. Du point de vue nutritionnel peu importe la source de la protéine, végétale ou animale, seule compte l'efficacité. Il faut noter qu'en moyenne, les consommateurs de viande absorbent le double de la ration protéinique recommandée, ce qui peut entraîner des maladies : arthritisme, maladies cardio-vasculaires, certains cancers, obésité...
La diététique officielle condamne d’ailleurs l'excès de consommation de viande. Par ailleurs, manger de cette chair morte n’est pas « naturel. La denture, l'estomac et l'intestin de l'homme sont très différents de ceux des carnivores. L'intestin en particulier ne mesure que quatre à cinq fois la longueur du corps chez ces derniers, contre dix à douze fois chez l'homme. Ce parcours est trop long pour la viande qui a ainsi le temps de libérer ses toxines qui sont absorbées par la muqueuse intestinale avant de passer dans le sang. Ces déchets toxiques (urates, acide lactique, corps gras saturés, albumine) et les purines de la viande sont très difficiles à éliminer par le foie et les reins. Ce surcroît de travail fatigue et encrasse à la longue ces organes, provoquant parfois des maladies. A l’inverse, les végétarien(ne)s vivent en moyenne six ans de plus que les omnivores, et souvent en bien meilleure santé !
La consommation de viande est également mauvaise pour les pays en voie de développement, qui vendent leurs céréales aux pays industrialisés comme la France pour qu’ils puissent nourrir leur bétail (ce qui est injuste car ces pays, souffrant souvent de famines chroniques, pourraient garder ces céréales pour eux-mêmes).
Enfin, la consommation de viande est très nuisible à l’environnement, l’élevage industriel étant extrêmement polluant (les lisiers contaminent les nappes phréatiques et les rivières), et synonyme de gaspillage. Saviez-vous que quand on consomme un steak, on "dépense" en moyenne 60 fois plus d'eau que si l'on mange une galette de blé, de riz, ou de soja ? Il faut en effet 100 000 litres d'eau pour produire 1 kg de viande de boeuf, alors que 1 000 à 2000 litres suffisent pour produire 1 kg de blé, riz ou soja. (source : Sciences & Vie - avril 1997). Avec les ressources que l’on consacre à nourrir une personne mangeant de la viande, on pourrait nourrir 7 végétariens.
N’hésitez donc plus : comme moi et des millions d’autres personnes de compassion à travers le monde, devenez végétarien(ne) ! Vous vous régalerez d’une cuisine saine et savoureuse, excellente pour la santé, tout en sauvant les animaux et en exerçant une influence positive sur l’environnement ainsi que sur les pays pauvres. Pour vous documenter davantage sur le sujet et trouver des recettes, rendez-vous sur http://www.vegetarisme.fr et sur http://www.petafrance.com
(qui propose un « kit du végétarien en herbe »).
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