SOURCE ET SUITE
AVEC VIDEO
LA MANIFESTATION DU 18 FEVRIER EST MAINTENUE BIEN SUR..
PAGE FACEBOOK POUR SUIVRE LES EVENEMENTS EN COURS ET A VENIR..
POUR SIGNER LA PETITION C' EST ICI
Les 380 vaches charolaises sont sous la double
surveillance d'un collectif et des autorités de l'Etat. Des carences
avaient été constatées. Durant ces jours de grand froid, les protecteurs
du troupeau ont veillé sur elles
POST À L'INTENTION DES SERVICES OFFICIELS
Messieurs, voici ce que vous auriez vu durant tout le mois de janvier si vous vous étiez déplacés.
NOUS AFFIRMONS UNE NOUVELLE FOIS QUE LES BÊTES D'HAUTOT NE SONT PAS ÉLEVÉES DANS LES RÈGLES DU BIEN ÊTRE-ANIMAL.
Les mangeoires et abreuvoirs ne peuvent pas être remplis uniquement lorsque l'on alerte les réseaux et les médias!!
VENEZ NOMBREUX LE 18 FÉVRIER 11H À DIEPPE. DÉPART DÉBUT GRAND RUE.
Messieurs, voici ce que vous auriez vu durant tout le mois de janvier si vous vous étiez déplacés.
NOUS AFFIRMONS UNE NOUVELLE FOIS QUE LES BÊTES D'HAUTOT NE SONT PAS ÉLEVÉES DANS LES RÈGLES DU BIEN ÊTRE-ANIMAL.
Les mangeoires et abreuvoirs ne peuvent pas être remplis uniquement lorsque l'on alerte les réseaux et les médias!!
VENEZ NOMBREUX LE 18 FÉVRIER 11H À DIEPPE. DÉPART DÉBUT GRAND RUE.
Intervenants :
Sophie Vermander, collectif "sauvons les vaches d'Hautot-sur-Mer", Justine Scherer, collectif "sauvons les vaches d'Hautot-sur-Mer", Benoit Tribillac, directeur de la direction départementale de la protection des populations
De l'eau, de la paille et un abri. C'est le besoin quotidien du bétail.
Le troupeau d'Hautot-sur-Mer est bien visible de la route. Les bénévoles du collectif "sauvons le troupeau d'Hautot-sur-Mer" se relaient pour observer les conditions de vie des vaches charolaises.
Un "aiguillon" qui incite visiblement les éleveurs à apporter les soins nécessaires à leurs animaux.
Depuis plusieurs mois, le sort des ces animaux est relayé par les médias et soutenu par les réseaux sociaux. Un rassemblement aura lieu à Dieppe le 18 février prochain pour sensibiliser sur cette cause.
En juin 2016, une expertise, diligentée par la préfecture de Seine-Maritime avait mis "en évidence des carences dans la conduite du troupeau et conclut à la nécessité de mettre en place certaines mesures."
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