SOURCE ET SUITE
NE REVONS PAS TROP VITE.. IL VA Y AVOIR TELLEMENT DE PRESSIONS POUR EMPECHER CE PROJET DE CAMERAS DE SURVEILLANCE
..
ET LES DEUX AUTRES TOUT AUSSI IMPORTANTS.. ABATTAGE RITUEL ET FEMELLES EN GESTATION!!!!!!
A SUIVRE DONC... RV DANS SIX SEMAINES...
L'Assemblée nationale a voté de façon inattendue jeudi soir
l'obligation d'installer des caméras de surveillance dans les abattoirs à
partir de 2018, souhaitée par les radicaux de gauche et les
associations de protection animale.
Bêtes mal étourdies, accrochées vivantes... Les images chocs
diffusées début 2016 par l'association L214 avaient suscité beaucoup
d'émotion et entraîné un plan gouvernemental en faveur du bien-être
animal.
Et les députés avaient mis cette question au coeur d'une commission
d'enquête, dont a découlé une proposition de loi portée par Olivier
Falorni (DVG) et son groupe des radicaux de gauche, comprenant cette
mesure phare sur les caméras dans les abattoirs.
À partir du 1er janvier 2018, et à l'issue d'une expérimentation,
"des caméras (seront) installées dans tous les lieux d'acheminement,
d'hébergement, d'immobilisation, d'étourdissement, d'abattage et de mise à mort des
animaux", stipule la disposition adoptée, à laquelle se sont finalement
ralliés les socialistes et le gouvernement.
L'expérimentation devra permettre "d'évaluer l'opportunité et les
conditions de la mise en place" des caméras, ont fait préciser les
socialistes via un amendement à ce texte examiné en première lecture.
Il est cependant loin d'être certain que la proposition de loi puisse
être définitivement adoptée d'ici à la fin de la législature dans six
semaines.
"Nous sommes déjà dans des discussions pour des expérimentations
(...) Actons le fait que ça va se généraliser", a plaidé le ministre de
l'Agriculture Stéphane Le Foll après une interruption de séance, alors
qu'il s'était montré prudent jusqu'alors, invoquant "la crise de
l'élevage" et le "respect des travailleurs" dans les abattoirs....
.....
Un comité national d'éthique des abattoirs sera créé au sein du
Conseil national de l'alimentation. Les députés ont aussi voté pour un
rapport sur les modalités d'une possible interdiction de l'abattage des
femelles en gestation.
Les parlementaires ont longuement débattu de l'abattage rituel. "Nous
sommes en train de travailler avec les cultes", a noté le ministre.
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