Les animaux sont gavés de produits chimiques ou d'hormones. ils sont vaccinés, pulvérisés d' insecticides, les locaux ou ils séjournent également.... De plus ils vivent dans des lieux quio restent tt de même insalubres.
Les conditions d' abattage sont délirantes, causent du stress , et le confinement véhicule les virus qui passent inlassablement d' un animal à un autre.
Bref, la viande si vous réfléchissez un peu (et ce n' est pas difficile je suppose apres avoir regardé les photos ou les vidéos du blog) c' est un paquet de microbes qui pulullent.
La viande traine par terre, Elle reste en tas sans considérer les conditions atmosphériques, trop de chaleur en été par exemple...avant chargement et déchargement dans les rues, trainent sur les trottoirs ou les sentrepots..
BREF, JE NE VOUS FAIS PAS D' IMAGES, VOUS POUVEZ PT ETRE IMAGINER...
MAIS VOICI UN ARTICLE SUR LA SOURCE ET LA SUITE DE L' EXTRAIT :
Peut-être verrons-nous un jour, un peu comme sur les paquets de cigarettes des avertissements sur la viande disant : Le danger croît avec l’usage ou Éviter d’avaler! La chair animale grouille de bactéries, de virus et d’isotopes radioactifs. Elle baigne dans les pesticides et les résidus de pollution. On maquille le morceau putrescent d’additifs chimiques afin de masquer l’odeur et la couleur du macchabée.
Le staphylocoque provoque la diarrhée, des douleurs abdominales, des vomissements et de la fièvre. Ces symptômes peuvent apparaître de une à six heures après la consommation et restent présents pendant vingt heures. On la retrouve dans la dinde, le poulet, la mayonnaise à base d’oeuf. L' escherichia coli est liée à la maladie du hamburger mais peut aussi se développer dans la viande de veau, de porc, d’agneau et dans la volaille. Les symptômes apparaissent de 2 à 10 jours après la consommation d’aliments contaminés et consistent en de fortes douleurs abdominales suivies de diarrhée sanguinolente. Il peut aussi y avoir des nausées, des vomissements et de la fièvre. On soupçonne cette maladie d’être responsable du décès de 13 personnes au Québec, entre 1989 et 1994. Le clostridium perfringens nage dans les plats cuisinés en sauce surtout les sauces à la viande. Douleurs abdominales, diarrhées, vomissements et la dysenterie apparaissent de 8 à 12 heures après la consommation et peuvent durer jusqu’à 24 heures. La salmonelle est la bactérie la plus souvent en cause lors d’intoxication et se retrouve surtout dans la volaille, les oeufs, la viande et les produits laitiers conservés à une température inadéquate. L’intoxication se manifeste par de la diarrhée, des vomissements, une irritation excessive du système digestif provoquant des saignements dans les selles ainsi que de la fièvre. Ces symptômes apparaissent de 8 à 48 heures après la consommation et peuvent durer de 5 à 7 jours. Depuis le printemps 96, une épidémie de salmonellose frappe l’Abitibi-Témiscamingue, la région des Laurentides et le Nord-Est ontarien. Cette salmonella enteritidis de lysotope 4" se transmet, croit-on, par les oeufs crus ou partiellement cuits. Des milliers de personnes ont été indisposées par cette toxi-infection et plus de 100,000 poules pondeuses furent abattues dans trois fermes avicoles de l’Abitibi. Le bacille botulique est dû aux conserves maison et aux techniques de préparation du poisson et autres gibiers. L’incubation est de 12 à 36 heures et les symptômes peuvent durer plusieurs semaines, voire des mois. L’intoxication se manifeste entre autres par une paralysie respiratoire. Les mollusques peuvent aussi produire une intoxication paralysante due aux toxines d’une algue dont se nourrit le mollusque. La listeria se retrouve principalement dans le poulet et certains fromages provoquant la diarrhée et la méningite. Son temps d’incubation est de un à cinq jours et les symptômes peuvent durer jusqu’à un mois. La francisella tularenis est une bactérie affectant le gibier et tout particulièrement le lièvre. Elle cause de la fatigue extrême, une fièvre très élevée, des vomissements ; ces symptômes pouvant durer jusqu’à un mois. Son temps d’incubation est de deux à quatre jours. Certaines bactéries se retrouvent non seulement dans la chair animale mais aussi dans l’environnement et les cours d’eau. La yersinia, par exemple, est reliée au porc, tellement qu’elle est pratiquement absente des pays musulmans ! Des études scandinaves ont démontré que les travailleurs d’abattoirs et les bouchers étaient particulièrement à risque. Cette bactérie qui peut se reproduire à des températures très froides, peut aussi survivre longtemps dans l’environnement, particulièrement dans les cours d’eau qu’elle contamine par l’épandage, le déversement, etc. Le protozoaire giardia a aussi une relation directe avec l’espèce porcine.
CONTAMINATION RADIOACTIVE
Les fuites radioactives des centrales nucléaires, les essais nucléaires, les rayons X, les mammographies, l’alimentation carnée, la cigarette nous exposent à des isotopes radioactifs qui émettent des radiations. (Selon de Dr Schechter, un paquet de cigarettes par jour équivaut pour le fumeur à recevoir 300 rayons X par année sur la poitrine).( 1 ) Les cancéreux reçoivent aussi des doses de radiations : cobalt 60, iridium 192 ou césium 137. L’iode 131 est administré pour les cancers thyroïdiens et le phosphore 32 dans les syndromes myéloprolifératifs (en rapport avec la moelle osseuse). ( 2 ) De façon générale, les aliments situés au bas de la chaîne alimentaire sont moins contaminés que ceux situés plus élevés sur cette chaîne, tels le lait ou la viande. Par exemple, le lait est le principal agent conducteur du strontium 90 (le plomb est aussi plus rapidement absorbé par notre organisme en présence du lait). Le strontium 90 contamine aussi toutes les viandes. On estime que le lait de vache et le poisson contiennent 15 fois plus d’éléments radioactifs que les légumes feuillus. Le boeuf quant à lui en contient 30 fois plus. ( 3 ) Tout comme ils le font dans l’environnement et dans l’organisme des animaux consommés, ces éléments radioactifs s’accumulent. Ils s’incrustent dans nos organes vitaux, nos glandes et peuvent même altérer nos chromosomes. Les isotopes radioactifs du césium, du strontium et du cobalt se concentrent, notamment chez les enfants, dans leur moelle et leur os exposant ainsi toutes les cellules à une radiation qui augmente les risques de cancer. L’iode 131 se concentre particulièrement dans la glande thyroïde. Le strontium 90 débalance le thymus - relié à notre système immunitaire - ainsi que la pituitaire et les gonades. Le plutonium 239 produit par les centrales nucléaires est l’une des substances les plus cancérigènes. À cause de l’énergie nucléaire, les humains vivront dans un environnement dont la radioactivité augmentera graduellement pendant des millénaires. Il faut 24,000 années pour que le plutonium 239 ait perdu la moitié de sa radioactivité ; 480,000 pour que le plutonium 239 se soit transmuté en uranium 235 qui est lui aussi radioactif. Pour que tous les produits de filiation de cet U-235 aient disparu à leur tour, pour donner enfin un élément non radioactif stable (le plomb), il faut 14 milliards d’années !( 4 ) Ajoutons que le strontium 90 a une durée de vie de 560 ans, le césium 137,600 et l’iode 131/160 jours. ENCORE DE LA CONTAMINATION Outre les radiations, de nombreux produits chimiques toxiques se transmettent d’un organisme à l’autre en suivant la chaîne alimentaire : BPC, dioxines, furannes, plomb, mercure, arsenic, cadmium, pesticides (Aldrin, DDT, Mirex, Malathion, Parathion, etc.) On retrouve ces éléments dans la plupart des aliments mais surtout dans la viande, le poisson, le lait et les oeufs. Les pesticides s’accumulent dans les réceptacles graisseux. Il est estimé que l’absorption répétée de 0.1 part de million (p.p.) amène progressivement l’emmagasinage de 10 à 15 p.p.m., soit 100 à 150 fois plus. En ce qui concerne certains poissons, le taux est encore plus élevé. Par l’effet d’accumulation, une concentration relativement faible peut devenir considérable et dangereuse. On a ainsi trouve 100 fois plus de DDT dans le lait de femme carnivore que dans le lait de vache (un animal végétarien). Les risques reliés à l’ingestion alimentaire de ces résidus de pollution concernent les maladies chroniques, du système immunitaire, les allergies et les cancers. Le cadmium a des effets spécifiques sur les reins, les os et les poumons. Le dieldrin détruit le système nerveux central, amène des convulsions et des dommages au foie. La toxicité de tous ces produits est basée sur des tests effectués sur des animaux de laboratoire, ce qui n’est pas pour nous rassurer, sachant que l’organisme d’un rat est foncièrement différent de celui d’un humain. De plus, la synergie entre tous les produits et avec d’autres éléments demeure problématique. Le plomb, par exemple, est absorbé plus rapidement par notre organisme en présence du lait. En ayant une alimentation végétarienne axée sur des fruits, des légumes et des céréales de culture biologique, nous contribuons à une meilleure santé humaine, animale et planétaire. Fait important à souligner, les fruits et les légumes biologiques ont 87% plus de vitamines et de minéraux que ceux cultivés aux pesticides. En effet, selon une étude de la Rutgars University, les tomates biologiques ont 5 fois plus de calcium, 12 fois plus de magnésium, 3 fois plus de potassium et 1,900 fois plus de fer que les tomates traitées aux pesticides. La laitue biologique a 3 fois plus de calcium, 3 fois plus de magnésium et 57 fois plus de fer.
... SUITE à lire.
L' article se termine avec la liste des légumes ci dessous et leur effet protecteur.
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