samedi 18 janvier 2014

11 MILLIONS D' ANIMAUX TUES PAR LA VIVISECTION EN EUROPE EN 2011


 chien test animaux



 
SOURCE  SUITE ET  CREDIT PHOTO

   
 JE TIENS A LA PHOTO CAR EN FRANCE NOUS AVONS DES ELEVAGES DE BEAGLES NES ET AUSSITOT MARTYRISES QUI NE POSERONT JAMAIS UNE SEULE PATTE SUR DE L' HERBE 



LA ENCORE BIG PHARMA FAIT LA LOI!!!! QUAND AUX VI CIEUX QUI PRATIQUENT LES TESTS, J' EN AI CONNU DE CES PERSONNES.... JAMAIS UN REGRET JAMAIS UNE LARME, JUSTE LE SCALPEL OU LA SERINGUE FERMEMENT EN MAIN!!!!

 SUITE





Plus de 11 millions d'animaux sont morts dans les laboratoires en Europe en 2011, dont 2,2 millions en France. La baisse annoncée par l'Union européenne reste donc marginale, alors qu'il existe des méthodes alternatives efficaces qui peuvent remplacer ces tests très discutables, à la fois au niveau de l'éthique, mais plus grave encore, de la pertinence.



La Coalition européenne pour mettre fin à l'expérimentation animale (ECEAE), à laquelle appartient l'association de défense des animaux One Voice, a réagi aux statistiques publiées le 12 décembre par l'Union européenne : « Elles ne montrent pas les progrès significatifs espérés pour les animaux ». Ce rapport de la Commission européenne présente les résultats des données collectées par l'ensemble des 27 États membres en 2011, à l'exception de la France qui a fourni des données pour 2010.

Une diminution conjoncturelle de l'expérimentation animale, pas volontaire

11 481 521 animaux ont été torturés et tués dans les laboratoires en 2011, soit 4,3 % de moins qu'en 2008. Nous considérons ce chiffre avec prudence : il reflète plus la conjoncture économique qu'une baisse volontaire car aucun pays n'a engagé de réelle stratégie pour réduire l'expérimentation animale.
Globalement, les produits destinés à la médecine, à la dentisterie et à la médecine vétérinaire mobilisent la plus grande proportion d'animaux (environ 39 %) pour les différents types d'essais.
La part des animaux utilisés pour la recherche fondamentale est passée de 38 à 46 % du total, avec plus de 3 millions de souris. 90 animaux ont servi à tester des cosmétiques en 2011 malgré l'interdiction de telles expériences en 2009.
La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni constituent 55 % du nombre total d'animaux. Dans de nombreux pays, le nombre d'animaux a même augmenté (+ 135 % en Irlande). Ces augmentations concernent les poissons, les chevaux, ânes et poneys, les carnivores (renards, blaireaux, phoques, loutres…) et les lapins.
17 896 chiens (- 16 %), 8 827 581 rongeurs (- 7 %), 3 713 chats (- 9 %) 77 280 cochons (- 17 %) et 6 095 primates non humains (- 36 %) ont souffert et perdu la vie dans des laboratoires, et bien d'autres espèces : reptiles, oiseaux, chèvres, vaches, amphibiens...

La France toujours en tête des tests sur les animaux

En France, 2,2 millions d'animaux ont servi à des fins scientifiques en 2010 : plus de 1,3 million de souris, 354 039 poissons, 252 589 rats, 125 913 lapins, 357 392 animaux à sang froid (poissons, amphibiens, reptiles), 1 810 primates non humains (-34 % par rapport à 2007). Aucun grand singe n'a été utilisé pour la recherche.
Depuis 2007, l'utilisation des rongeurs a diminué de 20 % (1 622 840) alors que celle des lapins (125 913) et des poissons (354 039) a augmenté de 31 % et 1 650 %. Notons également une augmentation de l'utilisation des oiseaux (plus de 10 000) pour les « autres expériences ».
Et triste record européen : ce sont plus de 3 000 chiens et 569 chats qui ont été sacrifiés par les chercheurs français !

La science française obsolète ?

La moitié des animaux – plus d'un million – a souffert pour la recherche (recherche fondamentale, recherche et développement, production et contrôle qualité en médecine, dentisterie et médecine vétérinaire, toxicologie…).
La France, comme l'Allemagne et le Royaume-Uni, est loin de se distinguer en tant que pionnier des méthodes alternatives ! En mettant en œuvre dans ses laboratoires des méthodes d'un autre âge, onéreuses et non éthiques, dont des scientifiques ont démontré qu'elles n'étaient pas fiables, elle perd sa crédibilité... Tandis que sa voisine, l'Italie prouve qu'une autre voie est possible. Elle vient non seulement de récompenser le développement d'une méthode alternative, mais a aussi interdit l'élevage de chiens, de chats et de singes pour l'expérimentation ainsi que les procédures douloureuses sans anesthésie et a validé des restrictions pour les tests utilisant des primates non humains, des chiens et des chats.

Pour une interdiction totale de l'expérimentation animale

One Voice a déjà mené une campagne qui a abouti à l'interdiction des tests sur les animaux pour les cosmétiques en Europe. Aujourd'hui, nous voulons bannir tous les tests sur animaux, conformément à la directive européenne 2010/63/UE qui incite au développement des méthodes substitutives à l'expérimentation animale.
Nous demandons une science moderne et humaine et une législation adaptée dans l'Union européenne et souhaitons travailler avec les laboratoires pour les encourager à mettre un terme à la cruauté envers les animaux.
Plus de 11 millions d'animaux sont morts dans les laboratoires en Europe en 2011, dont 2,2 millions en France. La baisse annoncée par l'Union européenne reste donc marginale, alors qu'il existe des méthodes alternatives efficaces qui peuvent remplacer ces tests très discutables, à la fois au niveau de l'éthique, mais plus grave encore, de la pertinence.
La Coalition européenne pour mettre fin à l'expérimentation animale (ECEAE), à laquelle appartient l'association de défense des animaux One Voice, a réagi aux statistiques publiées le 12 décembre par l'Union européenne : « Elles ne montrent pas les progrès significatifs espérés pour les animaux ». Ce rapport de la Commission européenne présente les résultats des données collectées par l'ensemble des 27 États membres en 2011, à l'exception de la France qui a fourni des données pour 2010.

Expérimentation animale : près de 11,5 millions d'animaux tués en 2011 en Europe

Selon le rapport de l'UE, 11 481 521 animaux ont été torturés et tués dans les laboratoires en 2011, soit 4,3 % de moins qu'en 2008. One Voice accueille avec prudence ce nombre et considère qu'il "reflète plus la conjoncture économique qu'une baisse volontaire car aucun pays n'a engagé de réelle stratégie pour réduire l'expérimentation animale."
Les rongeurs ainsi que les lapins représentent 80 % du nombre total d'animaux utilisés dans l'UE. Les souris sont l'espèce la plus utilisée, avec un pourcentage de 61 % des animaux utilisés, suivies par les rats qui représentent 14 %.
La seconde catégorie d'animaux les plus utilisés est composée, comme les années précédentes, par les animaux à sang froid, qui représentent près de 12,5 %. Viennent ensuite les oiseaux qui, avec 5,9 % des animaux utilisés, constituent la troisième catégorie principale d'animaux.
Les chevaux, les ânes, les porcins, les caprins, les ovins et les bovins représentent 1,2 % du nombre total d'animaux utilisés dans les États membres.
Les carnivores (qui incluent les chiens et les chats) représentent 0,25 % du nombre total d'animaux utilisés en 2011 et les primates non humains 0,05 %. Depuis 1999, aucun grand singe n'a été officiellement utilisé dans l'expérimentation animale en Europe.
La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni constituent 55 % du nombre total d'animaux. Dans de nombreux pays, le nombre d'animaux a même augmenté (+ 135 % en Irlande). Ces augmentations concernent les poissons, les chevaux, ânes et poneys, les carnivores (renards, blaireaux, phoques, loutres…) et les lapins.
17 896 chiens (- 16 %), 8 827 581 rongeurs (- 7 %), 3 713 chats (- 9 %) 77 280 cochons (- 17 %) et 6 095 primates non humains (- 36 %) ont souffert et perdu la vie dans des laboratoires, et bien d'autres espèces : reptiles, oiseaux, chèvres, vaches, amphibiens...

La destination de l'expérimentation animale

  • Plus de 60 % des animaux ont été utilisés à des fins de recherche et de développement dans les domaines de la médecine humaine, de la médecine vétérinaire, de la dentisterie et dans les études de biologie fondamentale.
  • 14% des animaux étaient destinés à la production et le contrôle de qualité des produits et dispositifs employés en médecine humaine, médecine vétérinaire et dentisterie.
  • Les essais toxicologiques et autres évaluations de sécurité représentent 8,75 % du nombre total d'animaux utilisés à des fins expérimentales.
  • Les autres objectifs d'expérimentation représentent 9 % du nombre total des animaux et couvrent un large éventail d'utilisations expérimentales, telles que la virologie, l'immunologie pour la production d'anticorps monoclonaux ou polyclonaux, la physiologie de l'interaction materno-fœtale dans la transgénèse des gènes de souris, les traitements oncologiques, la recherche et le développement pharmaceutiques, les essais d'associations de médicaments et la génétique.
  • Officiellement, les tests sur les animaux pour les cosmétiques sont interdits depuis 2009, pourtant, 90 animaux ont encore servi à tester des cosmétiques en 2011.

La France toujours leader des tests sur les animaux

En France, 2,2 millions d'animaux ont servi à des fins scientifiques en 2010 : plus de 1,3 million de souris, 354 039 poissons, 252 589 rats, 125 913 lapins, 357 392 animaux à sang froid (poissons, amphibiens, reptiles), 1 810 primates non humains (-34 % par rapport à 2007). Aucun grand singe n'a été utilisé pour la recherche.
Depuis 2007, l'utilisation des rongeurs a diminué de 20 % (1 622 840) alors que celle des lapins (125 913) et des poissons (354 039) a augmenté de 31 % et 1 650 %.
Et triste record européen : ce sont plus de 3 000 chiens et 569 chats qui ont été sacrifiés par les chercheurs français souligne One Voice !

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