SOURCE ET SUITE
JE CONNAIS UNE GROSSE MEMERE QUI SE BOUFFE SES 500 GMS DE BARBAQUE TOUS LES JOURS.
ELLE EST CONTINUELLEMENT MALADE.. DONC MISE SOUS ANTIBIOTIQUES DE JANVIER A DECEMBRE!!!
ENSUITE ELLE S' ETONNE DE CE QUE LE MEDECIN CONTINUE A CHANGER SES ORDONNANCES CAR AUCUN RESULTAT AVEC CES ANTIBIOTIQUES..
MAIS ELLE EST INCAPABLE DE COMPRENDRE L' EQUATION.. AHHA AHHAHA
Ce sont des documents secrets qui lèvent un peu plus le voile sur le recours, excessif et souvent incontrôlé, aux médicaments dans les élevages. Aux Etats-Unis, la Food and Drug Administration (FDA) a ainsi maintenu l'autorisation de plusieurs dizaines d'antibiotiques dans l'alimentation du bétail américain, même après avoir découvert « les risques élevés » qu'ils représentaient pour la santé humaine.
L'association Natural Resources Defense Council (NRDC), qui porte ces accusations dans un rapport publié lundi 27 janvier, s'est procuré des études internes de l'agence des produits alimentaires et médicamenteux, sur le fondement du Freedom of Information Act.
L'ONG a ainsi découvert que, pendant près de dix ans, de 2001 à 2010, la FDA a réexaminé la sécurité de trente additifs alimentaires à base d'antibiotiques appartenant aux familles des pénicillines et des tétracyclines. Ces molécules, pour certaines autorisées depuis les années 1950, ont été administrées au bétail pour des usages non thérapeutiques, c'est-à-dire pour prévenir des maladies mais surtout pour stimuler la croissance des animaux – une pratique interdite depuis 2006 en Europe.
BACTÉRIES RÉSISTANTES
Résultat : dix-huit des additifs étudiés entraînent un « risque élevé » d'exposer les humains à des bactéries résistantes aux antibiotiques par le biais de la chaîne alimentaire – en particulier de la consommation de viande, mais aussi par des contacts directs avec les animaux ou par la dissémination de ces pathogènes dans l'environnement. Partout des bactéries infectieuses parviennent à s'adapter, à un rythme de plus en plus soutenu, à de nouveaux traitements ou à de nouveaux milieux.
Quant aux douze autres médicaments passés au crible par la FDA, leur sûreté reste à prouver, faute de données suffisantes pour les évaluer.
Au final, aucun de ces trente médicaments ne pourrait aujourd'hui être approuvé comme additif pour le bétail en vertu des directives actuelles. Pis, vingt-six ne remplissaient pas les normes sanitaires établies en 1973.
TOUJOURS SUR LE MARCHÉ
« A l'issue de son étude, la FDA n'a pris aucune mesure pour révoquer les autorisations de ces antibiotiques », regrette le NRDC. Le centre, qui ne sait pas quelles quantités de ces additifs ont été administrées à des animaux, assure que neuf d'entre eux se trouvent encore sur le marché, tandis que les autres sont toujours autorisés, à l'exception de deux volontairement retirés par leurs fabricants.
L'agence sanitaire a de son côté rétorqué, dans un communiqué, poursuivre une « stratégie plus large pour essayer d'éliminer à terme les utilisations non thérapeutiques d'antibiotiques », au lieu de se concentrer sur des médicaments spécifiques.
JE CONNAIS UNE GROSSE MEMERE QUI SE BOUFFE SES 500 GMS DE BARBAQUE TOUS LES JOURS.
ELLE EST CONTINUELLEMENT MALADE.. DONC MISE SOUS ANTIBIOTIQUES DE JANVIER A DECEMBRE!!!
ENSUITE ELLE S' ETONNE DE CE QUE LE MEDECIN CONTINUE A CHANGER SES ORDONNANCES CAR AUCUN RESULTAT AVEC CES ANTIBIOTIQUES..
MAIS ELLE EST INCAPABLE DE COMPRENDRE L' EQUATION.. AHHA AHHAHA
Ce sont des documents secrets qui lèvent un peu plus le voile sur le recours, excessif et souvent incontrôlé, aux médicaments dans les élevages. Aux Etats-Unis, la Food and Drug Administration (FDA) a ainsi maintenu l'autorisation de plusieurs dizaines d'antibiotiques dans l'alimentation du bétail américain, même après avoir découvert « les risques élevés » qu'ils représentaient pour la santé humaine.
L'association Natural Resources Defense Council (NRDC), qui porte ces accusations dans un rapport publié lundi 27 janvier, s'est procuré des études internes de l'agence des produits alimentaires et médicamenteux, sur le fondement du Freedom of Information Act.
L'ONG a ainsi découvert que, pendant près de dix ans, de 2001 à 2010, la FDA a réexaminé la sécurité de trente additifs alimentaires à base d'antibiotiques appartenant aux familles des pénicillines et des tétracyclines. Ces molécules, pour certaines autorisées depuis les années 1950, ont été administrées au bétail pour des usages non thérapeutiques, c'est-à-dire pour prévenir des maladies mais surtout pour stimuler la croissance des animaux – une pratique interdite depuis 2006 en Europe.
BACTÉRIES RÉSISTANTES
Résultat : dix-huit des additifs étudiés entraînent un « risque élevé » d'exposer les humains à des bactéries résistantes aux antibiotiques par le biais de la chaîne alimentaire – en particulier de la consommation de viande, mais aussi par des contacts directs avec les animaux ou par la dissémination de ces pathogènes dans l'environnement. Partout des bactéries infectieuses parviennent à s'adapter, à un rythme de plus en plus soutenu, à de nouveaux traitements ou à de nouveaux milieux.
Quant aux douze autres médicaments passés au crible par la FDA, leur sûreté reste à prouver, faute de données suffisantes pour les évaluer.
Au final, aucun de ces trente médicaments ne pourrait aujourd'hui être approuvé comme additif pour le bétail en vertu des directives actuelles. Pis, vingt-six ne remplissaient pas les normes sanitaires établies en 1973.
TOUJOURS SUR LE MARCHÉ
« A l'issue de son étude, la FDA n'a pris aucune mesure pour révoquer les autorisations de ces antibiotiques », regrette le NRDC. Le centre, qui ne sait pas quelles quantités de ces additifs ont été administrées à des animaux, assure que neuf d'entre eux se trouvent encore sur le marché, tandis que les autres sont toujours autorisés, à l'exception de deux volontairement retirés par leurs fabricants.
L'agence sanitaire a de son côté rétorqué, dans un communiqué, poursuivre une « stratégie plus large pour essayer d'éliminer à terme les utilisations non thérapeutiques d'antibiotiques », au lieu de se concentrer sur des médicaments spécifiques.
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