Il faut diviser par deux l’utilisation d’antibiotiques destinés aux animaux dans trois ans, et pour 2020 diminuer de 75% les plus critiques. C’est ce que préconise l’Amcra.
Le centre de connaissance pour tout ce qui concerne
l’utilisation et les résistances aux antibiotiques chez les animaux a
établi un plan en dix points reprenant les objectifs pour les années à
venir. «Nous avons travaillé dur ces deux dernières années afin de rendre possible la diminution de la prise d’antibiotiques»,
indique le Professeur Jeroen Dewulf, président de l’Amcra.
L’utilisation des antibiotiques va être plus transparente grâce à des
systèmes de collecte de données qui devront permettre de mesurer l’usage
des antibiotiques dans chaque exploitation agricole. Parallèlement à
l’introduction de la collecte des données, un plan sanitaire et un plan
d’approche seront définis pour chaque exploitation sous guidance
vétérinaire. À la suite des résultats, un programme d’accompagnement
sera développé pour inciter éleveurs et vétérinaires, là où cela s’avère
nécessaire, à réduire l’usage d’antibiotiques.
En ce qui concerne les aliments médicamenteux avec antibiotiques, la barre est placée haut avec l’objectif de diminuer la consommation de 50% en trois ans.
En outre, l’Amcra demande aux autorités compétentes de mener des contrôles intensifs à propos des mouvements de médicaments chez les vétérinaires, les éleveurs, les pharmaciens et les fabricants d’aliments composés, et de procéder à l’enregistrement correct dans les systèmes de collecte des données. «Il est important que le secteur s’engage à respecter nos objectifs», conclut Jeroen Dewulf.
En ce qui concerne les aliments médicamenteux avec antibiotiques, la barre est placée haut avec l’objectif de diminuer la consommation de 50% en trois ans.
En outre, l’Amcra demande aux autorités compétentes de mener des contrôles intensifs à propos des mouvements de médicaments chez les vétérinaires, les éleveurs, les pharmaciens et les fabricants d’aliments composés, et de procéder à l’enregistrement correct dans les systèmes de collecte des données. «Il est important que le secteur s’engage à respecter nos objectifs», conclut Jeroen Dewulf.
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