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ET SUITE
De Vegetarische Slagerne, le Boucher végétarien, a été créé en septembre 2010 à La Haye, aux Pays-Bas, par Jaap Korteweg.
Issu d’une famille d’agriculteurs et installé en bio, il est marié à Marianne Thieme, députée depuis 2006 du Parti pour les animaux. Jaap Korteweg s’est entouré d’une équipe spécialement dédiée avec le chef Marco Westmaas, le créateur d’idées Niko Koffeman et le professeur Rob Van Haren.
Développées dans une université néerlandaise, les recettes du Boucher végétarien sont gardées secrètes. Seule information, la pâte obtenue à partir de graines de soja ou de lupin est mise sous pression pour reproduire les fibres de la viande. « Notre ’’poulet’’ par exemple a le même goût, la même texture et la même mâche que le ‘‘vrai’’ poulet mais est fait à base de soja. Aucun poulet n’a trouvé la mort pour fabriquer notre poulet. Idem pour le reste de nos produits », revendique la société qui compte désormais 1 000 points de vente à travers les Pays-Bas. L’Europe, principalement du Nord, est déjà conquise.
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De Vegetarische Slagerne, le Boucher végétarien, a été créé en septembre 2010 à La Haye, aux Pays-Bas, par Jaap Korteweg.
Issu d’une famille d’agriculteurs et installé en bio, il est marié à Marianne Thieme, députée depuis 2006 du Parti pour les animaux. Jaap Korteweg s’est entouré d’une équipe spécialement dédiée avec le chef Marco Westmaas, le créateur d’idées Niko Koffeman et le professeur Rob Van Haren.
Développées dans une université néerlandaise, les recettes du Boucher végétarien sont gardées secrètes. Seule information, la pâte obtenue à partir de graines de soja ou de lupin est mise sous pression pour reproduire les fibres de la viande. « Notre ’’poulet’’ par exemple a le même goût, la même texture et la même mâche que le ‘‘vrai’’ poulet mais est fait à base de soja. Aucun poulet n’a trouvé la mort pour fabriquer notre poulet. Idem pour le reste de nos produits », revendique la société qui compte désormais 1 000 points de vente à travers les Pays-Bas. L’Europe, principalement du Nord, est déjà conquise.
Il y a moins d'un mois, il découvre ce concept en lisant un article. Il contacte alors la société et importe deux palettes. Convaincu du succès potentiel, il se décide très vite et signe une exclusivité pour la Gironde. Faux poulet et faux bœuf figurent désormais à la carte de son restaurant, destiné aux groupes, basé aux Bassins à flot.
« C'est un pari car les Français aiment peu le changement, surtout quand on touche à la gastronomie. Les pays du nord de l'Europe sont plus en avance que nous. Mais je suis convaincu que c'est un produit d'avenir », assure Pierre-Philippe Giraud.
Comme les plats halal qu'il propose depuis deux mois, le restaurateur, également propriétaire du Domaine de Valmont à Barsac, entend ne discriminer personne et satisfaire le plus grand nombre.
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