ENCORE UN ANIMAL MÉCONNU.
VIDEO D' UN BUZZ OU LE LION RECONNAIT UN AN PLUS TARD SES ANCIENS MAITRES ANGLAIS ALORS QU' IL A REJOINT L' AFRIQUE DU SUD
TOUTE L' HISTOIRE EN TEXTE SUR LE LIEN
Nicole forwarded an amazing video. Christian the lion was raised by humans and then released into the wild. Watch the cat’s reaction when these people return to see him a year later.
After a year apart, after a year in the wild, Christian still recognizes his old friends and greets them with enthusiasm. Aside from thinking how scared you would be in the same situation (I know I would be!), take a look at how the lion uses “family greeting”, that familiar housecat bump of the head.
I remember watching a show about cats on TLC in the early 1990s (back when TLC was “The Learning Channel” and not the “how to remodel your house channel”). The show featured a short segment about this head-bump behavior, which the scientists being interviewed had dubbed “family greeting”. In our house of four cats, we see the family greeting used all the time. I just haven’t seen it used from a lion greeting a human before.
On aura tout vu en termes de pratiques culinaires. Après les bâtonnets d'antilope en Afrique du Sud (qui contenaient en fait de la viande de girafe), ou les plats à base de rat et de renard en Chine, ce sont cette fois les burgers de lion qui font débat aux Etats-Unis. Deux clans s'opposent, raconte le Guardian : ceux que l'éthique empêche de s'attaquer à une espèce fragile et ceux qui au contraire brûlent à l'idée de dévorer la chair du "roi de la jungle".
L'un des premiers cas d'un plat de ce type outre-Altantique remonte à 2010, quand un restaurant de l'Arizona avait servi des hamburgers à base de lion en l'honneur de la Coupe du Monde de football qui se tenait en Afrique du Sud. L'initiative avait déclenché une salve de critiques, tout en drainant une flopée de clients audacieux désireux de tester la nouvelle viande. Depuis, du lion a aussi été proposé dans des brochettes en Californie ou dans certains tacos en Floride (vendus 35 dollars chacun), explique un article de National Geographic. Une pratique qui se développe, à tel point qu'un représentant de l'Illinois veut interdire la viande de lion dans son Etat.
Car aujourd'hui, vendre et consommer de la viande de lion est autorisé aux Etats-Unis au même titre qu'un autre gibier, rappelle le Guardian. Le lion africain n'est en effet pas sur la liste rouge des espèces menacées. Il est malgré tout classé comme "vulnérable" par l'Union internationale pour la conservation de la nature. En un siècle, la population africaine a ainsi dramatiquement chuté, passant de 200 000 individus à moins de 30 000 aujourd'hui.
D'où viennent ces lions qui finissent en steak ? Ce sont des animaux élevés en captivité, répond la Food and Drug Administration (FDA) américaine, interrogée par le quotidien britannique. Issus de zoos ou de cirques, ils peuvent finir dans des abattoirs et usines de transformation qui récupèrent leur viande, alors que l'industrie de la viande exotique connaît de plus en plus de succès.
Mais face à une filière tant de niche que méconnue, il reste difficile de s'assurer de l'origine de cette viande – qu'il ne s'agit pas de tigres en voie de disparition par exemple – et de la façon dont les lions sont abattus. En outre, le risque est grand de menacer l'espèce sauvage, à plus long terme, en créant une mode et donc en suscitant une demande – comme ce fut le cas avec la viande de baleine au Japon par exemple. Ainsi, les ONG font valoir que les élevages de lions qui prospèrent en Afrique, afin de vendre les animaux comme trophées et pour faire de la poudre avec leurs os, stimulent la demande et donc le braconnage.
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