SOURCE ET SUITE
EXCELLENT TT EST A LIRE
MAIS MEME EUX NE PARLENT PAS DU GEO ENGIENERING....
C’était le Würm dans les Alpes : le glacier du Rhône arrivait jusqu’à
la Saône et recouvrait le lac Léman de plus de 1 000 mètres. Le niveau
des océans était 100 mètres plus bas ! Il en était ainsi sur toute la
terre, sur tous les continents et dans les deux hémisphères.
Je ne veux pas remonter trop loin dans le temps mais saches que
durant la glaciation de Riss, la précédente, le glacier du Rhône
arrivait presque jusqu’à l’emplacement actuel de Lyon et que la limite
des neiges éternelles se situait à 800 mètres dans les Vosges.
Et soudain, la terre se mit à se réchauffer sans que l’homme n’en
soit pour le moins du monde responsable. Le pauvre Néanderthalien avait
déjà disparu et ce n’est pas l’Homo sapiens avec ses silex qui a produit
assez de gaz à effet de serre pour être jugé responsable de ce
changement climatique.
Je ne dis pas que notre mode de consommation est pour rien dans le
réchauffement climatique actuel. Il est peut-être responsable de son
déclenchement mais dis-toi bien qu’une fois le processus en route, c’est
trop tard.
C’est un peu comme une avalanche. Une fois qu’elle est partie, elle
balayera tout sur son passage en s’auto-alimentant de la neige qui se
trouve devant-elle. La seule chose qu’on puisses faire, c’est de
s’écarter de son passage. Ton mur de brindilles est juste symbolique et
parfaitement inutile..
......................................
....................Alors, les écolozozos et les journalomarcheurs, toujours prompts à
culpabiliser le simple citoyen qui a oublié d’éteindre la lumière de sa
salle de bain avant de se rendre à son travail en voiture diesel
(contraint et forcé vu que l’offre en transports en commun est
inexistante), et bien, ils feraient mieux d’en rabattre et de retourner à
leurs chères études.
La fable du colibri revisitée. Tu as certainement entendu parler de
cette légende amérindienne ; ta mesurette contre le diesel semble en
attester.
Je vais quand-même te la rappeler pour le cas où…
Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous
les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre.
Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec
son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le toucan, agacé par
cette agitation dérisoire, lui dit : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce
n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! » Et le
colibri lui répondit : « Je le sais, mais je fais ma part. »
Ce que la légende ne dit pas, c’est que le petit colibri venait
prélever ses gouttes d’eau dans une minuscule flaque qui permet à des
millions de fourmis laborieuses de se désaltérer.
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