LES ANIMAUX DEVRAIENT POUVOIR VIVRE HEUREUX
C' EST NOTRE CONSOMMATION DE LEUR CHAIR QUI EST RESPONSABLE DE LEUR AGONIE.
ALORS RENONCEZ A LA VIANDE SI VOUS LES AIMEZ... MEME JUSTE UN PEU..
Y A T IL QUELQUE CHOSE DE PLUS BEAU QUE DE VOIR UN ANIMAL LIBRE ET HEUREUX, VIVRE PLEINEMENT SA VIE??
dimanche 31 mai 2015
samedi 30 mai 2015
LES VEAUX ARRACHES A LEUR MERE
SOURCE ET SUITE
Après avoir dénoncé la pratique des millions de poussins mâles broyés vivants, l'association L214
qui milite pour le bien être animal, vient de lancer une campagne
d'affichage dans le métro parisien. Elle a attiré de nombreux regards.
Elle dénonce le système de production laitier tel qu'il est pratiqué
dans quasiment tous les pays au monde. En effet pour que la vache donne
du lait, il faut qu'elle ait un veau comme c'est le cas pour les
humains.
Mais pour ne pas perdre du lait et des raisons pratiques lors de la traite, le fermier va séparer dans les heures qui suivent la gestation le petit de sa mère. Une fois qu'il se trouve bien sur ses quatre pattes. Le plus vite possible de façon à ce que la vache ne s'attache pas trop à sa progéniture.
SUITE
L'Association L214 appelle les
consommateurs à se détourner du lait animal et à privilégier le lait
végétal. Elle a lancé une campagne d'affichage pour arrêter la pratique
d'enlèvement quelques heures après sa naissance du veau de sa mère... .
Mais pour ne pas perdre du lait et des raisons pratiques lors de la traite, le fermier va séparer dans les heures qui suivent la gestation le petit de sa mère. Une fois qu'il se trouve bien sur ses quatre pattes. Le plus vite possible de façon à ce que la vache ne s'attache pas trop à sa progéniture.
Séparé dès leur naissance
Il est ensuite mis dans une niche et abreuvé par l'agriculteur, le matin et le soir, avec du lait prélevé lors de la traite. Cela peut paraître cruel mais c'est une réalité. Il est évident que c'est plus agréable de voir des veaux qui tètent sous leur mère dans les prairies comme c'est le cas pour le système des vaches allaitantes, vendues pour la viande. «Des veaux séparés de leur mère dès la naissance, des vaches épuisées de produire tant de lait, des cornes brûlées à l'acide, l'abattoir pour seule perspective…», tel est le message que veut passer L214.SUITE
ACTION: SIGNER CONTRE LA CASTRATION DES PORCELETS
SOURCE ET PAGE SIGNATURE
ICI
C’est un jeune porcelet, il a moins de sept jours lorsqu’il subit une mutilation effroyablement douloureuse. Tout cela sans anesthésie ! Seule une analgésie permet aujourd’hui de réduire la douleur après la mutilation, sans toutefois l’occulter totalement.
Cette intervention vise à réduire le
risque d’apparition de l’odeur de verrat alors que celle-ci peut être
prévenue par d’autres méthodes. Cela est d’autant plus révoltant, qu’au
final, seulement 5% des porcelets mâles sont susceptibles de porter
cette odeur à l’âge adulte (mais tous sont mutilés) !
Pourtant une alternative existe !
Les carcasses odorantes peuvent être détectées sur la chaîne d’abattage. Il est donc inutile de castrer les porcelets.
NOUS AVONS BESOIN DE VOUS
POUR NOUS FAIRE ENTENDRE !
Avec la PMAF, demandez l’arrêt total de la castration chirurgicale des porcelets.
ICI
C’est un jeune porcelet, il a moins de sept jours lorsqu’il subit une mutilation effroyablement douloureuse. Tout cela sans anesthésie ! Seule une analgésie permet aujourd’hui de réduire la douleur après la mutilation, sans toutefois l’occulter totalement.
Pourtant une alternative existe !
Les carcasses odorantes peuvent être détectées sur la chaîne d’abattage. Il est donc inutile de castrer les porcelets.
NOUS AVONS BESOIN DE VOUS
POUR NOUS FAIRE ENTENDRE !
Avec la PMAF, demandez l’arrêt total de la castration chirurgicale des porcelets.
VICTOIRE: LA LOI AG GAG N' EST PAS PASSEE EN CAROLINE, HOURRAH ET MERCI
SOURCE ET SUITE
ET VIDEO
Victory! Governor McCrory Vetoes North Carolina Ag-Gag Bill
Mercy For Animals
May 29, 2015 — In
a victory for farmed animals in North Carolina and nationwide, today,
North Carolina Governor Pat McCrory vetoed the controversial “Ag-Gag
Bill,” designed to punish whistleblowers who documented and exposed
criminal activity in North Carolina’s factory farms and slaughterhouses.
The ag-gag bill was opposed by the overwhelming majority of North Carolina residents, as well as animal protection, food safety, environmental and civil liberties groups nationwide, because it would have perpetuated animal abuse, and endangered workers’ rights, consumer health and safety, and the freedom of journalists, employees, and the public at large to share information about something as fundamental as our food supply.
The North Carolina legislature should stop wasting time and taxpayer money by repeatedly introducing unconstitutional bills that would sweep evidence of criminal activity under the rug. Instead, the legislature should be focused on strengthening the state’s animal cruelty laws and providing greater incentives for whistleblowers.
Numerous Mercy For Animals undercover investigations in North Carolina have revealed that horrific animal cruelty and neglect run rampant at some of the state’s largest factory farms, hatcheries, and slaughterhouses. A 2011 Mercy For Animals investigation at a factory farm operated by Butterball—the world’s largest turkey producer—led to a two-day raid of the facility by law enforcement and the criminal convictions of five Butterball workers, including the first-ever felony conviction for cruelty to factory-farmed poultry in U.S. history. This and other investigations would not have been possible if the ag-gag bill were in place.
You can watch that video here: https://www.youtube.com/watch?v=D5LM06ZvCk4
Mercy For Animals urges Governor McCrory and North Carolina lawmakers to listen to the will of the people and strengthen laws protecting animals and citizens – not corrupt corporations who engage in illegal abuses.
For more information, please visit www.NoAgGag.com.
Thank you,
Mercy For Animals
The ag-gag bill was opposed by the overwhelming majority of North Carolina residents, as well as animal protection, food safety, environmental and civil liberties groups nationwide, because it would have perpetuated animal abuse, and endangered workers’ rights, consumer health and safety, and the freedom of journalists, employees, and the public at large to share information about something as fundamental as our food supply.
The North Carolina legislature should stop wasting time and taxpayer money by repeatedly introducing unconstitutional bills that would sweep evidence of criminal activity under the rug. Instead, the legislature should be focused on strengthening the state’s animal cruelty laws and providing greater incentives for whistleblowers.
Numerous Mercy For Animals undercover investigations in North Carolina have revealed that horrific animal cruelty and neglect run rampant at some of the state’s largest factory farms, hatcheries, and slaughterhouses. A 2011 Mercy For Animals investigation at a factory farm operated by Butterball—the world’s largest turkey producer—led to a two-day raid of the facility by law enforcement and the criminal convictions of five Butterball workers, including the first-ever felony conviction for cruelty to factory-farmed poultry in U.S. history. This and other investigations would not have been possible if the ag-gag bill were in place.
You can watch that video here: https://www.youtube.com/watch?v=D5LM06ZvCk4
Mercy For Animals urges Governor McCrory and North Carolina lawmakers to listen to the will of the people and strengthen laws protecting animals and citizens – not corrupt corporations who engage in illegal abuses.
For more information, please visit www.NoAgGag.com.
Thank you,
Mercy For Animals
MOBILISATION CONTRE LA VIVISECTION A REIMS
FOU D' IMAGINER QUE L' ON VIT AU 21 EME SIECLE ET QUE L' ON SOIT COMPLICES DE TELLES HORREURS. QUI DIT CIVILISATION???
vendredi 29 mai 2015
BRAVO!!!!
source et suite
La chaîne de supermarchés Albert Heijn, uniquement implantée en Flandre pour le moment, à decidé de ne vendre plus que de la viande provenant d'animaux ayant été étourdis avant l'abattage (halal y compris). GAIA salue cette décision, qui épargne aux animaux la souffrance aiguë et prolongée d'un égorgement en pleine conscience et réitère son appel aux responsables politiques à mettre un terme à l'exception prévue dans la loi qui stipule que tout animal devant être abattu doit être étourdi au préalable à moins qu'un rite religieux soit invoqué.
Après Lidl et Carrefour, et plus récemment Colruyt, Albert Heijn devient la quatrième chaîne de supermarchés à enlever de ses rayons la viande d'animaux abattus sans étourdissement, tant en boucherie que dans les surgelés.
Selon un dernier sondage d'opinion, 9 Belges sur 10 sont favorables à une loi imposant l'étourdissement des animaux avant l'abattage, sans exception.
La chaîne de supermarchés Albert Heijn, uniquement implantée en Flandre pour le moment, à decidé de ne vendre plus que de la viande provenant d'animaux ayant été étourdis avant l'abattage (halal y compris). GAIA salue cette décision, qui épargne aux animaux la souffrance aiguë et prolongée d'un égorgement en pleine conscience et réitère son appel aux responsables politiques à mettre un terme à l'exception prévue dans la loi qui stipule que tout animal devant être abattu doit être étourdi au préalable à moins qu'un rite religieux soit invoqué.
Après Lidl et Carrefour, et plus récemment Colruyt, Albert Heijn devient la quatrième chaîne de supermarchés à enlever de ses rayons la viande d'animaux abattus sans étourdissement, tant en boucherie que dans les surgelés.
Selon un dernier sondage d'opinion, 9 Belges sur 10 sont favorables à une loi imposant l'étourdissement des animaux avant l'abattage, sans exception.
VICTOIRE POUR LES ANIMAUX.. PAS TT DE SUITE MAIS CELA VIENT!!
CE SERA LONG MAIS LA VICTOIRE EST EN VUE, CONTRE LES CAGES DE GESTATION, CONTRE LES CAGES POUR LES POULES... ET ESPERONS LE AUSSI POUR LES VACHES!!!!!
DE PLUS EN PLUS DE NOUVELLES AUX JOURNAUX TELEVISES, LES ACTIVISTES N' ONT PAS L' INTENTION DE LACHER PRISE ET ILS SONT DE PLUS EN PLUS NOMBREUX!!
VICTOIRE POUR LES COCHONS... DELAWARE ... GRACE A NOS SIGNATURES!!
SOURCE ET SUITE
C' ETAIT UN EVENEMENT OU DES HUMAINS HARASSAIENT DES COCHONS
May 28, 2015 — The petition is now closing. The Delaware County Fair cancelled the event for 2015. This is a win for the "Delaware County Residents" who have tried in the past to get the event cancelled due to the violence in the event. Delaware County has taken a step towards ending violence in the community and for better welfare for animals.
C' ETAIT UN EVENEMENT OU DES HUMAINS HARASSAIENT DES COCHONS
May 28, 2015 — The petition is now closing. The Delaware County Fair cancelled the event for 2015. This is a win for the "Delaware County Residents" who have tried in the past to get the event cancelled due to the violence in the event. Delaware County has taken a step towards ending violence in the community and for better welfare for animals.
BONNES NOUVELLES POUR LES DAUPHINS DE TAIJI
SOURCE ET SUITE
LES AQUARIUMS JAPONAIS DE WAZA ONT DECIDE DE NE PLUS DETENIR LES DAUPHINS CAPTURES A TAIJI
DEViolent scenes of dolphins trapped by nets and thrashing in blood-red water have horrified caring people in Japan and around the world for years. The annual 'hunt' each September to March in the small Japanese coastal town of Taiji inspired an Academy Award-winning documentary in The Cove — and united tens of thousands of people in calling for an end to the cruelty.
Our friends at Australia for Dolphins decided to employ a fresh strategy in this long-running fight by heading to court in Switzerland earlier this year. They set out to hold to account the World Association of Zoos & Aquariums (WAZA) for failing to stop its Japanese member association (JAZA) from sourcing dolphins from the Taiji hunt. WAZA's own code of ethics prohibits capturing animals through 'drive hunting', which is what happens at Taiji.
WAZA aquariums in Japan agreed to no longer source dolphins captured in the Taiji hunt.
LES AQUARIUMS JAPONAIS DE WAZA ONT DECIDE DE NE PLUS DETENIR LES DAUPHINS CAPTURES A TAIJI
DEViolent scenes of dolphins trapped by nets and thrashing in blood-red water have horrified caring people in Japan and around the world for years. The annual 'hunt' each September to March in the small Japanese coastal town of Taiji inspired an Academy Award-winning documentary in The Cove — and united tens of thousands of people in calling for an end to the cruelty.
Our friends at Australia for Dolphins decided to employ a fresh strategy in this long-running fight by heading to court in Switzerland earlier this year. They set out to hold to account the World Association of Zoos & Aquariums (WAZA) for failing to stop its Japanese member association (JAZA) from sourcing dolphins from the Taiji hunt. WAZA's own code of ethics prohibits capturing animals through 'drive hunting', which is what happens at Taiji.
WAZA aquariums in Japan agreed to no longer source dolphins captured in the Taiji hunt.
ACTION:PETITION POUR METTRE FIN A L' ELEVAGE SANS PITIE
The
end of a farm animal’s life – hidden behind the walls of a
slaughterhouse – is a time when they are at their most vulnerable. It’s a
time when they most need protection from abuse, cruelty and negligence.
But it’s also a time when Europe’s leaders turn their backs on the animals.
PS Slaughter
is an emotive subject, and as a campaigner I know it’s an issue that
can be very upsetting. But I urge you, no matter how upsetting you find
it, please stand by my side – join me in demanding change. Please be assured you can take action without seeing any graphic images.
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jeudi 28 mai 2015
FERME DES 1000 VACHES EXPORTE LE LAIT EN BELGIQUE
Principal reproche des opposants : le mode de fonctionnement hyper intensif de la ferme. Pour eux, une aberration en termes de bien-être animal. Des centaines de vaches, enfermées, qui ne fouleront jamais l’herbe des pâturages, un personnel trop peu nombreux, trop peu formé aussi. Le risque d’épidémie chez les bêtes serait très présent et le taux de mortalité particulièrement inquiétant.
Un boycott massif en France, des débouchés en Belgique
SUITE
COREE DU NORD IL FAIT BOUILLIR LES CHATS ET VEND LA CHAIR ET LES PEAUX
SOURCE ET SUITE
AVEC PETITION CONTRE LA CRUAUTE
QUAND ON PENSE AVOIR ATTEINT LE FOND.. ON CREUSE..
LES HUMAINS DE PLUS EN PLUS MEURTRIERS
Police caught a man in his 50’s who boiled alive stray cats and sold them to “Health Food Centers”.
On May 21, Busan Bukbu (Northern) Police booked without detention, poacher Mr. A (54 years old) on charges of capturing and slaughtering 600 stray cats (a violation of Animal Protection Act).
Mr. A is suspected of capturing stray cats by setting traps with baits such as chicken in and around residential areas of Busan and Gyeongsangnam-do Province and slaughtering them in a secret location in Gimhae, Gyeongsangnam-do from February of last year until recently.
Police stated that Mr. A scalded live cats in boiling water for about 2 minutes to kill them, removed their fur, took out their organs, stored them in the freezer and then sold them to “Health Food Center” at 15,000 Won ($14 USD) each.
The police stated that when they raided Mr. A’s secret slaughterhouse, there were 18 cats about to be slaughtered.
Mr. A testified that he “captured and sold around 600 stray cats”.
Police explained that for over one year, Mr. A was able to profit from capturing because there is a high demand for cat soup because of the false belief that cat soup is good for arthritis, which has no cure.
However, police requested that unlike livestock animals such as cows and pigs, there is no management of cats for sanitation and the parasite inside a cat’s body can be transmitted to humans and therefore, cats should not be consumed.
AVEC PETITION CONTRE LA CRUAUTE
QUAND ON PENSE AVOIR ATTEINT LE FOND.. ON CREUSE..
LES HUMAINS DE PLUS EN PLUS MEURTRIERS
Police caught a man in his 50’s who boiled alive stray cats and sold them to “Health Food Centers”.
On May 21, Busan Bukbu (Northern) Police booked without detention, poacher Mr. A (54 years old) on charges of capturing and slaughtering 600 stray cats (a violation of Animal Protection Act).
Mr. A is suspected of capturing stray cats by setting traps with baits such as chicken in and around residential areas of Busan and Gyeongsangnam-do Province and slaughtering them in a secret location in Gimhae, Gyeongsangnam-do from February of last year until recently.
Police stated that Mr. A scalded live cats in boiling water for about 2 minutes to kill them, removed their fur, took out their organs, stored them in the freezer and then sold them to “Health Food Center” at 15,000 Won ($14 USD) each.
The police stated that when they raided Mr. A’s secret slaughterhouse, there were 18 cats about to be slaughtered.
Mr. A testified that he “captured and sold around 600 stray cats”.
Police explained that for over one year, Mr. A was able to profit from capturing because there is a high demand for cat soup because of the false belief that cat soup is good for arthritis, which has no cure.
However, police requested that unlike livestock animals such as cows and pigs, there is no management of cats for sanitation and the parasite inside a cat’s body can be transmitted to humans and therefore, cats should not be consumed.
mercredi 27 mai 2015
GRIPPE DU CHIEN , MAINTENANT 13 ETATS SOUS ALERTE AUX USA................ DOG FLU USA
TERRIFIANTE CETTE MALADIE QUI A MAINTENANT ATTEINT 13 ETATS AMERICAINS!!!!
TRES CONTAGIEUSE ELLE SEMBLE MEME SE TRANSMETTRE AUX CHATS!!!
SOURCE ET SUITE
CREDIT PHOTO
The sometimes deadly dog flu, canine influenza A H3N2, a type of bird flu that adapted with the ability to infect dogs first appeared in parts of Asia in 2007.
In April of 2015, the first case of Canine H3N2 was found in the United States. Although it’s unknown how the virus made its way here, the outbreak first began in Illinois where an estimated 1,000 dogs have been infected.
Over the next several weeks, the flu spread to surrounding states in the Midwest and has since made its way as far south as Alabama, Georgia, and Texas and as far west as California.
For more information, check for dog flu updates from the Centers for Disease Control.
23 OOO AMERICAINS MEURENT CHAQUE ANNEE A CAUSE DE LA RESISTANCE AUX ANTIBIOTIQUES TROP PRESENTS DANS L' ELEVAGE
SOURCE ET SUITE
REDUCTION POSSIBLE DE LA QUANTITE D' ANTIBIOTIQUES UTILISES DANS L' ELEVAGE..
For years, Walmart banked on its low prices to draw in customers, but as consumers grow concerned about the ethics of those bargains, the chain is touting a new policy it says will improve treatment of farm animals sold for meat.
The superstore released new regulations on Friday requesting that its suppliers reduce their use of antibiotics in farm animals and provide more humane treatment, including larger crates for pregnant sows, The Associated Press reports.
Walmart’s recommendation comes on the heels of other major corporations, including McDonald’s, Tyson, and Costco, beginning to phase out antibiotics in the meat they sell. While the medicines are necessary to treat infections in humans, they’ve long been fed to livestock—a problem federal regulators have struggled to curb for decades. The use of antibiotics in meat can cause major health issues. Misuse in healthy animals creates drug-resistant bacteria that become much more difficult to treat in humans. As many as 23,000 Americans die annually from antibiotic-resistant bacterial infections, according to the Centers for Disease Control and Prevention.
Walmart has asked its suppliers to give antibiotics to livestock only to prevent disease or treat illness, not in order to them fatten up—a common practice on big farms. Store officials also want their farmers to submit records of antibiotic use and post the use on their websites, and have asked for regular veterinary checkups to prevent misapplication.
Farm animals most commonly risk illness from unsanitary living conditions, in which they’re exposed to germs in filthy, confined quarters. Walmart’s new plans for more humane treatment have the potential to decrease antibiotic use by making sure the animals don’t get sick in the first place.
REDUCTION POSSIBLE DE LA QUANTITE D' ANTIBIOTIQUES UTILISES DANS L' ELEVAGE..
For years, Walmart banked on its low prices to draw in customers, but as consumers grow concerned about the ethics of those bargains, the chain is touting a new policy it says will improve treatment of farm animals sold for meat.
The superstore released new regulations on Friday requesting that its suppliers reduce their use of antibiotics in farm animals and provide more humane treatment, including larger crates for pregnant sows, The Associated Press reports.
Walmart’s recommendation comes on the heels of other major corporations, including McDonald’s, Tyson, and Costco, beginning to phase out antibiotics in the meat they sell. While the medicines are necessary to treat infections in humans, they’ve long been fed to livestock—a problem federal regulators have struggled to curb for decades. The use of antibiotics in meat can cause major health issues. Misuse in healthy animals creates drug-resistant bacteria that become much more difficult to treat in humans. As many as 23,000 Americans die annually from antibiotic-resistant bacterial infections, according to the Centers for Disease Control and Prevention.
Walmart has asked its suppliers to give antibiotics to livestock only to prevent disease or treat illness, not in order to them fatten up—a common practice on big farms. Store officials also want their farmers to submit records of antibiotic use and post the use on their websites, and have asked for regular veterinary checkups to prevent misapplication.
Farm animals most commonly risk illness from unsanitary living conditions, in which they’re exposed to germs in filthy, confined quarters. Walmart’s new plans for more humane treatment have the potential to decrease antibiotic use by making sure the animals don’t get sick in the first place.
mardi 26 mai 2015
CHIENS EN ANGLETERRE, LA MALADIE VIENT DES USA
Alabama rot, which kills by attacking blood vessels in the skin and kidneys, has been common in the USA since the 1980s.
But the hideous illness has crossed the Atlantic and appears to be taking hold.
In the USA the disease is linked to greyhounds but the strain found in Britain has attacked 15 different breeds and mongrels – none was a greyhound.
So far more than 100 dogs suffering from Alabama Rot have been reported by vets.
It is believed thousands more animals may be suffering but have so far not been taken for treatment.
Pet owners are being warned to look out for lesions on their dogs' legs as vets continue to search for the cause of the disease.
The results of an investigation into the outbreak, published in the journal Veterinary Record, reveal the full horror of the disease.
Although the initial cases were reported in Hampshire, incidents have since been confirmed across England and Wales, from Somerset in the South West to County Durham in the North East.
Hampshire vet David Walker who led the research said: “The main message is that we are still seeing cases spring up.
“Continued vigilance is the best thing. People should look out for skin lesions when the dog hasn't obviously been cut on something.
“We don't know whether this is a condition that has been in the UK for a while, but just was unrecognised, or whether it had recently emerged.”
MUTATION CHEZ LES COCHONS D' ELEVAGE INDUSTRIEL?? OU JUSTE CAS ISOLE??
TELLEMENT AFFREUX CE PAUVRE COCHON NE DANS UNE FERME ECOSSAISE. UN PRECEDENT EN CHINE
SOURCE ET SUITE
CREDIT PHOTO
A piglet has been born in Scotland with a 'human face' and a 'penis' on its forehead - just days after the same genetic mutation was found on a Chinese pig.
The animal who had a deformed face and snout, was born at a Scottish farm but is thought to have died at birth.
A farmer in China, was mobbed by crowds after his pig gave birth to a similar looking piglet, which was described as having a 'penis on its face'. The piglet, which later died, was said to have been part of a bizarre bidding war.
Staff at the farm, who don't want to be identified, have said that they have never seen such a serious deformity on a piglet, and although defects were not unlikely in high volumes of piglets, this is the rarest they have ever seen.
dimanche 24 mai 2015
HIER A PARIS, DU BIO PAS DU MONSANTO
ET ILS ONT RAISON ON EN A MARRE DE CES VEGETAUX QUI NE VALENT RIEN ET NOUS EMPOISONNENT!!!!!
ACTION:CONTRE LA FERME DES 1000 VACHES EN PICARDIE MANIFESTATION
SOURCE
Picardie - Usine des 1000 vaches
Rassemblement devant l'usine des 1000 vaches à 11h (ou à 10h devant la salle polyvalente de Drucat pour y aller tous ensemble)LE 30 ET LE 31 MAI MOBILISATION CONTRE L' INDUSTRIALISATION DE L' AGRICULTURE
SOURCE ET SUITE
ans le cadre de l'appel de la Coalition Climat 21, la Conf' se mobilise les 30 et 31 mai pour le climat, contre l'industrialisation de l'agriculture !
Mobilisons-nous contre les fermes-usines et l'industrialisation de
l'agriculture, symboles des dérives vers un projet de société néfaste
pour le climat.
ans le cadre de l'appel de la Coalition Climat 21, la Conf' se mobilise les 30 et 31 mai pour le climat, contre l'industrialisation de l'agriculture !
La
conférence de l'ONU sur le climat (COP21) aura lieu à Paris fin 2015.
Le sujet est loin d'être accessoire pour nous : les paysans et paysannes
sont les premières victimes du changement climatique. En face, multinationales et investisseurs financiers
se saisissent du changement climatique pour poursuivre
l'industrialisation de l'agriculture et faire passer leur FAUSSES
SOLUTIONS, au détriment de la souveraineté alimentaire et de l'autonomie
des paysans et paysannes.
■ Se battre CONTRE l'industrialisation de l'agriculture, c'est se battre POUR le climat. Le système alimentaire industriel est responsable de près de 50% des émissions de gaz à effet de serre. Laisser l'agriculture suivre ce mouvement d'industrialisation, c'est aggraver la crise climatique et environnementale.
Avec sa carte des fermes-usines, la Conf' a mis ce mouvement en
évidence. Profitons du week-end des 30-31 mai pour lutter contre les
projets climaticides et défendre l'agriculture paysanne !
■ L e 17 juin se déroulera à Amiens le procès en appel des 9 militants poursuivis pour le démontage des 1000 vaches. Les militants de la Conf' ont agi pour l'avenir de l'agriculture paysanne, seule à même de refroidir la planète !
Mobilisons-nous contre les fermes-usines et l'industrialisation de
l'agriculture, symboles des dérives vers un projet de société néfaste
pour le climat.
Rassemblements, conférences, apéros, actions symboliques, etc, faisons
fleurir les initiatives pour le climat et mobilisons-nous pour le 17
juin !
STRASBOURG: MANIF CONTRE LE CENTRE DE PRIMATOLOGIE
SOURCE ET SUITE
Des centaines de voix se sont élevées hier après-midi dans les rues de Strasbourg pour réclamer l’annulation du doublement de la capacité de détention ainsi que la fermeture pure et simple du centre de primatologie de Niederhausbergen dont l’activité principale consiste à importer puis à revendre des primates vers des laboratoires, dans lesquels ils subissent des tortures et, pour la plupart, meurent.
Le mouvement initié par le comité scientifique Pro Anima et l’association de défense des animaux Animalsace est fort du soutien exprimé par les 61 000 signataires de notre pétition ainsi que par plusieurs députés nationaux ou européens, et ce alors qu’au même moment, l’Initiative Citoyenne Européenne (ICE) Stop Vivisection est parvenue à recueillir l’engagement de 1,2 millions de citoyens européens.
ABONNEZ VOUS A LA NEWSLETTER!!!!
Des centaines de voix se sont élevées hier après-midi dans les rues de Strasbourg pour réclamer l’annulation du doublement de la capacité de détention ainsi que la fermeture pure et simple du centre de primatologie de Niederhausbergen dont l’activité principale consiste à importer puis à revendre des primates vers des laboratoires, dans lesquels ils subissent des tortures et, pour la plupart, meurent.
Le mouvement initié par le comité scientifique Pro Anima et l’association de défense des animaux Animalsace est fort du soutien exprimé par les 61 000 signataires de notre pétition ainsi que par plusieurs députés nationaux ou européens, et ce alors qu’au même moment, l’Initiative Citoyenne Européenne (ICE) Stop Vivisection est parvenue à recueillir l’engagement de 1,2 millions de citoyens européens.
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AIR FRANCE; MANIF CONTRE LE TRANSPORT DES PRIMATES
SOURCE ET SUITE
AVEC PHOTO
Paris – Portant des masques de singe et enfermés dans une cage, deux membres de PETA France ont manifesté devant l’assemblée annuelle d’Air France à Paris aujourd’hui. Les manifestants ont demandé à Air France de mettre fin à son transport de singes vers les laboratoires – où ils sont enfermés dans des cages, charcutés, empoisonnés et tués – tandis qu’à l’intérieur de l’assemblée, un représentant de PETA US – qui détient des actions Air France – a adressé une question en tant qu’ actionnaire : « Air France rejoindra-t-elle toutes les autres grandes compagnies aériennes commerciales du monde en cessant de transporter des singes vers les laboratoires ? »
SUITE
AVEC PHOTO
Paris – Portant des masques de singe et enfermés dans une cage, deux membres de PETA France ont manifesté devant l’assemblée annuelle d’Air France à Paris aujourd’hui. Les manifestants ont demandé à Air France de mettre fin à son transport de singes vers les laboratoires – où ils sont enfermés dans des cages, charcutés, empoisonnés et tués – tandis qu’à l’intérieur de l’assemblée, un représentant de PETA US – qui détient des actions Air France – a adressé une question en tant qu’ actionnaire : « Air France rejoindra-t-elle toutes les autres grandes compagnies aériennes commerciales du monde en cessant de transporter des singes vers les laboratoires ? »
Air France, la dernière grande compagnie à cautionner
« PETA veut faire savoir aux actionnaires d’Air France que leur entreprise est la dernière grande compagnie aérienne au monde à encore envoyer des singes sensibles à leur mort dans des laboratoires », déclare Isabelle Goetz, porte-parole de PETA France. « Si Air France ne veut pas voir sa réputation se détériorer davantage, elle renoncera pour de bon à cette cruelle activité de transport. »SUITE
TOUT LE MONDE VEUT DU BIO!!!!
SOURCE ET SUITE
NOUS SEULS POUVONS CHANGER LES CHOSES EN CONSOMMANT AUTREMENT, LES TOO BIG TO FALL DEVRONT SUIVRE.. OU DISPARAITRE
Les produits bio sont plein essor : les agriculteurs US sont obligés d’importer des produits biologiques pour répondre à la demande d’aliments sans OGM.
NOUS SEULS POUVONS CHANGER LES CHOSES EN CONSOMMANT AUTREMENT, LES TOO BIG TO FALL DEVRONT SUIVRE.. OU DISPARAITRE
Les produits bio sont plein essor : les agriculteurs US sont obligés d’importer des produits biologiques pour répondre à la demande d’aliments sans OGM.
TAFTA TOUT CE QUI NOUS EMPOISONNE BIENTOT EN EUROPE??
TOUT L' ARTICLE ICI AVEC UN SUPERBE GRAPHIQUE EXPLICATIF
Suite aux pressions des responsables du commerce des États-Unis en vue de l’accord sur le TAFTA, l’Union européenne a renoncé à prendre des mesures règlementaires relatives aux perturbateurs endocriniens liés au cancer et à la stérilité masculine.
C’est ce qui ressort des documents qu’a obtenus le Réseau européen d’action contre les pesticides (PAN Europe). Les critères de l’Union européenne en projet auraient pu interdire 31 pesticides contenant des produits chimiques, perturbateurs endocriniens. Mais ils ont été abandonnés par crainte d’une réaction commerciale violente, alimentée par un lobby états-unien agressif.
Le 2 juillet 2013 au matin, une délégation de haut niveau de la Mission des États-Unis vers l’Europe et de la Chambre états-unienne du Commerce, rendait visite aux responsables du commerce de l’Union européenne, afin d’insister pour que les européens abandonnent leurs nouveaux critères pour mettre en évidence les perturbateurs endocriniens et ce, en faveur d’une nouvelle étude d’impact. A la fin de la journée, l’Union européenne avait cédé.
Les minutes de la rencontre montrent que les responsables de la Commission expliquent que « bien qu’ils veulent que le TAFTA soit un succès, ils n’aimeraient passer pour des gens qui affaiblissent les normes européennes ».
Le TAFTA est un accord commercial en cours de négociation entre les États-Unis et l’Union européenne pour supprimer les barrières commerciales et favoriser le libre échange. Dans les minutes, on peut lire que les représentants de la Chambre de Commerce des États-Unis qui répondaient aux négociateurs états-uniens, « se plaignaient de l’inutilité de créer des catégories et donc des listes » de substances interdites. Les représentant des États-Unis insistaient pour qu’une approche basée
SUITE
Suite aux pressions des responsables du commerce des États-Unis en vue de l’accord sur le TAFTA, l’Union européenne a renoncé à prendre des mesures règlementaires relatives aux perturbateurs endocriniens liés au cancer et à la stérilité masculine.
C’est ce qui ressort des documents qu’a obtenus le Réseau européen d’action contre les pesticides (PAN Europe). Les critères de l’Union européenne en projet auraient pu interdire 31 pesticides contenant des produits chimiques, perturbateurs endocriniens. Mais ils ont été abandonnés par crainte d’une réaction commerciale violente, alimentée par un lobby états-unien agressif.
Le 2 juillet 2013 au matin, une délégation de haut niveau de la Mission des États-Unis vers l’Europe et de la Chambre états-unienne du Commerce, rendait visite aux responsables du commerce de l’Union européenne, afin d’insister pour que les européens abandonnent leurs nouveaux critères pour mettre en évidence les perturbateurs endocriniens et ce, en faveur d’une nouvelle étude d’impact. A la fin de la journée, l’Union européenne avait cédé.
Les minutes de la rencontre montrent que les responsables de la Commission expliquent que « bien qu’ils veulent que le TAFTA soit un succès, ils n’aimeraient passer pour des gens qui affaiblissent les normes européennes ».
Le TAFTA est un accord commercial en cours de négociation entre les États-Unis et l’Union européenne pour supprimer les barrières commerciales et favoriser le libre échange. Dans les minutes, on peut lire que les représentants de la Chambre de Commerce des États-Unis qui répondaient aux négociateurs états-uniens, « se plaignaient de l’inutilité de créer des catégories et donc des listes » de substances interdites. Les représentant des États-Unis insistaient pour qu’une approche basée
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samedi 23 mai 2015
vendredi 22 mai 2015
LIRE: SOIGNER SON CHIEN PAR L' ALIMENTATION PAR JANIE KNETZER
Je voulais vous parler de ce livre qui me semble indispensable a tous ceux qui ont un chien malade. agé ou vieillissant.
C' est un guide de recettes a cuisiner chez soi avec un minimum d' ingrédients a sélectionner en fonction des différentes pathologies de vôtre chien.
Au sujet de son livre Janie m' a écrit:
"I’ve always been a huge animal lover with a strong bond with dogs. My brother gave me my first puppy at the age of eight and I was hooked! My passion for dogs has grown stronger over the years and has grown even more for older dogs. As dogs age, unfortunately, many will eventually need nutritional help because of poor immune health and/or disease. This cook book for dogs was developed due to the lack of guidance in this area. so many dog owners need help with how to feed their sick, elderly dog.
Prescription diets are big money makers for veterinarians and they are not nutritionally sound for your dog. They lack what is truly good for your dog. This little cook book is ideal for both dog and owner. The meals can be cooked in the crock pot and most recipes only consist of five ingredients or a little more, and they taste good. You’ll find recipes for liver disease, kidney disease, heart disease, pancreatitis, cancer and dogs with seizures.
It’s perfect to keep in your library as a reference should your dog unfortunately encounter any of the above health issues."
lundi 18 mai 2015
TAFTA ET ANIMAUX, BIG BUSINESS A N' IMPORTE QUEL PRIX, SOUFFRANCE ANIMALE ON S' EN FOUT!!!
source et suite
Nous savons aujourd'hui que le Traité de libre échange entre l'Union européenne et les États Unis (le désormais fameux TAFTA) va dérouler le tapis rouge aux entreprises multinationales des deux côtés de l'Atlantique, remettant en cause les droits sociaux et environnementaux de l'ensemble des citoyens européens et américains. Mais si un certain nombre d'aspects du Traité transatlantique ont été jusqu'à présent abordés grâce à la mobilisation de l'opinion publique, très peu de choses ont été dites sur l'impact que le TAFTA aura sur les animaux d'élevage. Or c'est une question écologique très importante pour notre santé, notre environnement et pour la condition animale.
Tout d'abord, le TAFTA, en cherchant à supprimer les barrières commerciales non-tarifaires entre l'Union européenne et les États-Unis, représente un risque de révision à la baisse des normes régulant les conditions d'élevage des animaux. La situation européenne en la matière, certes non idéale, est plus avancée que dans les autres pays. L'UE régule la protection des animaux « de la ferme à l'assiette », c'est à dire sur l'ensemble des étapes de la production (élevage, transport et abattage). Elle interdit les hormones de croissance et est nettement moins tolérante avec les aliments génétiquement modifiés et les antibiotiques que les États-Unis. De plus, depuis 2013, l'UE interdit l'expérimentation animale pour les produits cosmétiques, ainsi que l'importation de produits qui ont été testés sur les animaux.
Étant donnée la position dominante des multinationales qui a primé au cours des négociations précédentes, tout semble indiquer que :
Dans le cas d'une convergence normative au sein du TAFTA, celle-ci se fera en tirant vers le bas les normes sur le bien-être animal en vigueur en Europe (puisqu'il est difficile d'imaginer que les États-Unis alignent les leurs sur celles de l'UE). De plus, la position de négociatrice initiale de l'Union européenne (publiée le 8 janvier 2015) n'est pas réjouissante : alors qu'elle souhaite « préserver le droit de chaque partie à protéger la vie humaine, animale ou végétale sur son territoire », elle ajoute au point suivant que « les mesures sanitaires et phytosanitaires ne devront pas créer de barrières inutiles au commerce ». Par ailleurs, les précédents en la matière ne sont pas rassurants : le traité de libre échange actuellement négocié entre le Canada et l'UE, appelé CETA et véritable cheval de Troie du TAFTA, ne fait qu'une seule mention, insignifiante et non obligatoire, au « bien-être animal ».
En cas d'approbation du TAFTA sans convergence, nous risquons d'assister en matière de protection animale à un véritable dumping, avec des multinationales tentant de baisser leurs coûts par le déménagement de leur production vers les lieux les moins contraignants. Les différences de législations entre les deux rives de l'Atlantique placeront de plus les fermiers européens dans une situation économique difficile. Nous avons bien connu cela avec l'importation d'œufs du Brésil.
L'objectif de ce traité est limpide : augmenter le commerce et les investissements entre l'UE et les États-Unis, grâce notamment à la baisse du coût de production des produits d'élevage (principalement viande, œufs et lait). Une réalité clairement insoutenable tant d'un point de vue éthique que vis-à-vis de la qualité des produits et des dégâts causés sur l'environnement. Mieux vaudrait privilégier la réduction de notre consommation de produits animaux pour en privilégier la qualité, tant pour notre santé que pour lutter contre le dérèglement climatique et pour améliorer la condition animale, plutôt que de continuer dans cette course au toujours plus, mortifère pour l'homme, son environnement et l'ensemble des autres espèces.
Nous savons aujourd'hui que le Traité de libre échange entre l'Union européenne et les États Unis (le désormais fameux TAFTA) va dérouler le tapis rouge aux entreprises multinationales des deux côtés de l'Atlantique, remettant en cause les droits sociaux et environnementaux de l'ensemble des citoyens européens et américains. Mais si un certain nombre d'aspects du Traité transatlantique ont été jusqu'à présent abordés grâce à la mobilisation de l'opinion publique, très peu de choses ont été dites sur l'impact que le TAFTA aura sur les animaux d'élevage. Or c'est une question écologique très importante pour notre santé, notre environnement et pour la condition animale.
Tout d'abord, le TAFTA, en cherchant à supprimer les barrières commerciales non-tarifaires entre l'Union européenne et les États-Unis, représente un risque de révision à la baisse des normes régulant les conditions d'élevage des animaux. La situation européenne en la matière, certes non idéale, est plus avancée que dans les autres pays. L'UE régule la protection des animaux « de la ferme à l'assiette », c'est à dire sur l'ensemble des étapes de la production (élevage, transport et abattage). Elle interdit les hormones de croissance et est nettement moins tolérante avec les aliments génétiquement modifiés et les antibiotiques que les États-Unis. De plus, depuis 2013, l'UE interdit l'expérimentation animale pour les produits cosmétiques, ainsi que l'importation de produits qui ont été testés sur les animaux.
Alors que l'Europe a inscrit le bien-être animal dans ses principes fondamentaux (Traité de Lisbonne de l'Union Européenne, 2009), la législation fédérale étasunienne n'en a clairement rien à faire : il existe une seule régulation fédérale qui inclut quelques aspects de protection des animaux uniquement lors de l'abattage, centrée sur le produit final. Mais, à l'exception de quelques États, elle n'interdit pas le confinement extrême, elle soutient, aux côtés des multinationales, l'utilisation des produits transgéniques pour la consommation humaine et animale, elle admet le clonage animal pour la consommation humaine, elle accepte l'expérimentation animale pour les produits cosmétiques et d'hygiène, elle n'inclut pas dans sa loi sur le bien-être animal les oiseaux, les poissons, les rats et les souris, qui sont les espèces les plus utilisées en laboratoire, etc. Quant à sa législation sur le transport d'animaux, elle date de 1873 !De son côté, le lobby agro-industriel américain de la viande a un objectif clair : les négociations du TAFTA doivent servir à contrer les normes européennes. Par exemple, le Conseil National des Producteurs de Porcs des États-Unis déclare, en s'appuyant sur les accords de l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC), que le TAFTA ne devrait permettre aucune restriction des importations européennes basée sur le bien-être animal. Il souhaite notamment la fin de toutes les barrières non-tarifaires, dont les restrictions sanitaires et phytosanitaires. Par exemple, les producteurs de porc américains exigent l'autorisation de la ractopamine (additif alimentaire utilisé aux États-Unis pour accélérer la croissance des porcs), qui est pourtant interdite dans l'UE et dans plus de 150 pays pour ses effets secondaires sur les animaux et sur la santé humaine.
Étant donnée la position dominante des multinationales qui a primé au cours des négociations précédentes, tout semble indiquer que :
Dans le cas d'une convergence normative au sein du TAFTA, celle-ci se fera en tirant vers le bas les normes sur le bien-être animal en vigueur en Europe (puisqu'il est difficile d'imaginer que les États-Unis alignent les leurs sur celles de l'UE). De plus, la position de négociatrice initiale de l'Union européenne (publiée le 8 janvier 2015) n'est pas réjouissante : alors qu'elle souhaite « préserver le droit de chaque partie à protéger la vie humaine, animale ou végétale sur son territoire », elle ajoute au point suivant que « les mesures sanitaires et phytosanitaires ne devront pas créer de barrières inutiles au commerce ». Par ailleurs, les précédents en la matière ne sont pas rassurants : le traité de libre échange actuellement négocié entre le Canada et l'UE, appelé CETA et véritable cheval de Troie du TAFTA, ne fait qu'une seule mention, insignifiante et non obligatoire, au « bien-être animal ».
En cas d'approbation du TAFTA sans convergence, nous risquons d'assister en matière de protection animale à un véritable dumping, avec des multinationales tentant de baisser leurs coûts par le déménagement de leur production vers les lieux les moins contraignants. Les différences de législations entre les deux rives de l'Atlantique placeront de plus les fermiers européens dans une situation économique difficile. Nous avons bien connu cela avec l'importation d'œufs du Brésil.
L'objectif de ce traité est limpide : augmenter le commerce et les investissements entre l'UE et les États-Unis, grâce notamment à la baisse du coût de production des produits d'élevage (principalement viande, œufs et lait). Une réalité clairement insoutenable tant d'un point de vue éthique que vis-à-vis de la qualité des produits et des dégâts causés sur l'environnement. Mieux vaudrait privilégier la réduction de notre consommation de produits animaux pour en privilégier la qualité, tant pour notre santé que pour lutter contre le dérèglement climatique et pour améliorer la condition animale, plutôt que de continuer dans cette course au toujours plus, mortifère pour l'homme, son environnement et l'ensemble des autres espèces.
Aujourd'hui, les conditions d'élevage dans tous les ateliers industriels hors sols sont déplorables, que ce soit aux États-Unis où dans certaines régions européennes comme la Bretagne, la Catalogne ou encore le nord de l'Allemagne. Elles offrent aux agriculteurs s'étant pliés à ce modèle des avantages économiques tandis que les éleveurs qui respectent leurs animaux (élevage en plein air de poules, vaches, cochons, etc. ), notamment dans les zones de montagne, sont étouffés par cette concurrence déloyale qui tirent les prix toujours vers le bas. Les fermes usines transforment les paysans en ouvriers précaires et les animaux en machines, au seul bénéfice des financiers et de quelques industriels qui sont en train de mettre la main sur l'agriculture et l'alimentation. Ce modèle d'ores et déjà insoutenable risque bien d'être renforcé avec l'entrée en vigeur du Traité transatlantique.En d'autres termes, le TAFTA signifie une vraie progression en Europe de la marchandisation de la vie en générale et de celle des animaux en particulier. Une raison supplémentaire de dire non au Traité transatlantique.
SAUVER LES ANIMAUX DU TRAFIC DE CHATS ET CHIENS.. CEUX QUI AGISSENT VRAIMENT
SOURCE ET SUITE
ENFIN DES ACTES ET NON CES PETITIONS QUI SONT LA POUR NOUS OCCUPER ET NOUS FAIRE ESPERER DES RESULTATS QUI NE VIENNENT JAMAIS..
Alors que le trafic de chiens et de chats prospère sur les trottoirs parisiens, le groupe Archetype multiplie les « opérations commando » pour sauver ces animaux à la santé souvent fragile. Vegemag les a rencontré.
Qu’est-ce que le projet Archétype?
Nous sommes un groupe qui agit pour sauver par nos propres moyens des animaux du trafic, pour lesquels il y a peu de possibilités de retraits légaux. Archétype n’est qu’un pseudo que j’utilise depuis longtemps pour recueillir les signalements d’animaux du trafic via les réseaux sociaux, et chercher de l’aide pour mener à bien les actions.Mais le groupe en lui même n’est sous aucune égide. J’ai récemment décidé de rendre les actions publiques pour inciter les gens à réagir et que les choses avancent au delà de sauvetages isolés et incessants.
AUTRE EXTRAIT:
Alors que le trafic de chiens et de chats prospère sur les trottoirs parisiens, le groupe Archetype multiplie les « opérations commando » pour sauver ces animaux à la santé souvent fragile. Vegemag les a rencontré.
Qu’est-ce que le projet Archétype?
Nous sommes un groupe qui agit pour sauver par nos propres moyens des animaux du trafic, pour lesquels il y a peu de possibilités de retraits légaux. Archétype n’est qu’un pseudo que j’utilise depuis longtemps pour recueillir les signalements d’animaux du trafic via les réseaux sociaux, et chercher de l’aide pour mener à bien les actions.Mais le groupe en lui même n’est sous aucune égide. J’ai récemment décidé de rendre les actions publiques pour inciter les gens à réagir et que les choses avancent au delà de sauvetages isolés et incessants.
dimanche 17 mai 2015
INGREDIENTS COMPLEMENTAIRES ET INDISPENSABLES
Meat reduction and elimination has been linked to lower risks of cancer, diabetes, heart disease, digestion problems, inflammation, high cholesterol, and more. Meat consumption is also one of the leading causes of antibiotic resistance in our food supply and a large contributor to unhealthy offerings at fast food and supermarket chains everywhere. While you could easily go to a doctor and get a medication to treat one of these health issues above, consistently eating an unhealthy diet will eventually lead to problems.
Why Going Meatless is a Win for Your Health
Instead of masking the problem and bandaging the symptoms, we’ve got to start treating the problem directly. That starts with our ability and privilege to choose what we eat every single day. We do have a choice and it’s much easier than we realize.However, giving up meat doesn’t mean turning to unhealthy meat alternatives or just eating vegan junk food. It means turning to real foods that supply the body with essential proteins, vitamins, and minerals to not only improve the heart, blood, and immune system, but also keep your energy up and digestion working well. All of these are key to a healthy body.
Let’s take a look at some of the top foods to eat once the meat is off your plate …
POUR LES VEGETARIENS DE LONGUE DATE C' EST UN RAPPEL CAR IL EST SI FACILE D' APPRENDRE DANS QUEL INGREDIENT TROUVER LES PROTEINES, LES VITAMINES, LES GLUCIDES ET AUTRES, MAIS POUR LES DEBUTANTS CETTE PAGE EST PLEINE D' IDES ET DE CONSEILS.
Mineral rich foods include all foods that are high in magnesium, iron, calcium, manganese, copper, and more. Magnesium is crucial to optimal energy levels along with muscle repair, lowering blood pressure, digestive regularity, and optimizing your mood. Iron is essential to a healthy metabolism and is quite simple to get enough of on a plant-based diet. Calcium can keep your nails strong, prevents bone loss, and unlike calcium found in animal sources, plant-based options don’t cause inflammation. Eat these mineral-rich foods: almonds, cashews, hemp seeds, chia seeds, sunflower seeds, pumpkin seeds, mulberries, quinoa, amaranth, teff, oats, walnuts, raisins, goji berries, millet, flax, kale, spinach, broccoli, beans, legumes, bananas, figs, dates, oranges, cacao, avocado, and coconut. Talk about variety!
MAGNIFIQUE SITE DE RECETTES DE HAMBURGERS VEGETARIENS ET VEGAN
AMUSEZ VOUS A ESSAYER QUELQUES UNES DE CES RECETTES
DEVENIR VÉGÉTARIEN C' EST INNOVER ET ESSAYER DE NOUVEAUX GOÛTS ET SURTOUT DE NOUVEAUX MÉLANGES D'INGRÉDIENTS PLUS GOÛTEUX!!
ICI IL NE RESTE QUE LE NOM ET LA PRESENTATION DE HAMBURGER
SUR LE SITE PAS SEULEMENT DES HAMBURGERS... ET CLASSEMENT PAR PAYS, INGREDIENTS OCCASIONS ET AUTRES
OUAHHHHHHOU QUEL SITE!!
SOURCE ET SUITE
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UN TORERO ENCORNE, PAS ASSEZ, IL VA CONTINUER..
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Lors d’une corrida à Madrid nommée feria San Isidro, un taureau a encorné le torero Jimenez Fortes.
Le torero de Malaga, Jimenez Fortes a été encorné à deux reprises au cou. Son état est stable mais les blessures sont graves. Le torero a eu la chance d’être soigné, ce qui n’a pas été le cas des cinq précédents taureaux qu’il a fait souffrir et tué lors de la même journée.
Une grande pensée pour les taureaux tués ce jour là et tués à chaque corrida. Pour ceux qui veulent nous critiquer, non on n’aime pas voir un homme qui souffre, mais on n’aime encore moins voir un homme qui fait volontairement souffrir. Jimenez Fortes a tout de même tué cinq animaux non humains ce jeudi de corrida, cinq animaux qui ont perdu la vie à cause de lui, c’est inacceptable. A la différence des taureaux, Jimenez Fortes n’est pas un innocent.
Pour lutter et militer contre cette pratique d’un autre siècle, rejoignez le Comité Radicalement Anti Corrida.
Mise à jour (dimanche 17 mai) : Le torero a été interviewé par AplausoS et il a déclaré « Je cherche toujours à voir le côté positif » avant de continuer par « Maintenant, je veux revenir à Madrid et montrer à nouveau que je sais toréer » . Comme quoi tout le monde n’apprend pas de ses erreurs et ne voit pas le bon côté positif des choses…
POUR LES VEGANS ET CEUX QUI VONT BIENTOT LE DEVENIR.
POUR LES AUTRES... ALLEZ BOUFFER VOS CADAVRES!!
SOURCE ET SUITE
Vegactu a sélectionné pour vous les sites incontournables de la véganosphère.
N’hésitez pas à nous soumettre votre blog/site en commentaire, si validation après consultation, nous l’ajouterons à la liste.
Recette
Vg-zone de Sebastien Kardinal et Laura Veganpower, la référence ultime
100% végétal de Marie Laforêt
Pigut – Des centaines de recettes bio végétales extra gourmandes
Lili’s Kitchen – Cuisine toujours végétale, souvent sans gluten
Antigone XXI – Blog d’Antigone : des recettes de cuisine, de cosmétiques, etc…
Veganwiz – Site très varié avec pleins de recettes étonnantes
Blogs BD
Insolente Veggie – On ne la présente plus !
Associations
APPEL AUX DONS POUR UN REFUGE .GROSSE DETRESSE CHIENS EN DANGER DE MORT
Vous connaissez bien l'association Cupko - Deed for Dogs,
qui oeuvre pour les chiens errants à Sarajevo, en Bosnie-Herzégovine.
Depuis son arrivée sur Clic Animaux, l'association a pu sauver grâce à
votre aide près de 50 chiens ! Nous ne vous en remercierons jamais
assez.
Depuis très longtemps, l'association voulait faire quelque chose de plus pour les chiens de Sarajevo. Suite aux conseils et à l'aide de la SPA d’Arthaz, les bénévoles ont décidé d'ouvrir un refuge sur place. L'objectif était d'aider, de guérir et de proposer à l’adoption les chiens abandonnés et maltraités qui vivent dans les rues de Sarajevo.
Depuis très longtemps, l'association voulait faire quelque chose de plus pour les chiens de Sarajevo. Suite aux conseils et à l'aide de la SPA d’Arthaz, les bénévoles ont décidé d'ouvrir un refuge sur place. L'objectif était d'aider, de guérir et de proposer à l’adoption les chiens abandonnés et maltraités qui vivent dans les rues de Sarajevo.
NOUS N'AVONS QUE QUELQUES JOURS POUR LES SAUVER !
Ces 15 chiens sont condamnés à mourir dans la rue ou à l'euthanasie si nous ne les sauvons pas.
Ils ont tous un passé difficile. Personne ne veut d'eux...
Grâce à l'association Cupko - Deed for Dogs, ils vivent dans un refuge de Sarejevo et ont pu être sauvés d'une mort certaine.
Mais aujourd'hui, leur vie est de nouveau menacée.
L'association Cupko - Deed for Dogs ne peut plus payer le loyer et la nourriture des chiens... Le refuge fermera à la fin du mois si on ne fait rien.
Et remettre tous ces chiens à la rue serait les condamner à mort : coups de feu, jets de pierre, de pétards, coups de pieds, "accidents" de voiture, lâchers dans des champs de mines... Ils n'ont aucune chance de survie dehors.
Il ne reste plus que quelques jours pour leur sauver la vie !
Tigra, Figaro, Amy, Jack, Sara, Lucky, Gaby et ses 8 bébés comptent sur vous !
Ces 15 chiens sont condamnés à mourir dans la rue ou à l'euthanasie si nous ne les sauvons pas.
Ils ont tous un passé difficile. Personne ne veut d'eux...
Grâce à l'association Cupko - Deed for Dogs, ils vivent dans un refuge de Sarejevo et ont pu être sauvés d'une mort certaine.
Mais aujourd'hui, leur vie est de nouveau menacée.
L'association Cupko - Deed for Dogs ne peut plus payer le loyer et la nourriture des chiens... Le refuge fermera à la fin du mois si on ne fait rien.
Et remettre tous ces chiens à la rue serait les condamner à mort : coups de feu, jets de pierre, de pétards, coups de pieds, "accidents" de voiture, lâchers dans des champs de mines... Ils n'ont aucune chance de survie dehors.
Il ne reste plus que quelques jours pour leur sauver la vie !
Tigra, Figaro, Amy, Jack, Sara, Lucky, Gaby et ses 8 bébés comptent sur vous !
samedi 16 mai 2015
LE VEAU ET SA MERE/STOP AUX PRODUITS LAITIERS
SOURCE ET SUITE
AVEC VIDEOS ET PHOTOS
PARCE QUE TROP DE GENS NE SAVENT PAS ENCORE!!!
ETONNANT D' AILEURS DE REALISER QUE CETTE IGNORANCE EST REPANDUE
LAISSEZ LES VEAUX A LEUR MERE, ET LE LAIT AUX VEAUX!!
CESSONS TOUTE CONSOMMATION DE PRODUITS LAITIERS!!
Cows don’t always have milk in their udders, and they don’t need to be milked by farmers. They produce milk for the same reason human women do: to feed their babies.
Since cows only produce milk after they’ve been pregnant, farmers artificially inseminate them on what the industry calls a “rape rack.”
Around 10 months after a cow becomes pregnant, she gives birth, and a strong bond instantly forms between mother and calf. If given the chance, a mother cow would nurture and protect her calf.
AVEC VIDEOS ET PHOTOS
PARCE QUE TROP DE GENS NE SAVENT PAS ENCORE!!!
ETONNANT D' AILEURS DE REALISER QUE CETTE IGNORANCE EST REPANDUE
LAISSEZ LES VEAUX A LEUR MERE, ET LE LAIT AUX VEAUX!!
CESSONS TOUTE CONSOMMATION DE PRODUITS LAITIERS!!
Cows don’t always have milk in their udders, and they don’t need to be milked by farmers. They produce milk for the same reason human women do: to feed their babies.
Since cows only produce milk after they’ve been pregnant, farmers artificially inseminate them on what the industry calls a “rape rack.”
Around 10 months after a cow becomes pregnant, she gives birth, and a strong bond instantly forms between mother and calf. If given the chance, a mother cow would nurture and protect her calf.
MAREE NOIRE GOLFE DU MEXIQUE ....TOUJOURS EN COURS
SOURCE ET SUITE
AVEC PHOTO ET VIDEO
PAS SURPRISE MAIS QUELLE TRISTESSE POUR LES CETACES ET AUTRES POISSONS
Voilà déjà plus d'une décennie qu'une fuite de pétrole continue de se déverser dans le golfe du Mexique quotidiennement.
C'est lors du passage de l'ouragan Ivan, le 16 Septembre 2004, qu'elle aurait commencé, affirment les régulateurs fédéraux des Etats Unis.
Ils estiment que cette fuite risque même de persister encore pendant les 100 prochaines années, voir plus. Le gouvernement fédéral est désormais sur le qui vive.
Les estimations du gouvernement obtenues par l'Associated Press fournissent de nouveaux détails sur la portée de cette fuite invraisemblable et qui persiste déjà depuis plus de dix ans.
De son coté, Taylor Energy Co, qui détenait la plate-forme en 2004, a minimisé l'ampleur et l'impact de la fuite sur l'environnement et maintient que rien ne permet d'éliminer complètement les nappes de pétrole sous marines chroniques qui s'étendent maintenant sur des miles marins au large de la côte de la Louisiane.
La socièté Taylor a tenté de négocier dernierement un accord avec le gouvernement pour résoudre ses obligations financières, mais les autorités ont repoussé les offres de l'entreprise et ont même ordonné des travaux supplémentaires à la société.
"Il y a encore beaucoup choses que la ste Taylor peut faire pour mieux contrôler et contenir la fuite" explique un feuillet du Département de l'Intérieur obtenu par l'agence AP.
Les régulateurs fédéraux soupçonnent que le pétrole fuit toujours d'au moins 1 des 25 puits qui sont restés ensevelis sous des monticules de sédiments provoqués par une coulée de boue sous-marine déclenchée par une vagues générée par l'ouragan Ivan.
Une enquête d' AP du mois dernier avait déjà révélé des preuves que la fuite est bien pire que Taylor ou le gouvernement l'affirment.
SUITE
AVEC PHOTO ET VIDEO
PAS SURPRISE MAIS QUELLE TRISTESSE POUR LES CETACES ET AUTRES POISSONS
Voilà déjà plus d'une décennie qu'une fuite de pétrole continue de se déverser dans le golfe du Mexique quotidiennement.
C'est lors du passage de l'ouragan Ivan, le 16 Septembre 2004, qu'elle aurait commencé, affirment les régulateurs fédéraux des Etats Unis.
Ils estiment que cette fuite risque même de persister encore pendant les 100 prochaines années, voir plus. Le gouvernement fédéral est désormais sur le qui vive.
Les estimations du gouvernement obtenues par l'Associated Press fournissent de nouveaux détails sur la portée de cette fuite invraisemblable et qui persiste déjà depuis plus de dix ans.
De son coté, Taylor Energy Co, qui détenait la plate-forme en 2004, a minimisé l'ampleur et l'impact de la fuite sur l'environnement et maintient que rien ne permet d'éliminer complètement les nappes de pétrole sous marines chroniques qui s'étendent maintenant sur des miles marins au large de la côte de la Louisiane.
La socièté Taylor a tenté de négocier dernierement un accord avec le gouvernement pour résoudre ses obligations financières, mais les autorités ont repoussé les offres de l'entreprise et ont même ordonné des travaux supplémentaires à la société.
"Il y a encore beaucoup choses que la ste Taylor peut faire pour mieux contrôler et contenir la fuite" explique un feuillet du Département de l'Intérieur obtenu par l'agence AP.
Les régulateurs fédéraux soupçonnent que le pétrole fuit toujours d'au moins 1 des 25 puits qui sont restés ensevelis sous des monticules de sédiments provoqués par une coulée de boue sous-marine déclenchée par une vagues générée par l'ouragan Ivan.
Une enquête d' AP du mois dernier avait déjà révélé des preuves que la fuite est bien pire que Taylor ou le gouvernement l'affirment.
SUITE
INTOLERANCE AU LACTOSE ET SYMPTOMES
SOURCE ET SUITE
ET SI C' ETAIT VOTRE PROBLEME SANTE??
L'intolérance au lactose est une pathologie qui semble toucher chaque année davantage de personnes mais qui peut être parfois surestimée en raison de l'effet mode des régimes sans lait ou sans gluten. Cette situation peut provoquer des comportements nutritionnels inadaptés pouvant conduire à supprimer totalement les laitages de l'alimentation et entrainer des déficits en calcium. En effet, une intolérance au lactose n'interdit en aucun cas de consommer du lait ou des produits laitiers, si certains conseils sont bien respectés.
SUITE
ET SI C' ETAIT VOTRE PROBLEME SANTE??
L'intolérance au lactose est une pathologie qui semble toucher chaque année davantage de personnes mais qui peut être parfois surestimée en raison de l'effet mode des régimes sans lait ou sans gluten. Cette situation peut provoquer des comportements nutritionnels inadaptés pouvant conduire à supprimer totalement les laitages de l'alimentation et entrainer des déficits en calcium. En effet, une intolérance au lactose n'interdit en aucun cas de consommer du lait ou des produits laitiers, si certains conseils sont bien respectés.
Définition
L'intolérance au lactose est provoquée par un déficit de sécrétion de la lactase par l'intestin. La diminution de cette enzyme qui permet de digérer le lactose, sucre principal du lait empêche la bonne digestion du lactose présent dans le lait. Le lactose stagne alors dans l'intestin, où il favorise la fermentation des bactéries. Une personne qui ne possède pas ou plus suffisamment de lactase digère mal tous les produits contenant du lactose, développant ainsi une intolérance au lactose. La fermentation du lactose dans le colon qui en découle est à l'origine des manifestations observées chez ces personnes.SUITE
vendredi 15 mai 2015
USA HECATOMBE DE VOLAILLES, GRIPPE AVIAIRE DEPUIS DES MOIS!!!!! 33 MILLIONS DE BETES MASSACREES
SOURCE ET SUITE
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IL EST TEMPS DE DEVENIR VG OU MIEUX VEGAN
Le gouverneur du Nebraska, Pete Ricketts, a déclaré l'état d'urgence jeudi afin d'aider à combattre la propagation de la grippe aviaire dans l'état.
Les mesures prises par Ricketts fait du Nebraska le quatrième État américain à déclarer une urgence contre le virus qui se propage actuellement rapidement aux états Unis.
La décision a été prise après que les responsables agricoles fédéraux aient confirmé un deuxième site positif à la présence du virus dans ses élevages.
La décision du Nebraska suit les actions antérieures prises par les gouverneurs dans les États les plus durement touchés, l'Iowa, le Minnesota et le Wisconsin. Le virus a déjà conduit à l'abattage de plus de 33 millions de têtes de volaille dans 16 États des USA.
La flambée d'influenza aviaire qui frappe le Nebraska fait de lui le 16e État à signaler des cas dans ses elevages.
Les deux fermes touchées au Nebraska sont en quarantaine.
Reuters a rapporté que l'industrie de la volaille et des oeufs américaines est touchée depuis des mois par la plus grande épidémie jamais enregistrée dans le pays. L'épidémie est actuellemnt plutôt concentrée dans les États de l'Ouest.
Lundi dernier, le virus a été détecté dans un élevage dans l' Indiana.
jeudi 14 mai 2015
VEGANISME/INFORMATION ET DEGUSTATION 16 MAI A PARIS
Dans l’Hexagone, le véganisme touche seulement une petite minorité, comme le reconnaît Johanne Mielcarek : « On
a pas mal de retard par rapport à la Grande-Bretagne ou la Hollande,
mais on est en train de le combler. En France on baigne dans une culture
de la viande, mais de plus en plus de boutiques végétaliennes
s’ouvrent, les personnes s’intéressent. » Prochain grand événement en date pour découvrir ce mode de consommation alternatif : samedi 16 mai à Paris.
SOURCE
L' EVENEMENT A PARIS:
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Alliant militantisme et convivialité, la Vegan Place s'articule autour de trois pôles:
- gourmandise, avec des dégustations 100% végétales;
- information, avec des stands d'associations;
- diffusion, avec des vidéos à visionner pour connaitre les pratiques de l'industrie agroalimentaire.
Seront présents samedi: Abolition de la viande, Association Sentience, Cupcakes laboratory, le pâtissier Bernard Alain, Le Comptoir Végan, la Boîte Militante, Veggie Pride Paris, Eric Lieveaux avec son petit stand de nourriture vegan japonaise et coréenne, Manger Végétalien, Vegan Folie's, Hank, CCEA Collectif Contre L'Expérimentation et l'Exploitation l'Animale, Galgos Ethique Europe, la créatrice Matina Martz, Sarah Vegan Keshet, Adopt A Monster, Collection V - L'Âge d'Homme, PACHAMAMAÏ, probablement Respectons (association de protection animale) et l'Association Végétarienne de France. Et bien sûr, L214 Ethique et Animaux!
Ensemble, montrons qu'un autre monde est possible pour les animaux! Venez nombreux!
SOURCE
L' EVENEMENT A PARIS:
SUIVRE SUR FACEBOOK....
Alliant militantisme et convivialité, la Vegan Place s'articule autour de trois pôles:
- gourmandise, avec des dégustations 100% végétales;
- information, avec des stands d'associations;
- diffusion, avec des vidéos à visionner pour connaitre les pratiques de l'industrie agroalimentaire.
Seront présents samedi: Abolition de la viande, Association Sentience, Cupcakes laboratory, le pâtissier Bernard Alain, Le Comptoir Végan, la Boîte Militante, Veggie Pride Paris, Eric Lieveaux avec son petit stand de nourriture vegan japonaise et coréenne, Manger Végétalien, Vegan Folie's, Hank, CCEA Collectif Contre L'Expérimentation et l'Exploitation l'Animale, Galgos Ethique Europe, la créatrice Matina Martz, Sarah Vegan Keshet, Adopt A Monster, Collection V - L'Âge d'Homme, PACHAMAMAÏ, probablement Respectons (association de protection animale) et l'Association Végétarienne de France. Et bien sûr, L214 Ethique et Animaux!
Ensemble, montrons qu'un autre monde est possible pour les animaux! Venez nombreux!
MEGA FERMES... RIEN NE VA PLUS!! IL FAUT REPENSER LE SYSTEME!! LAURENT PINATEL/ANDRE PFIMLIN/PABLO SEVIGNE
HÉLAS CEUX QUI DÉTIENNENT LES CLÉS NE VEULENT PAS VOIR... OU BIEN SONT SOUS INFLUENCE??
LE COMBAT DEVIENT INÉVITABLE ET PASSIONNANT... MAIS DES MILLIONS DE VIES SONT EN JEU.
QUE LA VIE GAGNE
Fermez les yeux, et imaginez plus d’un million de volailles entassées dans une seule exploitation. 11 000 porcs serrés les uns à côté des autres. 120 000 agneaux engraissés dans un même lieu. Non, ce n’est pas un cauchemar, mais les différents visages de l’industrialisation de notre agriculture. Voici la carte qui recense ces dérives industrielles.
La Confédération paysanne publie aujourd’hui une carte de France de ce phénomène sans précédent. Le syndicat recense une trentaine de « projets phares », témoins d’un dévoiement dangereux du modèle productiviste. « C’est une agriculture destructrice d’emplois, incompatible avec la préservation de notre environnement et prédatrice d’une agriculture à taille humaine », explique le syndicat paysan.
Que nous révèle cette carte ? « Nous avons voulu montrer une dérive lourde du système actuel, dont le symbole est la ferme-usine », explique Laurent Pinatel, porte-parole de la Confédération paysanne. La ferme des 1000 vaches dans la Somme n’est qu’un des avatars de cette industrialisation tous azimuts. Une tendance à la concentration et à l’hyper-spécialisation qui touche tous les types d’élevages, mais aussi les cultures maraîchères.
Comme ces 25 ha de serres de tomates hors sol à Echillais (Charente-maritime), chauffées par un méga incinérateur… pour produire 50 tonnes de tomates par jour. Un phénomène souvent porté par des grands groupes industriels, mais aussi par des agriculteurs. « En Aveyron, un paysan engraisse plus de 120 000 agneaux, et nous ne cautionnons pas cette pratique juste parce qu’elle est portée par un paysan », précise Laurent Pinatel.
Une tendance nocive ? Le gouvernement ne semble pas de cet avis. « Ceux qui disent qu’on peut se passer d’une agriculture industrielle se mentent à eux-mêmes. » Mercredi 17 février, Stéphane Le Foll a une nouvelle fois mis les pieds dans le plat. « Pas de faux débats », a-t-il précisé à nos confrères du Parisien. « On a besoin d’une industrie agroalimentaire, et on a aussi besoin, pour la production de certains aliments, d’une production suffisamment industrialisée pour qu’elle soit accessible. » Alors qui a raison ?
Qu’entend-on par industrialisation de l’agriculture ?
« Il s’agit d’appliquer à l’agriculture des processus qui ont fait leurs preuves dans l’industrie : produire toujours à plus grande échelle pour produire au moindre coût monétaire », explique l’agronome Marc Dufumier. Mécanisation, robotisation, augmentation de la taille et concentration des exploitations.
Pourtant, « l’idée que l’on va faire des économies d’échelle avec des grands troupeaux est fausse », dit André Pfimlin, spécialiste des élevages laitiers. « Aux États-Unis, des chercheurs ont montré que ces grands troupeaux, nécessitant des équipements nouveaux, avaient des coûts par tonne de lait plus élevés et étaient plus vulnérables aux variations du prix du lait et de l’aliment. Leur rentabilité provenait du recours à de la main d’œuvre bon marché, souvent immigrée. »
Malgré tout, la marche de l’agriculture vers l’industrialisation se poursuit, poussée par les grands groupes agro-industriels. Pour la Confédération, « ce sont eux qui captent la valeur ajoutée, et on les retrouve derrière la plupart des projets de ferme-usine. » Reporterre a mené l’enquête sur le plus tentaculaire de ces groupes : Avril-Sofiprotéol
Cette industrialisation est-elle inévitable ?
Pour André Pfimlin, l’élevage industriel est inacceptable : « Ces feedlots sont en compétition directe avec l’alimentation humaine car gros consommateurs de grains… Ils sont destructeurs de l’environnement, parce qu’ils sont en partie responsables de la déforestation pour faire de la monoculture industrielle de maïs ou de soja, et ils sont de gros producteurs de gaz à effet de serre. »
Surtout, ces méga-projets détruisent des emplois, des marchés locaux et la vie rurale. « Dans un contexte de chômage massif et de désertification de nombreuses régions rurales, l’industrialisation de l’élevage est injustifiable, même sur le seul plan socio-économique », conclut-il.
Un avis partagé par Pablo Servigne, chercheur agronome : « L’agriculture industrielle est un modèle toxique, qui se coupe l’herbe sous les pieds, en détruisant les écosystèmes. » Un système nocif et condamné. « Comme il dépend du pétrole, des minerais et d’autres ressources fossiles, c’est un système déjà mort. »
Un mort-vivant alors, car les fermes-usines sont en plein essor. « Il y a une grande inertie du système », affirme Pablo Servigne. En cause, le verrouillage socio-technique : « Nous héritons de techniques inventées dans le passé, comme les pesticides, les OGM, qui ne sont plus efficaces, mais qui sont très intégrées dans nos usages et nos modes de pensée. » Lui appelle donc à de « grands déclics imaginaires », pour changer de paradigme.
« Nous sommes au moins d’accord avec la FNSEA sur un point », admet Laurent Pinatel. « Le système actuel est à bout de souffle. Eux proposent d’y remédier par les fermes-usines, nous par l’agriculture paysanne, orientée vers un marché local. » Agroécologie, circuits courts, culture biologique. D’autres modèles existent.
« Partout dans nos campagnes, il y a des paysans qui sont déjà entrés dans l’ère post-pétrole », estime Pablo Servigne. « L’exode urbain a déjà commencé, les néo-ruraux sont de plus en plus nombreux, c’est un énorme mouvement qui n’a pas encore conscience de lui-même. » Chercheur agronome de formation, il s’est lui-même installé en Ardèche et formé à la permaculture. « L’effondrement inéluctable de la civilisation industrielle va permettre l’épanouissement de nouvelles pousses », dit-il. « Et ces jeunes pousses sont déjà là. »
Voir la carte complète
Source © Reporterre via Nature-Alerte
mercredi 13 mai 2015
POUR VOTRE SANTE, DIMINUER LA CONSOMMATION DE LAITAGES, REMPLACER LE LAIT PAR LE LAIT VEGETAL POUR UN MEILLEUR CALCIUM
NOUS NE SOMMES PAS DES VEAUX, NOUS N' AVONS PAS LA CAPACITE DE DIGERER LE LAIT, D' OU ALLERGIES ETC ETC..
SOURCE ET SUITE
TOUT EST A LIRE DANS CET ARTICLE TRES COMPLET, ET SURTOUT PARTAGEZ!!!
......................
............L’idée n’est pas d’éliminer radicalement tous les laitages de votre quotidien, sauf si vous en sentez le besoin et la motivation. Mais plutôt d’en consommer moins et de comprendre quelles réactions il peut entraîner chez nous. Notamment, je vous conseillerai d’éliminer totalement le lait de vache, au profit de laits végétaux très nourrissants et digestes, mais de garder certains apports de fromages ou de crèmes dont vous n’avez vraiment pas envie de vous passer. C’est également la position de la plupart des médecins holistiques ou naturopathes.
SOURCE ET SUITE
TOUT EST A LIRE DANS CET ARTICLE TRES COMPLET, ET SURTOUT PARTAGEZ!!!
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............L’idée n’est pas d’éliminer radicalement tous les laitages de votre quotidien, sauf si vous en sentez le besoin et la motivation. Mais plutôt d’en consommer moins et de comprendre quelles réactions il peut entraîner chez nous. Notamment, je vous conseillerai d’éliminer totalement le lait de vache, au profit de laits végétaux très nourrissants et digestes, mais de garder certains apports de fromages ou de crèmes dont vous n’avez vraiment pas envie de vous passer. C’est également la position de la plupart des médecins holistiques ou naturopathes.
N’oubliez pas ! Les produits laitiers ne
sont pas les rois du calcium ! On en trouve dans une incroyable variété
de produits alimentaires comme les amandes, le persil, presque tous les
légumes, l’eau ou certains poissons.
Enfin, comme l’affirme le Dr. Henri
Joyeux, chirurgien-oncologue à Montpellier, spécialiste des relations
entre alimentation et cancer : « la consommation de 3 à 4 produits laitiers par jour est une aberration
(…) le meilleur calcium est d’origine végétale, associé à la vitamine
C, où il est absorbé jusqu’à 75% par notre tube digestif. Alors que le
calcium animal l’est, au plus, à 40% ».
Il recommande donc de se faire plaisir avec « des
fruits et des légumes frais, des légumineuses (lentilles, pois chiches,
haricots de toutes les couleurs, pois cassés, soja) en quantité ».
Lorsque les légumes sont cuits, privilégier la cuisson à vapeur douce
pour préserver leur teneur en vitamine C (qui maximisera votre
absorption de calcium) et le tout, bien mastiqué !
TALK SHOW SUR LE VEGANISME..
TALK SHOW AU SUJET DU VEGANISME
COMMENT LA SOCIETE A T ELLE EVOLUE DEPUIS LES 30 ANS QUE VOUS ETES VEGAN??
IL Y A PLUS DE CONNAISSANCE DE LA CRUAUTE ENVERS LES ANIMAUX??? A T ELLE EVOLUE DEPUIS LES 30 ANS QUE VOUS ETES VEGAN??
AMUSANT ET INTERESSANT..
COMMENT FAIRE EVOLUER LA SITUATION POUR LES ANIMAUX???
ETRE CONSTRUCTIF AU LIEU D' ETRE AGGRESSIF
NE PAS JUGER LES VIANDARDS??!!
EST CE POSSIBLE........... MON JUGEMENT NON!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
mardi 12 mai 2015
ANTIBIOTIQUES ET ELEVAGE INDUSTRIEL
C' EST UN PLAIDOYER SCIENTIFIQUE.... CONTRE L' UTILISATION DE TROP D' ANTIBIOTIQUES DANS L' ÉLEVAGE INDUSTRIEL .. MAIS AVANT D' ETRE ENTENDU PAR LE BIG ELEVAGE BUSINESS ..
CETTE ETUDE DATE DE JUILLET 2013 ET IL SERAIT INTERESSANT DE VOIR COMMENT CELA A EVOLUE EN PRESQUE DEUX ANS..
Folks sounding alarm bells over the continued widespread use of antibiotics in industrial animal production recently got some scientific backup to support their case.
Ironically, it may have been missed by those of you chowing down on hotdogs and BBQ chicken this past Fourth of July.
A group of scientists swabbed the noses of two distinct groups of North Carolina hog farm workers looking for antibiotic-resistant Staphylococcus aureus. One group worked in a conventional industrial hog farm; the other in an antibiotic-free operation. What’d they find? According to the new study, just over 40 percent of both groups carried staph bacteria—but several of those who worked in the conventional industrial pig farm also carried something called ST398, also known as pig MRSA.
What’s the difference between the bacteria, and why does it matter?
Maryn McKenna, author of SuperBug, covers the new study for Wired, writing, “The question of whether livestock production’s use of antibiotics causes antibiotic-resistant bacteria to move into the wider world is much argued-over, and pig MRSA, or ST398 to be polite, is crucial to that dispute. That’s because, unlike most resistant bacteria, it has a genetic signature that makes an inarguable link back to farm drug use.”
Gail Hansen, senior officer for Pew Charitable Trusts campaign on human health and industrial farming, says that we can find Staph bacteria on the general population, but the fingerprint of the ST398 brings it straight back to agriculture.
“We’re seeing that this livestock-associated strain of Staphylococcus aureus is multi-drug-resistant and can go from person-to-person. It can leave the farm, and if it leaves the farm, it goes everywhere. It doesn’t stop because you live in the city or just because you don’t eat meat,” she tells TakePart.
Chris Heany, one of the study’s authors and assistant professor of environmental health sciences and epidemiology at Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, says when they looked at Staphylococcus aureus, the livestock-associated strains were only present in the industrial hog operation, not the antibiotic-free environment.
“That’s the key thing. What’s remarkable is while everyone in the study had direct or indirect contact with livestock, we only observed drug-resistant [bacteria] with multiple genetic characteristics in the industrial group. That’s interesting, and builds on the work being done by Tara Smith at the University of Iowa,” Heany tells us.
According to The New York Times’ Mark Bittman, Smith’s work showed evidence that MRSA was indeed moving from pigs to humans in Iowa and Illinois. And, like North Carolina, Iowa and Illinois are among the top large-scale pork-producing states.
Worry of antibiotic use in animal production isn’t new. As we told you back in February, even the U.S. Food and Drug Administration is growing concerned about antibiotic resistance stemming from livestock production. In 2011, 30 million pounds of antibiotics were sold for use in beef, pork and poultry production. That’s four times the amount sold to humans who were sick—a stunning statistic, especially given our antibiotic arsenal that keeps us humans healthy is relatively small to begin with.
Will a study like this move the U.S. meat industry away from regular antibiotic use? Probably not in the immediate future, but it adds particularly compelling information to this very important conversation.
CETTE ETUDE DATE DE JUILLET 2013 ET IL SERAIT INTERESSANT DE VOIR COMMENT CELA A EVOLUE EN PRESQUE DEUX ANS..
Folks sounding alarm bells over the continued widespread use of antibiotics in industrial animal production recently got some scientific backup to support their case.
Ironically, it may have been missed by those of you chowing down on hotdogs and BBQ chicken this past Fourth of July.
A group of scientists swabbed the noses of two distinct groups of North Carolina hog farm workers looking for antibiotic-resistant Staphylococcus aureus. One group worked in a conventional industrial hog farm; the other in an antibiotic-free operation. What’d they find? According to the new study, just over 40 percent of both groups carried staph bacteria—but several of those who worked in the conventional industrial pig farm also carried something called ST398, also known as pig MRSA.
What’s the difference between the bacteria, and why does it matter?
Maryn McKenna, author of SuperBug, covers the new study for Wired, writing, “The question of whether livestock production’s use of antibiotics causes antibiotic-resistant bacteria to move into the wider world is much argued-over, and pig MRSA, or ST398 to be polite, is crucial to that dispute. That’s because, unlike most resistant bacteria, it has a genetic signature that makes an inarguable link back to farm drug use.”
Gail Hansen, senior officer for Pew Charitable Trusts campaign on human health and industrial farming, says that we can find Staph bacteria on the general population, but the fingerprint of the ST398 brings it straight back to agriculture.
“We’re seeing that this livestock-associated strain of Staphylococcus aureus is multi-drug-resistant and can go from person-to-person. It can leave the farm, and if it leaves the farm, it goes everywhere. It doesn’t stop because you live in the city or just because you don’t eat meat,” she tells TakePart.
Chris Heany, one of the study’s authors and assistant professor of environmental health sciences and epidemiology at Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, says when they looked at Staphylococcus aureus, the livestock-associated strains were only present in the industrial hog operation, not the antibiotic-free environment.
“That’s the key thing. What’s remarkable is while everyone in the study had direct or indirect contact with livestock, we only observed drug-resistant [bacteria] with multiple genetic characteristics in the industrial group. That’s interesting, and builds on the work being done by Tara Smith at the University of Iowa,” Heany tells us.
According to The New York Times’ Mark Bittman, Smith’s work showed evidence that MRSA was indeed moving from pigs to humans in Iowa and Illinois. And, like North Carolina, Iowa and Illinois are among the top large-scale pork-producing states.
Worry of antibiotic use in animal production isn’t new. As we told you back in February, even the U.S. Food and Drug Administration is growing concerned about antibiotic resistance stemming from livestock production. In 2011, 30 million pounds of antibiotics were sold for use in beef, pork and poultry production. That’s four times the amount sold to humans who were sick—a stunning statistic, especially given our antibiotic arsenal that keeps us humans healthy is relatively small to begin with.
Will a study like this move the U.S. meat industry away from regular antibiotic use? Probably not in the immediate future, but it adds particularly compelling information to this very important conversation.
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