vendredi 8 août 2014

OMNIVORES SANS CULPABILITE..


Un troupeau de vaches en Grande-Bretagne. 


















C' EST UN ARTICLE UN PEU VIEUX, MAIS COMME RIEN NE CHANGE, IL EST TOUJOURS D' ACTUALITE.
 AVEZ-VOUS REMARQUE QUE LES OMNI  CONTINUENT DE PRETENDRE QUE LES ANIMAUX SONT DES OBJETS, PAS EXACTEMENT DIT COMME CELA, MAIS CELA REVIENT AU MEME QUAND ILS AFFIRMENT QUE LES ANIMAUX N' ONT PAS DE SENTIMENTS..


 ET PIRE L' AUTRE JOUR  J' AI APPRIS QUE LES AFICIONADOS DISENT QUE LES TAUREAUX NE SENTENT AUCUNE SOUFFRANCE QUAND LEUR CORPS EST DECHIRE LES POUMONS TRANSPERCES ET QU' ILS  BAVENT DE GROS BOUILLONS DE
 SANG, PARCE QU' ILS   PRODUISENT UNE  MOLECULE NEURO ENDOCRINIENNE QUI ANNULE LA DOULEUR... SI SI JE VOUS ASSURE C' EST CE QU' ILS AFFIRMENT.. C' EST ICI  SUR UN SITE PRO CORRIDA .


................. BREF, JE REVIENS A MES MOUTONS...

POUR VOUS FAIRE MANGER DE LA VIANDE C' EST FACILE IL SUFFIT  DE VOUS CONVAINCRE QUE C' EST FESTIF, PUB AVEC L' ANGE PARAIT IL POUR VANTER LE BOEUF... JE N' AI PAS DE TV MAIS ON M' A RACONTE... ET DE DIRE QUE LES ANIMAUX SONT BETES...  ET N' ONT PAS DE SENTIMENTS, PAS DE SENSATIONS, NE DIFFERENCIENT PAS LA PEINE DU PLAISIR, ETC ETC..

 HE OUI CA MARCHE!!
 JE CONNAIS UN TYPE QUI CONTINUERA DE CONSIDERER LES ANIMAUX COMME DES OBJETS QUOIQU' IL ARRIVE QUOI QU' ON PUISSE LUI MONTRER..

PERSO,  J'ESTIME  QUE SON CAS EST PATHOLOGIQUE. IL EST TOUT A FAIT L' EXEMPLE REVE POUR CETTE EXPERIENCE, CAD ....DENIGRER POUR POUVOIR SANS   CULPABILITE A SE REMPLIR LE VENTRE DE CADAVRES

 SOURCE  :

Pourquoi un caniche aurait-il plus de sentiments qu’un agneau? Votre chat est-il plus intelligent qu’un veau? Des questions auxquelles des psychologues australiens ont indirectement soumis des étudiants via des tests sur leur perception des pensées des animaux. Selon les résultats de cette étude, publiés dans le Personality and Social Psychology Bulletin, l’homme s’auto-persuade de l’absence de pensée chez les animaux qu’il retrouve dans son assiette. Sans ça, impossible de dévorer un adorable petit agneau ou une vache au regard touchant.

Pas de sentiments pour la boucherie

Trois tests ont été menés par les psychologues. Le premier démontre que l’on attribue de moindres capacités intellectuelles aux animaux considérés appropriés à la consommation humaine, selon les habitudes culturelles du pays. 71 étudiants devaient noter sur une échelle de 1 à 7 les capacités mentales et sensorielles (ressentir la faim, la peur, le plaisir, la douleur, la colère, avoir une mémoire, etc) de 32 mammifères, oiseaux, poissons ou reptiles. On a ensuite demandé aux étudiants de dire s’ils seraient prêts à manger l’animal en question. Sans surprise, plus les animaux étaient crédités de sentiments, moins le panel était prêt à les mettre dans son assiette.
Le deuxième test a démontré que les mangeurs de viande avaient tendance à nier la souffrance animale lorsqu’on leur rappelle le lien entre la viande et la mort des animaux. 66 carnivores ont observé deux photos: une vache et un mouton dans une prairie. Mais deux versions du questionnaire ont été distribuées, avec des variantes dans les légendes des photos: «Ce mouton/cette vache va passer le reste de sa vie à brouter avec ses congénères» et «Ce mouton/cette vache va être abattu, découpé en morceaux et sera vendu comme viande dans les supermarchés». Le panel d’amateurs de viande devait alors noter de 1 à 7 les capacités mentales des animaux. Encore une fois, l’animal destiné à la boucherie se voyait attribuer de moindres capacités, qu’il s’agisse de la vache ou du mouton.

Le «paradoxe de la viande»

Enfin, le dernier test a montré que lorsqu’on est sur le point de manger de la viande, le déni est encore plus fort. Les psychologues ont entre autres demandé au nouveau panel d’une centaine d’étudiants de noter les capacités d’une vache et d’un mouton de 1 à 7, en leur indiquant que certains allaient ensuite devoir déguster de la viande et d’autres des fruits pour un «test consommateur». Ceux qui se préparaient psychologiquement à manger de la viande ont, bien entendu, attribué des notes inférieures aux animaux que ceux qui allaient croquer dans une pomme.
Selon les chercheurs, ces études montrent que manger des animaux ne va pas de soi dans l’esprit humain: le «paradoxe de la viande» s’illustre par le conflit entre le souci du bien-être animal, la compassion pour les bêtes, et les habitudes alimentaires. Les psychologues utiliseront surtout ces résultats pour étudier les constructions mentales qui nous permettent de perpétuer des traditions ou de commettre des actions que nous jugerions immorales si nous ne nous convainquions pas du contraire.

Aucun commentaire: