Tous ceux qui y ont mis un pied,
l’appellent « la ferme de l’horreur ». Pour traduire en quelques mots
l’innommable, découvert sur cette propriété privée le samedi 22 mars.
Ce jour-là, une équipe de l’association de protection
animale “Un refuge, un cœur” se trouve dans les parages pour vérifier
l’état d’un cheval prétendument à l’abandon. Or, au moment de repartir,
l’attention des bénévoles est attirée par une étrange exploitation à
proximité. « On est arrivé sur un champ fait de bric et de broc, raconte Céline Henri. Là, on a vu des peaux de bête, des restes de carcasses, une chèvre en décomposition dans une remorque ».Au milieu de ce qui ressemble à un élevage, les déchets jonchent le sol, d’anciennes baignoires transformées en mangeoires ultra-crasseuses, des palettes, des détritus en tous genres, un meuble éventré, des douilles de cartouches, une climatisation, des roues…
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