LES PARENTS SONT ÉGALEMENT RESPONSABLES.
ILS PRÉFÈRENT JOUER A POKEMON AVEC LEURS GOSSES QUE DE LES AIDER DANS LEUR TRAVAIL SCOLAIRE.
SONT ILS CAPABLES POUR COMMENCER DE TRANSMETTRE LE SAVOIR???.
LORSQUE JE PERÇOIS DES BRIBES DE DISCUSSIONS ENTRE ADULTES JE SUIS TOUJOURS SAISIE PAR L' ABSENCE DE SUJETS SÉRIEUX. ET LES VACANCES QUI DEVRAIENT DÉGAGER PLUS DE TEMPS LIBRE POUR LA LECTURE, L' ENRICHISSEMENT, SONT UNIQUEMENT CONSACRÉES AU PLAISIR IMMÉDIAT ET SUPERFICIEL..
SI TRISTE..
LES MOINS DE 40 ANS N' ONT AUCUNE MAÎTRISE DE L' ORTHOGRAPHE....ET LEUR VOCABULAIRE RESTREINT ET LA SIGNIFICATION DES MOTS LAISSE A DÉSIRER..
TRÈS TRISTE DE VOIR DISPARAITRE LES ACQUIS D' UNE CIVILISATION..
Selon une étude
du ministère de l’Éducation, un jeune Français sur dix est «en
difficulté de lecture» : il arrive à lire, mais ne comprend pas ce qu’il
lit, et un jeune sur vingt est totalement illettré.
Comme chaque année, les capacités de lecture des jeunes Français de
16 à 25 ans ont été testées l’an dernier lors de la Journée Défense et
citoyenneté (JDC), et ont été révélées dans l’étude du ministère de
l’Education, qui s’appuie sur des tests conduits auprès des
760 000
participants.
- Un jeune Français sur dix a du mal à lire, est «en difficulté de
lecture» en ce sens qu’il n’est pas en mesure de comprendre ce qu’il
lit, un peu comme une machine.
- Un jeune sur vingt ne sait pas lire du tout, ce qu’on appelle être en «situation d’illettrisme».
Déficit de vocabulaire
- Ces jeunes illettrés ont en outre «un déficit important de
vocabulaire». Selon les psychologues, ne pas avoir les mots pour
exprimer sa pensée conduit à les remplacer par des comportements
agressifs, et des déficiences émotionnelles, affectives et sociales
sérieuses, sans parler des difficultés pour trouver un emploi, et
accomplir les tâches requises par cet emploi, même les plus basiques.
- Les jeunes du niveau au-dessus ont «un niveau lexical oral correct mais ils ne parviennent pas à comprendre les textes écrits».
- Encore au-dessus, 11,7% de jeunes ont des «aux acquis limités», et
avec d’énormes efforts, ils «parviennent à compenser leurs difficultés
pour accéder à un certain niveau de compréhension», certes très limité.
La lecture «reste pour eux une activité laborieuse mais qu’ils savent
mettre en œuvre» s’ils en ont absolument besoin.
- Seulement 77,5% des jeunes qui se sont présentés à la JDC en 2016 sont considérés comme «des lecteurs efficaces».
Sans grande surprise, les filles s’en sortent mieux
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